On estime que 30 à 40 % de la population a connu (ou connaîtra au moins une fois) une paralysie du sommeil. Ce trouble peut toucher absolument tout le monde mais il n'est pas fréquent. Les personnes ayant déjà des troubles du sommeil ne sont pas plus exposées que les autres.
La paralysie du sommeil est facilitée surtout par le manque de sommeil et la position allongée sur le dos, mais parfois le stress, l'anxiété, le surmenage, à une modification brutale du mode de vie (deuil, déménagement, nouveau travail), ou à des horaires de sommeil irréguliers.
La paralysie du sommeil a des causes variées. Elle est surtout facilitée par les insomnies et la position allongée sur le dos, mais aussi par d'autres facteurs comme le stress dans la vie personnelle ou professionnelle, le surmenage ou un changement de mode de vie.
Paralysie du sommeil : les symptômes
Ne pouvant pas bouger, la personne tente de crier, en vain. Certaines personnes qui vivent une paralysie du sommeil évoquent également : une sensation d'étouffement ; la présence menaçante d'une personne : ce ne sont que des hallucinations visuelles ou auditives.
La paralysie du sommeil s'explique par l'intrusion imprévue de cette atonie musculaire lors d'une transition entre veille et sommeil et, très probablement, par le fait que le sujet devenu éveillé et conscient perçoive cette absence de tonus musculaire.
Cette paralysie, qui génère une grande angoisse, serait due à une irruption du sommeil paradoxal dans l'état de veille: l'atonie musculaire caractéristique du sommeil paradoxal se poursuit bien que le sujet soit parfaitement conscient.
Les adolescents (14-17 ans) ont quant à eux besoin de dormir 8 à 10 heures par nuit. Les adultes (26-64 ans), entre 7 et 9 heures et les personnes âgées de 65 ans et plus affichent pour leur part des besoins quelque peu plus élevés: de 7 à 8 heures de sommeil journalières sont préconisées par les chercheurs.
Le fait de se réveiller au milieu de la nuit en ayant la sensation d'être totalement paralysé est un trouble du sommeil bien connu. Dans la grande majorité des cas, ce phénomène n'est pas inquiétant. Se réveiller au beau milieu de la nuit, tout voir, tout entendre...
Hallucinations et sensations d'angoisses, la paralysie du sommeil peut parfois prendre des formes terrifiantes. Près de 10 % de la population en aurait déjà souffert, mais le Dr Daniel Neu se veut essentiellement rassurant.
Les causes de fatigue au réveil peuvent être multiples, d'ordre psychologique ou organique. Souvent, l'hygiène de vie est en cause, la fatigue étant due à : La mauvaise hygiène de sommeil, consécutive à des horaires de coucher et de lever très irréguliers.
Selon les chercheurs, dormir plus de 10 heures par nuit augmenterait de 56 % le risque de décès dû à un accident vasculaire cérébral (AVC). Concernant les maladies cardiovasculaires, le risque serait 49 % plus grand.
"Les couche-tôt ont tendance à manger des aliments plus sains", explique la psychologue Kristin Aschbacher qui a mené l'étude. Les personnes qui se couchent entre 19 heures et 23 heures mangeaient ainsi davantage de légumes, de fruits, de glucides riches en fibres et de protéines maigres.
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, l'heure du coucher peut jouer un rôle sur la santé cardiovasculaire. Ainsi, aller au lit entre 22h et 23h serait associé à un risque plus faible de développer une maladie cardiaque, et ce par rapport à ceux qui se couchent plus tôt, ou plus tard.
Pendant la nuit, plus particulièrement durant le sommeil profond, les enfants et adolescents sécrètent des hormones de croissance qui leur permettent de grandir. Les adultes ne sont pas en reste puisqu'ils régénèrent leurs tissus.
► La mélatonine - l'hormone du sommeil - est sécrétée vers 21, 22 h chez un adulte, mais un peu plus tard chez l'adolescent. ► Les ados ressentent moins vite la pression de la fatigue qui pousse à aller dormir. Ils y résistent naturellement mieux et sont donc moins pressés d'aller se coucher.
Une chouette chanson, une sonnerie ambiance “grillons de Provence”, la douce voix de maman ou un réveil qui simule la lumière du jour. À vous de voir quelle est pour vous l'option la moins stressante, et qui reste efficace ! Prévoyez un réveil assez tôt pour éviter le stress de la préparation.
Une maladie : la lagophtalmie nocturne
Toutefois, certaines personnes souffrent de lagophtalmie nocturne : c'est à dire qu'elles ne peuvent pas fermer completement leurs paupières.
Les hallucinations nocturnes se produisent typiquement au cours de la première ou de la dernière phase du sommeil. Les hallucinations hypnagogiques ont lieu au moment où la personne s'apprête à s'endormir.
La position dorsale présente donc de nombreux atouts pour la santé et le bien-être. C'est la position la plus naturelle pour dormir. C'est aussi la meilleure position de sommeil pour maintenir la colonne vertébrale droite et alignée. Toutefois, elle est à éviter en cas de trouble de sommeil.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
Il est, en outre, conseillé de ne pas se rendormir, même 10 minutes. « On se prive alors du cortisol que l'organisme a sécrété naturellement pour le premier éveil, et le second sera plus pénible », avertit la Dre Royant-Parola.
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