Il ne faut pas confondre la mort cérébrale et le coma. La mort cérébrale correspond à l'arrêt des fonctions cérébrales, et donc de la respiration et du cœur, alors que ces fonctions peuvent être conservées dans le coma.
Cet état se caractérise par une abolition de la conscience, de la sensibilité et de la vigilance alors que les fonctions dites « végétatives » (comme les battements du cœur, le maintien de la température du corps à 37 ° et la respiration) sont préservées.
« Il faut parler à une personne dans le coma » entend-on dans les films. Tout dépend de ce qu'on appelle coma. Entre l'état végétatif, où le patient peut encore sourire ou sursauter de façon réflexe, et l'état de conscience minimale où il entend ce qu'on lui dit, la frontière est ténue.
La conscience qui ne peut être détectée que par ces tests est appelée conscience cachée. Les personnes en état végétatif ne contrôlent pas la miction et la défécation (incontinence).
Le coma est dit "profond" ou "carus". A ce stade encore, le réveil est possible. Mais une personne peut rester dans un coma profond pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. Au stade IV, ou coma dépassé, cette fois irréversible, on parle de "mort cérébrale".
Il a les yeux fermés, il est incapable de réagir à des stimuli externes et n'est pas en mesure d'être réveillé. Le diagnostic clinique et la gravité du coma sont déterminés à l'aide de l'échelle de Glasgow.
Une personne dans le coma doit être nourrie artificiellement, généralement à l'aide d'une sonde.
Coma urémique (stade terminal d'insuffisance rénale chronique) ; Coma myxoedémateux et de l' hyperthyroïdie ; Coma hypercapnique ; Coma hépatique : l'encéphalopathie hépatique se voit lors des hépatites graves.
Ainsi, si la quiescence cellulaire est réversible et essentielle à la réparation et à la stabilité des tissus, à l'âge avancé, les « arrêts cellulaires » des cellules quiescentes sont fréquents et participent aussi au processus de vieillissement.
Grâce à cela, «le nombre de patients qui arrivent vivants à l'hôpital a doublé au cours des dernières années, ajoute son collègue neurologue. 40?% d'entre eux se réveillent et parmi eux, la plupart (de 80 à 90%) ne gardent que peu, ou pas, de séquelles de leur état comateux.»
Une Emiratie a repris connaissance après 27 ans passés dans un coma profond à la suite d'une grave lésion cérébrale, a indiqué ce mercredi son fils en affirmant n'avoir jamais perdu espoir de voir sa mère se réveiller.
La personne de confiance consultée ou, à défaut, la famille ou l'un des proches peuvent pour leur part rapporter la volonté du patient. Au final, le médecin reste le seul décisionnaire, sa décision, étant soumise le cas échéant, au contrôle des juges, rappelle le Conseil.
Qu'est ce que le coma ? Le coma est un trouble de l'état de vigilance dans lequel la personne n'émet plus aucune réponse aux stimuli extérieurs. Le patient ne peut pas être réveillé car ses deux hémisphères cérébraux sont atteints et ne réagissent plus.
Il faut dire à la famille qu'elle peut parler de ce qu'elle veut. Il faut tout de même lui dire que l'on ne sait pas s'il entend mais que si c'est le cas, il serait sûrement rassuré d'entendre une voix qui lui est connue.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
Le patient en fin de vie peut donc, grâce à des directives anticipées, demander d'être endormi jusqu'à sa mort. Pour bénéficier de la sédation profonde, la décision doit être prise de manière collégiale par le corps médical, la volonté du patient doit être respectée et l'avis de la personne de confiance consulté.
4127-37-2 détermine les conditions dans lesquelles lorsque le patient est hors d'état d'exprimer sa volonté, il est possible de suspendre ou de ne pas entreprendre des actes médicaux apparaissant inutiles, disproportionnés ou n'ayant d'autre effet que le seul maintien artificiel de la vie.
En réanimation, comme dans tous les services, on va administrer des traitements symptomatiques, autrement dit qui traitent la maladie. Mais puisque les patients admis en réanimation sont dans un état grave, on n'a pas le temps d'attendre que le traitement symptomatique fasse effet.
soit en "soins intensifs" (si la défaillance porte sur un seul organe), soit en "réanimation" (si plusieurs défaillances sont identifiées et si le pronostic vital est engagé)".
Les situations de fin de vie concernent notamment les personnes qui ont une maladie grave, évolutive, en phase avancée, potentiellement mortelle ou lorsque le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme, après un accident par exemple.
La personne pleure. Elle veut parfois exprimer cette tristesse seule et parfois être accompagnée dans l'expression de cette grande peine. Les personnes en fin de vie expriment souvent qu'elles auraient voulu que cette vie se poursuive encore longtemps et comment il est difficile de laisser ceux qu'on aime.
La confusion et la somnolence peuvent survenir dans les dernières heures. Les sécrétions pharyngées ou le relâchement des muscles de la gorge entraînent parfois une respiration bruyante, parfois qualifiée de râle.
Le corps :
Cependant, comme il est écrit précédemment, le sens de l'ouïe étant le dernier à quitter le corps, la personne mourante peut encore entendre ce que l'on dit mais ne peut répondre en raison de sa faiblesse.