Tout d'abord, que disent les règles ? La réponse est claire, nette et précise : RIEN. Le seul article qu'on peut trouver qui ait un rapport quelconque avec le sujet serait l'article 11.5 qui interdit de déranger l'adversaire. Donc, en toute rigueur, il est interdit d'annoncer l'échec à un adversaire que cela dérange.
Annoncer échec n'est pas obligatoire Les règles sont très claires à ce sujet : Article 3.8. b)Le roi est ''en échec'', s'il est attaqué par une ou plusieurs pièces adverses, même si ces pièces ne peuvent elles-mêmes bouger. L'annonce de l'échec n'est pas obligatoire.
L'échec et mat ou plus souvent mat est, au jeu d'échecs, une situation dans laquelle un roi est menacé de capture au prochain coup et pour laquelle aucune parade n'est possible pour l'éviter. La partie prend alors fin immédiatement (le roi n'est jamais capturé) et le joueur qui inflige le mat en est déclaré vainqueur.
Le but du jeu : l'échec et mat
Laisser son roi sous une attaque, exposer son roi à une attaque et aussi « prendre » le roi adverse n'est pas autorisé. L'adversaire dont le roi a été maté a perdu la partie. Si la position est telle qu'aucun des deux joueurs n'a la possibilité de mater, la partie est nulle.
Aux échecs une partie peut se terminer par l'abandon de l'un des deux joueurs. Si un joueur considère que sa position est désespérée (s'il n'a plus assez de pièces par exemple), il peut abandonner en couchant son roi sur l'échiquier : son adversaire remporte la partie.
Au jeu d'échecs, le pat est une position dans laquelle le camp ayant le trait et n'étant pas sous le coup d'un échec, ne peut plus jouer de coup légal. La partie est alors déclarée nulle quel que soit le matériel restant sur l'échiquier.
Le pion peut avancer d'une case en diagonale à la seule condition d'y capturer n'importe quelle pièce adverse qui s'y trouverait. La prise n'est pas obligatoire. Le pion ne peut prendre une pièce vers l'arrière ou vers le côté.
Quand un Roi est attaqué, on dit qu'il est en échec. Si vous attaquez le Roi de votre adversaire, vous devez lui annoncer en disant « Échec » (Et non « échec au Roi » comme disent certains amateurs).
D'après la légende, l'inventeur présumé des échecs indiens serait un brahmane nommé Sissa. Il aurait inventé le chaturanga pour distraire son prince de l'ennui, tout en lui démontrant la faiblesse du roi sans entourage. Souhaitant le remercier, le monarque propose au sage de choisir lui-même sa récompense.
Peut-on manger le Roi aux échecs ? On ne peut pas manger (prendre) le Roi aux échecs car, lorsque le Roi d'un joueur est attaqué (c'est-à-dire lorsqu'il est en échec), ce joueur doit obligatoirement parer l'échec. S'il n'a aucun coup pour parer l'échec, on dit qu'il est échec et mat et la partie est perdue.
Voltaire aurait pu se faire «échec et mat»
Le monde arabe s'appropriera en effet le jeu, en rebaptisant le mot «shah» en «sheykh» pour désigner «les échecs», puis la locution «shah mat» en «sheykh mat» (échec et mat) littéralement«mort du roi» avant de le recodifier.
La base de lichess qui contient des centaines de millions de parties d'échecs a livré son verdict : le meilleur premier coup est 1. Cf3 avec 52% de victoires ! Viennent ensuite d4 et c4 à 50% et e4 avec seulement 49%.
Les rois ne peuvent se déplacer sur les cases marquées d'un x : cases contrôlées par la dame noire pour le roi blanc ; cases contrôlées par le fou, le cavalier, la dame, et le pion blancs pour le roi noir. Les blancs viennent de jouer Td1#, matant le roi noir.
Certains historiens pensent que le mancala est le plus ancien jeu du monde sur la base des preuves archéologiques trouvées en Jordanie qui datent d'environ 6000 av. J. -C. Le jeu aurait pu être joué par d'anciens Nabatéens et aurait pu être une ancienne version du jeu de mancala moderne.
D'autre part, les soviétiques ont toujours considéré que les échecs incarnaient leurs idéaux révolutionnaires. Ce jeu de stratégie permettait à l'URSS de faire valoir son patrimoine intellectuel national. C'était, en outre, un loisir bon marché et accessible à tout le monde.
Légende grecque
Palamède, l'un des héros grecs, aurait inventé le jeu pour remonter le moral des troupes durant le siège de Troie, ainsi que d'autres jeux : « Les Grecs lui attribuaient [à Palamède] l'invention de plusieurs lettres de leur alphabet, de la monnaie, des dés, des osselets et du « jeu d'échecs » (sic) ».
Toutes les pièces, à l'exception du cavalier, ne peuvent sauter par dessus une autre pièce - toutes les cases entre celle où se trouve la pièce et celle sur laquelle la pièce veut aller, doivent être vides. Un déplacement ne peut se finir sur un case occupée par une pièce de même couleur.
La dame se déplace sur une même diagonale d'autant de cases qu'elle le désire, en avant et en arrière. Un pion peut en prendre un autre en sautant par dessus le pion adverse pour se rendre sur la case vide située derrière celui-ci. Le pion sauté est retiré du jeu.
Dans le monde du jeu échecs, la nulle (aussi appelée partie nulle, match nul ou le nul) est l'une des issues possibles d'une partie d'échecs quand il n'y a pas de victoire du camp Blanc ou Noir.
Déplacements et capture
Le fou se déplace en diagonale. Cette pièce est à longue portée, c'est-à-dire qu'elle peut être déplacée d'autant de cases qu'on le souhaite, sans pouvoir sauter par-dessus une autre pièce. Il ne peut changer de couleur de case durant la partie et ne balaie donc que la moitié de l'échiquier.
viens jouer avec le Fou ! Elle peut se déplacer et prendre en arrière. Elle ne peut pas sauter une autre pièce ou pion.
Les deux joueurs se mettent d'accord pour faire match nul. Concrètement, un des deux joueurs dit quelque chose comme « je propose nulle » à son adversaire juste après avoir joué (cela fait partie de son coup, on n'a pas le droit de proposer nul en pleine réflexion de l'adversaire cela pourrait le gêner).