Il n'y a pas d'obligation à aimer ses parents, par contre, nous sommes dans obligation de respecter ceux qui nous ont donné la vie et qui nous ont élevé. Cela signifie respecter leur histoire, respecter ce qu'ils sont, respecter leurs failles, reconnaître ce qu'ils nous ont transmis.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Oui, il est possible de ne pas aimer son père et/ou sa mère. Ou plus exactement, il suffit parfois d'un événement, d'une blessure symbolique de trop, pour que, par désespoir, l'amour que l'on éprouve pour un parent, se transforme en haine.
La clef ? Savoir dire “je t'en veux” pour mieux dire “je t'aime”. Ce qui implique de faire le point sur soi-même et sur la relation que l'on a avec ses parents. « Si je ne sais pas comment trouver les mots, il est clairement préférable de me taire.
Quel que soit le rapport qu'entretient l'enfant avec son père, il est donc rare (même si « l'élève a dépassé le maître ») qu'aucun sentiment ne soit ressenti. Cependant, certaines personnes ont bel et bien grandi sans amour paternel et déclarent ne pas ressentir la moindre affection pour leur père.
Il s'agit du père souvent absent car il fait passer son travail, son passe-temps ou ses amis avant tout le reste. Ce genre de père se repose beaucoup sur la mère en ce qui concerne l'éducation et les soins apportés à l'enfant. Même s'il est présent physiquement, il ne s'implique que très peu dans son rôle de père.
Pourquoi est-ce qu'on a honte de nos parents ? La honte est un sentiment lié au rapport aux autres et à l'image, à l'idée, à l'estime que l'on a de soi. La honte est toujours liée au regard ou au jugement des autres, réel ou imaginaire. Et à l'adolescence, ce regard est particulièrement important.
Un blocage souvent lié à notre histoire familiale. Nos conseils pour libérer la parole dans le couple. Avoir du mal à dire "je t'aime" vient souvent d'un manque de confiance en soi développé dans l'enfance. Ensemble depuis quatre ans, Sarah et Fabien vivent une relation particulièrement épanouissante.
Une relation est dite toxique, lorsqu'elle engendre une souffrance pour la personne au sein de celle-ci. Il peut s'agir d'une souffrance physique ou psychique, prenant un caractère envahissant et qui va handicaper le quotidien de la personne issue de cette famille.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Autre piste de réflexion, votre colère peut également provenir d'une trop grande satisfaction de vos désirs. En effet, si votre mère a tenté de combler toutes vos envies, vous pouvez vous en sentir encore dépendante. Dans les deux cas, vous essayez de vous détacher d'une force maternelle étouffante.
On a peur de l'engagement
La flippette est universelle. Certaines femmes se retrouvent même souvent avec des hommes qui ont peur de s'engager. La preuve qu'elles peuvent ressentir la même chose puisqu'elles ne sont souvent prêtes qu'à partir du moment où l'homme est prêt à s'engager.
Pourquoi c'est difficile de dire "je t'aime" ? Oser dire "je t'aime" à quelqu'un, c'est prendre un risque. Celui de "révéler une partie de soi plus vulnérable, plus profonde, parce qu'on ouvre son cœur à l'autre et qu'on ne sait pas forcément comment il va réagir", explique la sexothérapeute.
Le sentiment de redevabilité s'installe d'autant plus chez les enfants qui évoluent dans une famille dysfonctionnelle. Au delà de la place officielle de chacun (père, mère, cadet, aîné...), il y a une distribution inconscience et tacite des rôles et missions de chacun au sein de la famille.
La première étape pour pardonner est de reconnaître la blessure, et de désigner un coupable : le parent. C'est une étape difficile, car certains ne peuvent pas confronter leurs parents. - Choisir le meilleur moment pour soi : il ne s'agit pas de décréter une date, mais de ressentir un besoin et d'y répondre.
La honte de la famille est particulièrement prégnante à l'adolescence, où la personnalité se construit et où le regard extérieur revêt une grande importance. Elle apparaît dès lors que les particularités de notre famille passent la barrière du milieu familial pour être exposées au regard et au jugement d'autrui.
À une extrémité se trouve la honte saine, qui permet la socialisation et l'intégration de limites propices à la vie en société. À l'autre extrémité se trouve la honte toxique, qui condamne la personne à vivre avec un sentiment d'infériorité ou d'inadéquation (Zupancic et Kreidler, 1998).
Un renégat (occitan : renegat ; espagnol : renegado et italien : rinnegato ; littéralement en français un « renié ») est une personne qui renie ses opinions, sa religion, sa patrie ou son parti.