Le sacrifice (étymologiquement « fait de rendre sacré » ; du latin sacrificium, de sacer facere) désigne une offrande, en particulier de la nourriture, des objets voire des vies humaines ou animales, à une ou plusieurs divinités. À l'origine, le terme de sacrifice s'emploie pour une grande variété d'actes.
La fonction première du sacrifice est de rendre hommage à Dieu par le biais d'un repas festif. Mais le sacrifice a aussi, accessoirement, une fonction pédagogique. Il permet, en effet, de manifester à la fois l'altérité de Dieu et sa similarité.
Le but du sacrifice est de renvoyer les choses, et surtout les choses les plus sacrées ; de congédier les Dieux qui, sans le sacrifice, pèseraient indéfiniment sur le sacrifiant ; de détourner les dieux, en faisant ce qu'on doit pour eux.
SACRIFICE, subst. masc. 1. Action sacrée par laquelle une personne, une communauté offre à la divinité, selon un certain rite, et pour se la concilier, une victime mise à mort (réellement ou symboliquement) ou des objets qu'elle abandonne ou brûle sur un autel.
Synon. holocauste, immolation, oblation, offrande.
Le sacrifice étant un échange, il est un partage. Une des formes est donc le repas sacrificiel où la victime est « sacrifiée » puis consommée de concert entre Hommes et Dieux, chaque partie recevant sa part, différence qui marque la séparation en le Ciel et la Terre mais aussi leur communion.
recevoir. accepter ce qui est donné, transmis, offert, etc.
Le sacrifice a pour but de reproduire de quelque façon la manifestation de Dieu au Sinaï, événement unique, fondateur de la relation entre le Seigneur et son peuple.
Du latin sacrificium dérivé de sacrificare (« faire sacré, sacrifier »).
Ministre préposé aux sacrifices, notamment dans l'Antiquité. Synon. immolateur, victimaire.
Renoncer à ses propres besoins et objectifs ne fait que briser l'amour et la relation de couple - en plus de sa propre identité. Les sacrifices ne sont absolument pas des compromis basés sur la communication, mais des renoncements personnels qui peuvent avoir un coût psychologique et vital très élevé.
Contrairement aux sacrifices offerts aux dieux olympiens, les holocaustes sont réalisés de nuit, sans vin avec des bêtes noires, offertes tête en bas sur un autel peu élevé.
Selon les croyances aztèques, c'est Tezcatlipoca, dieu de la nuit et de la mort, qui aurait donné aux Aztèques la coutume des sacrifices humains.
Nous devons donner de bon cœur
Il est important de donner de bon cœur. « Quand quelqu'un paye la dîme sans plaisir, il est privé d'une partie de la bénédiction. Il doit apprendre à donner de plein gré, de bon cœur et avec joie. Alors son don sera béni » (Stephen L.
Dans la Bible, l'offrande est un acte de reconnaissance à Dieu. À l'époque de Moïse, Dieu a donné certaines prescriptions au peuple d'Israël. Il devait notamment lui apporter une part de sa richesse en guise de reconnaissance pour le pays que Dieu lui a donné pour héritage.
Le sacrifice nous prépare à vivre en présence de Dieu. Ce n'est que par le sacrifice que nous pouvons devenir dignes de vivre en présence de Dieu. Ce n'est que par le sacrifice que nous pouvons recevoir la vie éternelle. Un grand nombre des personnes qui nous ont précédés ont sacrifié tout ce qu'elles avaient.
Définition de sacrifié
Qui est voué au sacrifice. Tué pour sauver d'autres vies. Qui se sacrifie.
Sacrifice perpétuel, sacrifice par lequel on offrait tous les jours quatre agneaux en holocauste, deux le matin et deux le soir. Depuis le temps que le sacrifice perpétuel aura été aboli, et que l'abomination de la désolation aura été établie , Sacy, Bible, Daniel, XII, 11.
Définition "sacrifice expiatoire"
n.m. Dans l'ancien Testament, sacrifice offert par les Hébreux à Jéhovah et au cours duquel la victime était entièrement consumée.
Contrairement à l'holocauste où l'offrande animale brûlée est offerte à Dieu, dans le sacrifice de communion, l'offrande est partagée entre Dieu, le prêtre célébrant et l'offrant. Comme les autres sacrifices, il a pour but de rapprocher l'homme de Dieu et Dieu de l'homme.
L'action de grâce est, selon le lexique de la Conférence des évêques de France, « une attitude de reconnaissance envers Dieu » : l'homme « comblé de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans le Christ » reconnaît de quel amour il est aimé de Dieu et l'en remercie.
Synonyme : béatitude, bonheur, complaisance, fierté, joie, plaisir, ravissement, satisfaction. – Littéraire : aise, félicité.