Elle ne peut pas commencer et finir ainsi. Il s'agit d'une proposition subordonnée qui « appelle » une proposition principale. On trouve parfois ce genre de tournures dans la presse, par exemple, car le point mal placé peut donner l'illusion que les phrases sont plus courtes, le texte plus rythmé.
La phrase est une suite de mots qui a un sens ; elle commence par une majuscule et se termine par un point.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ». Phrase correcte.
Parce que peut aussi être placé en début de phrase : Parce que j'ai découvert ce groupe de musique j'ai fait beaucoup de progrès en anglais. Parce que, si je ne le fais pas maintenant, personne ne le fera à ma place. et est utilisé dans un sens négatif, pour dénoncer ou bien remettre en cause, se plaindre etc.
En début de phrase, introduit d'ordinaire une interrogative ou une circonstancielle de temps. Les locutions "quand même" et "quand bien même" se construisent avec le conditionnel, mais "quand même" peut être utilisé adverbialement ("il viendra quand même !").
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
Conjonction de subordination qui exprime la concession, la reconnaissance d'un fait qui devrait empêcher un autre fait de se réaliser, mais ne l'empêche pas.
L'expression « bien que » se trouve le plus souvent à l'écrit, mais elle peut aussi se trouver dans la langue parlée. Elle est toujours suivie du subjonctif (bien que + subjonctif). Cette locution conjonctive est utilisée pour introduire une proposition de concession. Elle a le sens de « quoique ».
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Alors que est considéré par certaines sources comme vieilli ou littéraire, dans le sens de « lorsque, quand, dans le moment où ». Il sert surtout, dans l'usage actuel, à marquer une opposition : Il se tourne les pouces alors que les autres sont débordés de travail.
Dans la phrase correcte, la suite des mots est ordonnée et a un sens : « Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses, qu'on ne pouvait vivre avec elles. » On remarque que la phrase commence par une majuscule et se termine par un point : on appelle ces phrases des phrases déclaratives.
La phrase de base est une phrase qui doit comprendre les cinq aspects suivants : 1. Elle est déclarative, c'est-à-dire qu'elle ne contient aucune marque d'interrogation, d'exclamation et aucune formulation impérative (qui contient le mode impératif).
-> On écrit "quoique" quand on peut le remplacer par "bien que". exemple : Quoique cet exercice soit facile, il ne comprend rien. = Bien que cet exercice soit facile, il ne comprend rien. -> On écrit "quoi que" quand on peut le remplacer par "quel que soit".
À un tel point que ; de telle manière que.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Avant que est suivi du subjonctif. Après que est suivi de l'indicatif.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif. La raison ? Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement…) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire.
"Bien" fait certainement partie des mots les plus utilisés de la langue française. Employé seul, cet adverbe ne pose pas de difficulté particulière. C'est quand il est accompagné que les choses se compliquent.
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
Malgré que exprime l'idée de concession. D'autres connecteurs de concession peuvent donc dire la même chose : bien que , quoique (en un seul mot), éventuellement encore que .
La locution conjonctive bien que introduit une concession qui vise une situation passée ou présente, tandis que même si sert à introduire une hypothèse ou une éventualité.