En 2019, 785 millions de personnes ne disposent même pas d'un service de base d'alimentation en eau potable et 144 millions d'entre elles doivent utiliser des eaux de surface. Selon l'UNICEF et l'OMS, 1 personne sur 3 n'a pas accès à de l'eau salubre.
11 % de la population mondiale, soit 844 millions de personnes, n'a pas accès à l'eau potable contre 19 % en 2000.
Chaque habitant y dispose en moyenne de moins de 1 000 mètres cubes d'eau douce par an, une situation dite de "pénurie chronique". Par ailleurs le gaspillage croît avec le niveau de vie des populations, les nombreux équipements qui apparaissent dans les foyers facilitant l'usage de l'eau.
12 JUILLET 2017| GENÈVE | NEW YORK – Quelque 2,1 milliards de personnes, soit 30 % de la population mondiale, n'ont toujours pas accès à des services d'alimentation domestique en eau potable et 4,5 milliards, soit 60 %, ne disposent pas de services d'assainissement gérés en toute sécurité, d'après un nouveau rapport ...
Il existe deux cas de figure pour accéder à de l'eau potable : Soit par le réseau public. Soit par forage, pompage, prélèvements dans une ressource en eau.
Le difficile accès à l'eau potable s'explique par l'insuffisance des sources d'approvisionnement et aussi par la distance effectuée par les usagers des centres de santé vers les points d'eau. Différentes données ont été collectées pour la réalisation de la présente étude.
D'ici 2020, la consommation d'eau devrait augmenter de 40 % et la moitié de la planète manquera d'eau potable. Aujourd'hui, pas moins de 900 millions d'individus n'ont pas d'accès à l'eau potable, 2,5 milliards ont peu d'accès à l'assainissement et 1,2 milliard n'ont aucun accès à l'assainissement.
Ceux-ci sont le Qatar, Israël, le Liban, l'Iran, la Jordanie, la Libye, le Koweït, l'Arabie saoudite, l'Erythrée, les Emirats arabes unis, Saint-Marin, Bahreïn, le Pakistan, le Turkménistan, Oman, le Botswana et l'Inde, deuxième pays le plus peuplé du monde.
L'eau couvre environ 70% de la planète, c'est-à-dire environ 1.4 milliards de km³. C'est pour cela qu'on donne souvent à la Terre le nom de planète bleue. Dans toute cette eau, 97.2% est de l'eau salée et seulement 2.8% est de l'eau douce. - 0.02% d'eaux de surface (lacs, fleuves, rivières…)
La solution ? Des capteurs installés dans les points d'eau qui transmettent en temps réel les informations sur l'état de l'eau. Ce système permet de détecter la présence d'agents pathogènes dans l'eau et de donner des instructions aux volontaires pour ajuster la chlorination.
Dans le monde, 748 millions de personnes restent privées d'eau potable. Dans les agglomérations qui s'étendent à une vitesse vertigineuse avec leurs lots de bidonvilles, le nombre de citadins sans accès à l'eau est passé de 111 millions à 149 millions entre 1990 et 2012.
Limiter les rejets d'eaux usées non traitées dans le milieu naturel permettant d'améliorer tant la qualité que la quantité de la ressource en eau. Réduire les inégalités par un meilleur accès à l'eau potable qui aura un impact positif sur la santé publique. Développer des capacités de traitement des eaux usées.
L'inégal accès à l'eau se situe principalement en Afrique car les ressources y sont souvent faible ainsi que son développement . Pour avoir accès à l'eau, il faut tout d'abord qu'elle soit potable et douce. Plusieurs possibilités existent, dont l'épuration des eaux et le dessalement.
Le manque de gestion durable des ressources d'eau peut amener à une dégradation de l'hygiène dans les abris (humidité, insectes, rongeurs), voire à leur destruction qui peut même toucher des communautés entières (dans les cas d'inondations ou de glissement de terrain par exemple).
Le palmarès des meilleures eaux minérales du monde a été dévoilé le 4 février. Parmi 50 eaux minérales provenant de 20 pays différents, l'eau de Vernière est sacrée dans la catégorie reine ce qui en fait la meilleure eau du monde.
En cause, le rejet de saumure (eau très chargée en sel) et son impact sur l'environnement. Selon plusieurs études, elle serait en partie responsable de l'augmentation de la température des océans. Une telle opération demande aussi énormément d'énergie pour pouvoir être assurée jour et nuit.
Pourquoi la date de 2030 figure-t-elle dans le nom? En 2008, nous avons calculé que si rien ne changeait, nous aurions en 2030 un déficit d'eau douce de 60 %. Concrètement, l'humanité dispose de 4200 km3 d'eau potable par an que nous pouvons prélever de manière durable.
La ressource en eau se raréfie en raison d'une consommation croissante et de la dégradation de l'environnement (rejets industriels, pollution chimique, eaux usées). L'agriculture doit encore faire sa révolution environnementale et considérablement freiner les rejets de nitrates et de pesticides.
La contamination microbiologique de l'eau potable peut être à l'origine de la transmission de maladies telles que la diarrhée, le choléra, la dysenterie, la fièvre typhoïde et la poliomyélite, et on estime qu'elle entraîne chaque année 485 000 décès consécutifs à des maladies diarrhéiques.
L'action du soleil permet l'évaporation de l'eau de mer et la transpiration des végétaux. Cette vapeur d'eau monte dans l'atmosphère, où il fait plus froid. La vapeur se retransforme en fines gouttelettes.
Afin de garantir la qualité sanitaire des eaux potables à long terme, des périmètres de protection de captages sont mis en place autour des prises d'eau. Les règles d'occupation du sol qui y sont prescrites visent la protection de la ressource vis-à-vis du risque de pollution accidentelle.
Sans eau, pas de progrès
L'eau affecte tout : l'éducation, la santé, la pauvreté et surtout la vie des femmes et des enfants. Une personne issue d'une famille moyenne touchée par la crise de l'eau n'a pas de robinet à la maison auquel se servir un verre d'eau pure.
Les approvisionnements d'eau potable peuvent provenir de sources d'eau de surface ou d'eau souterraine. Les risques d'ordre microbiologique varient selon le type de source. Par eau de surface, on entend toute eau naturellement en contact avec l'atmosphère ou dans laquelle les eaux de ruissellement peuvent pénétrer.