Pangloss, à son tour, raconte qu'il a survécu à sa pendaison lors de l'autodafé grâce aux soins d'un chirurgien portugais.
Ils embarquent avec Jacques pour Lisbonne. Après une tempête dans laquelle meurt noyé Jacques, ils arrivent à Lisbonne le jour du tremblement de terre et sont victimes d'un autodafé durant lequel Pangloss est pendu.
Chapitre 28
Quant à Pangloss, il a survécu à la pendaison car la corde était mouillée et mal nouée. Il est envoyé aux galères après avoir replacé un bouquet de fleurs entre les seins d'une jeune dévote dans une mosquée. Malgré ses malheurs, Pangloss pense toujours que tout va pour le mieux.
La mort de Jacques :
Il restait suspendu et accroché à une partie de mât rompue. Le bon Jacques court à son secours l'aide à remonter, et de l'effort qu'il fait il est précipité dans la mer à la vue du matelot, qui le laissa périr sans daigner seulement le regarder.
Le « gueux tout couvert de pustules » se révèle être Pangloss, à bout de forces, malade de la vérole et dans l'incapacité de se soigner. Il informe Candide de la destruction du château après son départ, de la mort du baron, de la baronne, de leur fils, et, surtout, de Cunégonde.
Candide retrouve par hasard Pangloss qui souffre de la vérole : il en perdra un œil et une oreille. Celui-ci lui apprend que Cunégonde est morte violée et éventrée par les Bulgares lors de la guerre contre les Abares.
Il enseigne la métaphysico-théologo-cosmolonigologie qui regroupe la méthaphysique, la théologie et la cosmologie. On peut remarquer ici que Voltaire fait de Pangloss un personnage stupide du fait qu'il enseigne une matière qui en regroupe trois autres et qui relier entre elles n'aboutissent a rien.
(Littérature) Philosophe optimiste et professeur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, précepteur de Candide .
Pangloss. C'est le maître philosophique de Candide. Il est professeur de « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie », signifiant déjà par là toute la volonté moqueuse de Voltaire, puisque cette discipline semble absurde.
Pangloss est présenté dès le chapitre 1 comme « l'oracle de la maison » de Westphalie. Il est pour Voltaire l'incarnation la plus ridicule de tous les professeurs. Comme le suggère l'étymologie grecque de son nom – pan signifie tout et glossa, la langue – Pangloss, tout en langue, ne cesse de parler.
D'où la célèbre phrase qui sert de conclusion au texte, "cela est bien, mais il faut cultiver notre jardin". Il y a bien sûr l'idée selon laquelle le bonheur doit trouver un sens modeste, le bonheur de la créature plutôt que celui de la divinité.
Voltaire fait de son personnage Pangloss le porte-parole du providentialisme de Leibniz. Il y déforme volontairement sa doctrine en la réduisant à la formule : "Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles". Pangloss est abandonné en Europe et ne réapparaît qu'à la fin, mal en point.
Pangloss : c'est le précepteur de Candide. Il est comique, et Voltaire se sert de ce personnage pour ridiculiser la science et surtout la théorie de Leibnitz, philosophe, en disant « Tout est aux mieux dans le meilleur des mondes ». Phrase répétée : "tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles".
Pangloss, du pareil au même
Ses voyages ne l'ont pas changé et ne lui ont pas donné de capacités personnelles : il est toujours incapable de penser par lui-même, comme le signifie la formule « selon le rapport de tous les philosophes » (il utilise des arguments d'autorité)
Voltaire semble ainsi appliquer la morale contenue à la fin de Candide : s'éloigner de la société mondaine pour travailler, cultiver son jardin, et reconstruire une petite société rurale.
Voltaire n'aime pas ce genre de personnage et nous met en garde contre ce genre de philosophe. Pourquoi Pangloss a-t-il quitté la baronnie ? Pangloss est contraint de quitter la Syphilis due à une liaison avec Paquette.
C'est ainsi qu'un Biscayen est arrêté et condamné parce qu'il a épousé sa commère. Cela veut dire qu'il a épousé la marraine d'un enfant dont il était le parrain, ce que l'Eglise prohibait. Pangloss et Candide sont condamnés pour des raisons encore plus dérisoires : avoir parlé pour l'un et écouté pour l'autre.
Le précepteur Pangloss était l'oracle de la maison, et le petit Candide écoutait ses leçons avec toute la bonne foi de son âge et de son caractère. Pangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmolonigologie.
Le mot Pangloss est un nom créé par Voltaire à partir du grec πᾶν / pan (« tout ») et γλῶσσα / glossa (« langue »), ce qui signifie « toutes les langues ». Pangloss est un personnage de Candide ou l'Optimisme, conte philosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759 .
Chapitre 27
Candide apprend que Cunégonde est d'une laideur incroyable. Sur la galère appartenant au maître de Cacambo, Candide retrouve Pangloss et le Baron, frère de Cunégonde.
Chapitre 4 : Candide retrouve Pangloss que la vérole a défiguré. Pangloss lui raconte la destruction du château de Thunder-ten-tronckh, la mort de ses habitants et de Cunégonde. Candide et Pangloss sont recueillis par Jacques, qui les emmène au Portugal où il va commercer.
Avec Candide, les élèves découvrent la société du XVIIIe siècle, les combats des Lumières, les débats philosophiques de l'Europe moderne. Ils se familiarisent avec l'argumentation indirecte, l'apologue, le conte philosophique.
Candide et Pangloss sont arrêtés par un membre de l'inquisition. Il est fait un auto-da-fé pour empêcher les tremblements de terre. Les deux amis sont emprisonnés. Candide est fessé et Pangloss est pendu.
le baron de Thunder-ten-tronckh passa auprès du paravent, et voyant cette cause et cet effet, chassa Candide du château à grands coups de pied dans le derrière ; Cunégonde s'évanouit ; elle fut souffletée par madame la baronne dès qu'elle fut revenue à elle-même ; et tout fut consterné dans le plus beau et le plus ...
« Cunégonde ne savait pas qu'elle était enlaidie, personne ne l'en avait avertie : elle fit souvenir Candide de ses promesses avec un ton si absolu que le bon Candide n'osa pas la refuser. Il signifia donc au baron qu'il allait se marier avec sa sœur.