On ne guérit pas à proprement parler d'une maladie auto-immune mais les traitements permettent de réduire, voire de supprimer, les symptômes. Toutefois, il est parfois nécessaire de suivre un traitement à vie.
Certaines maladies auto-immunes guérissent de façon aussi inexplicable qu'elles sont apparues. Cependant, la plupart d'entre elles sont chroniques. Il est souvent nécessaire d'administrer des médicaments à vie pour contrôler les symptômes. Le pronostic varie en fonction de la maladie.
L'origine des maladies auto-immunes reste mal connue. Une association de plusieurs facteurs environnementaux, hormonaux, génétiques, médicamenteux, infectieux et psychologiques est fort probable.
Devant des douleurs articulaires ou musculaires, les traitements de fond utilisés le plus souvent sont l'hydroxychloroquine, le méthotrexate, le léflunomide. Devant des atteintes viscérales, les traitements de fond utilisés sont l'azathioprine ; le mycophénolate mofetil, le cyclophosphamide.
Diabète de type 1, sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, psoriasis, lupus érythémateux disséminé, vitiligo, maladie de Crohn, syndrome de Guillain-Barré…
Les cancers peuvent être à l'origine de manifestations auto-immunes dont le champ d'expression est varié. Les liens étroits entre auto-immunité et lymphogenèse sont peu à peu démantelés, ces 2 événements pouvant correspondre aux facettes d'un même processus.
Auto-immune : comprenez, quand notre système immunitaire se retourne contre notre propre corps. On sait encore peu de choses sur ces maladies. Pourtant, elles représentent le troisième groupe en termes de morbidité et de mortalité dans les pays industrialisés (derrière les maladies cardiovasculaires et les cancers).
Une alimentation mal équilibrée, en quantité ou en qualité est la plus importante cause de déficit immunitaire. Dans les pays industrialisés, la carence en micronutriments est de plus en plus courante. Elle résulte d'un manque de vitamines et de minéraux. La popularité de la malbouffe explique en partie ce phénomène.
prurit, déformations articulaires, douleurs, faiblesse, ictère, gêne respiratoire, oedème, confusion mentale, etc. C'est à partir d'une analyse de sang que l'on peut identifier une maladie auto-immune : vitesse de sédimentation, présence d'anticorps antinucléaires, anémie, etc.
Un bilan biologique (prise de sang) pour rechercher :
Des anomalies immunologiques (auto-anticorps) Des anomalies traduisant un dysfonctionnement d'organe.
Comme le système sanguin, le système immunitaire est présent dans tout le corps, dans un état de vigilance non active. Les organes du système immunitaire s'appellent des organes lymphoïdes. Il s'agit de la moelle osseuse, des ganglions, de la rate, des amygdales et du thymus.
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie inflammatoire qui peut affecter de nombreuses articulations. Il s'agit d'une maladie auto-immune où le système immunitaire — qui, normalement, protégerait le corps contre les infections — s'attaque plutôt à la membrane qui recouvre les articulations.
Les fruits et légumes rouges (tomate, pastèque, papaye, pamplemousse rose) riches en lycopène, un antioxydant qui contribue à la protection des globules blancs.
Certains médicaments
Certaines chimiothérapies et les médicaments immunosuppresseurs affaiblissent le système immunitaire, de même que la cortisone prise sur le long terme.
Faire le plein de vitamines
Que ce soit la vitamine A, la vitamine D, la vitamine C, les vitamines B, l'acide folique, ou encore le zinc, ils contribuent tous - à leur échelle - au fonctionnement normal du système immunitaire.
1. La consommation d'alcool contribue à divers problèmes de santé et peut affaiblir le système immunitaire. 4. La consommation d'alcool ne stimule pas le système immunitaire et ne renforce pas la résistance à la maladie.
Avoir recours systématiquement aux antibiotiques en cas d'infections peut être confortable car la guérison est complète et rapide mais sur le long terme, les antibiotiques réduisent les défenses immunitaires en empêchant le corps de se défendre tout seul.
Un patient peut consulter un immunologiste s'il soupçonne une allergie ou une inflammation d'origine inconnue associée à la fièvre et à la perte de poids. D'autres raisons comprennent le suivi de l'immunothérapie, ou si le patient a des problèmes de gestion des problèmes d'asthme ou s'il souffre d'anaphylaxie.
Une alimentation mal équilibrée, en quantité ou en qualité est la plus importante cause de déficit immunitaire. Dans les pays industrialisés, la carence en micronutriments est de plus en plus courante. Elle résulte d'un manque de vitamines et de minéraux. La popularité de la malbouffe explique en partie ce phénomène.
L'immunothérapie peut guérir ou prolonger de plusieurs mois l'espérance de vie, initialement très courte, de patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules au stade avancé. Malheureusement, moins de la moitié des patients répondent à ce traitement.
Qui peut bénéficier de l'immunothérapie ? "Tous les patients peuvent avoir accès à l'immunothérapie, il n'y a que peu de contre-indications et pas de condition d'âge" note le médecin oncologue.
Un test immunologique est un test biochimique qui mesure la présence ou la concentration d'une macromolécule ou d'une petite molécule dans une solution, grâce à l'utilisation d'un anticorps (souvent) ou d'une immunoglobuline (parfois). Si c'est la concentration qui est mesurée on parle aussi de dosage immunologique.