Ils sont douloureux et ont tendance à retarder les règles. Pendant celles-ci, ils régressent mais peuvent récidiver lors des cycles suivants. Certains kystes ovariens dits organiques sont permanents et ne disparaissent pas avec une contraception orale.
Une maladie. Une tumeur de l'ovaire, un syndrome des ovaires polykystiques, une atteinte de l'utérus ou du vagin, une hypo ou une hyperthyroïdie peuvent également provoquer l'arrêt des règles. La prise de certains médicaments, comme les antidépresseurs, sont aussi en cause.
Des petites bosses lisses de la couleur de la peau ou « jaunes-blancs » apparaissant sur le visage, sur le cou, sur le tronc, sur le dos, sur les membres et parfois dans la région génitale. Elles peuvent atteindre la taille d'une balle de golf. Les kystes de la peau sont habituellement sans douleur.
Habituellement un kyste ovarien n'empêche pas une grossesse. Il faut parfois compter plus d'un an pour mettre une grossesse en route, sachant que chaque mois, il n'y a qu'une chance sur 4 environ de débuter une grossesse, même quand on a des relations sexuelles régulières.
une pesanteur abdominale, des douleurs lors des relations sexuelles, une difficulté à uriner, ou encore, avoir des saignements.
La grande majorité des kystes ovariens sont dits fonctionnels et disparaissent avec le temps, sans traitement. Toutefois, certains kystes peuvent se rompre, se tordre, grossir beaucoup et entraîner des douleurs ou des complications. Les ovaires se situent de part et d'autre de l'utérus.
Ils sont douloureux et ont tendance à retarder les règles. Pendant celles-ci, ils régressent mais peuvent récidiver lors des cycles suivants. Certains kystes ovariens dits organiques sont permanents et ne disparaissent pas avec une contraception orale.
Cependant, dans certains cas, vous pouvez obtenir un résultat positif erroné pour les raisons suivantes : une grossesse récente (ex. : après une fausse couche, un accouchement récent ou un avortement), certains kystes ovariens rares, certains médicaments contenant l'hormone hCG, comme certains traitements de fertilité.
Plusieurs facteurs peuvent être à l'origine de la formation d'un kyste. Anomalie héréditaire (exemple : polykystose rénale), infection, tumeur, inflammation chronique ou encore usure du tissu corporel sont à titre d'exemple des causes probables récurrentes.
Certains états médicaux à long terme tels qu'une hyperactivité de la thyroïde, un syndrome des ovaires polykystiques, le diabète et une maladie cardiaque peuvent également entraîner l'arrêt ou l'irrégularité de vos règles. Beaucoup de femmes ont des cycles irréguliers dus aux variations naturelles.
Un cycle anovulatoire, qui se caractérise par l'absence d'ovulation, peut aussi être une cause de règles irrégulières ou d'aménorrhée. Ce phénomène arrive fréquemment et n'est pas grave, dans la mesure où il n'est pas régulier. Après 40 ans, la ménopause est la première cause d'absence de règles chez une femme.
Manger certains aliments, comme du persil, du gingembre, des oranges ou de l'ananas, qui accélèreraient la circulation sanguine. Faire du sport (mais pas de manière intense). On dit que cela peut déclencher les règles plus rapidement. Se détendre pour réduire le stress, qui est connu pour retarder la menstruation.
Symptômes et douleurs
Des douleurs dans le bas du ventre, notamment une pesanteur ressentie d'un seul côté, peuvent également apparaître. Des douleurs qui peuvent devenir beaucoup plus intenses et brutales si le kyste provoque une torsion de l'ovaire ou s'il se rompt.
Douleurs au bas du ventre, absence de règles avec plus de 14 jours de retard, ce sont les premiers signes qui devraient vous mettre la puce à l'oreille, surtout si vous avez un cycle menstruel très régulier habituellement.
Le kyste provoque des douleurs au bas-ventre
Douleurs, tiraillements, sensation de pesanteur, saignements en dehors des règles : ces symptômes peuvent être révélateurs d'un kyste ovarien. Pour le déceler, le gynécologue procède à une échographie pelvienne, par voie abdominale ou endovaginale.
En cas de dérèglement hormonal, des traitements hormonaux pourront rétablir des règles plus régulières. Un déficit en progestérone peut, par exemple, être compensé par la prise d'un progestatif la deuxième partie du mois. Un stérilet hormonal permet également d'éviter les règles abondantes d'origine hormonale.
Quand s'inquiéter de l'absence de ses règles ? Rassurez-vous si vous n'avez pas eu vos règles ce mois-ci ou même depuis plus longtemps, vous ne courez aucun danger. Les causes d'une absence momentanée de vos règles peuvent être très variées : certaines sont bien connues, d'autres plus surprenantes.
Cela peut être banal (une ovulation qui ne se fait pas un mois pour des raisons inconnues, ça arrive, et ia peut être lié à un choc psychologique ou un changement dans la vie), mais cela peut aussi être lié à une perte de poids, à un médicament, à un trouble hormonal.
Types de quistes ovariens
Les kystes fonctionnels, tels que les kystes folliculaires ou les kystes du corps jaune, apparaissent pendant le cycle menstruel normal et n'affectent en rien la fertilité. En fait, ils indiquent un bon fonctionnement de l'ovaire.
L'extrait de fenugrec s'est révélé efficace pour améliorer les symptômes du SOPK, ainsi que le taux de LH, effet qui s'amplifiait à mesure que l'on avançait dans le traitement. Citons aussi le tribulus ou le lin, qui semblent avoir de multiples activités bénéfiques sur le SOPK.
Dans l'immense majorité des cas, le kyste n'est pas dangereux et son préjudice est purement esthétique. Cependant, il est normal de s'inquiéter lorsqu'une bosse ou un renflement apparaît de manière inexpliquée sur la peau, dans les seins ou ailleurs sur le corps.
La présence d'un kyste ovarien pourrait aussi fausser les résultats, de même qu'une fonction vésicale ou rénale anormale.
Une intervention par cœlioscopie peut alors être nécessaire pour retirer le kyste tout en préservant l'ovaire. Le drilling ovarien : cette opération peut être indiquée, très souvent en dernière intention, en cas d'ovaires polykystiques. Elle consiste à réaliser de petits trous dans l'ovaire pour stimuler l'ovulation.
des seins plus durs, plus volumineux ou plus douloureux au toucher. Des mamelons plus bombés, plus foncés. Les tubercules de Montgomery (petites glandes présentes sur l'aréole) plus nombreux ou plus gros ; des nausées ou des vomissements (apparaissent généralement après quelques semaines de grossesse).