Une personne est l'"ascendant" d'une autre, lorsque cette dernière en est issue par la naissance et ce, à tous les degrés successoraux (père, mère, grand-pères, grand- mères, arrières-grands-pères et arrières-grands-mères etc.).
La loi précise les personnes qui peuvent succéder un défunt par ordre d'importance. Après les descendants et les frères et sœurs figurent les ascendants, c'est-à-dire les parents et les grands-parents.
Parent dont quelqu'un est issu par la naissance et ce à tous les degrés successoraux. Quand on remonte dans l'ordre chronologique des naissances n'y a pas de fin à l'ascendance. On distingue les ascendants " en ligne directe " (père, mère, grands-pères, grands-mères, arrière-grands-pères et arrière-grands-mères, etc.)
Les parents : C'est celui qui est indiqué comme tel dans l'acte de naissance de l'enfant, quelque soit son sexe, les frères et sœurs et les descendants de ces derniers. Les ascendants : Personne dont on est issu : parent, grand-parent, arrière-grand-parent,...
Les ascendants en ligne directe sont le père, la mère, le grand-père, la grand-mère ou les arrière-grands parents. Les ascendants en ligne indirecte sont les oncles et tantes, grands-oncles et grands-tantes, il ne sont ascendants que par le fait d'être un frère ou une sœur de celui dit en ligne directe.
La différence entre ascendance et descendance
Le mot ascendance sert à décrire un mouvement de bas en haut, alors que le terme descendance provient quant à lui d'un dérivé du mot descendre, qui ramène au fait d'aller de haut en bas.
➢ UN ASCENDANT LEGITIME
Ce sont les père et mère légitimes de l'auteur de l'infraction et ses autres ascendants directs. La circonstance aggravante ne s'étend pas aux alliés aux mêmes degrés. Les auteurs sont donc des enfants nés de parents unis par le mariage.
Vos frères et sœurs héritent de l'autre moitié. La répartition entre frères et sœurs s'effectue à parts égales. Exemple : Si vous avez 1 frère et 1 sœur, ils auront droit chacun à 1/4 de la succession.
Ligne directe descendante et ligne directe ascendante
Le degré de parenté est déterminé en fonction du nombre de générations séparant le défunt de l'héritier. – un petit-fils est parent au 2ème degré de son grand-père. On distingue la ligne directe ascendante et la ligne directe descendante.
Les ascendants ordinaires du défunt sont tous ses ascendants autres que son père et sa mère (exemple, ses grands-parents).
L'ascendant se calcule d'après la date, l'heure et le lieu de naissance. Il est le point de départ du calcul d'un thème astral et de lui découle la position des maisons astrologiques, c'est-à-dire les domaines d'action des 10 planètes d'un thème.
et "Prendre l'ascendant sur quelqu'un" : le dominer, exercer sur lui une autorité morale, être capable de l'influencer ou de peser sur ses décisions.
L'ascendant représente le signe qui se lève à l'horizon au moment de la naissance. Si votre signe astrologique solaire se base sur la position du soleil dans le Zodiaque le jour de votre naissance, l'ascendant lui, se calcule en fonction de l'heure et du lieu de naissance.
Les différents ordres et degrés des héritiers
Le second ordre correspond aux ascendants privilégiés (père et mère) et aux collatéraux privilégiés (frères et sœurs, neveux et nièces). Le troisième ordre regroupe ce qu'on appelle les ascendants ordinaires et le quatrième les collatéraux ordinaires.
L'héritier en ligne direct est une expression qui désigne, dans le cadre d'une succession, les ascendants (père, mère, grands-parents) et les descendants directs d'un défunt (enfants, petits-enfants...).
Les descendants sont, comme leur nom de l'indique, les personnes qui descendent directement d'une autre personne.
Quand on remonte dans l'ordre chronologique des naissances n'y a pas de fin à l'ascendance. Les ascendants comprennent également les personnes qui sont des collatéraux des ascendants (oncle et tantes, grands-oncles et grandes tantes... etc. .) qui dans chaque lignée paternelle ou maternelle ont un ascendant commun.
Beau-frère : Mari de la sœur ou de la belle-sœur. Frère du mari ou de la femme. Beau-père : Père de la femme par rapport au mari.
Les liens de parenté par filiation
Les parents, les frères et les sœurs ainsi que leurs descendants (neveux et nièces du défunt). Les ascendants autres que les parents (grands-parents et arrière-grands-parents du défunt). Les collatéraux ordinaires (oncles, tantes, cousins, cousines du défunt).
Fiscalement, la fratrie a le droit d'hériter sans être imposée jusqu'à un seuil de 15 932 €. L'abattement passe à 35 % pour un patrimoine compris entre 15 933 € et 24 430 €, puis à 45 % si la valeur des biens va au-delà de ce montant.
Par testament, il est possible de déshériter ses frères et sœurs. Cela est possible totalement ou partiellement, et la personne peut faire varier la somme qui revient à chacun en favorisant l'un ou l'autre. Une personne peut donner à l'un et pas à l'autre. La loi ne fixe pas de contraintes particulières.
Dès que la banque est informée du décès d'un cotitulaire (par les proches ou par un notaire), elle bloque automatiquement le compte indivis. Elle n'y enregistre plus aucune opération de dépôt ou de retrait. Le solde (positif ou négatif) du compte indivis est réglé en même temps que l'ensemble de la succession.
Qui va en montant, en progressant : Mouvement ascendant de l'air chaud.
La qualité juridique d'un enfant à la naissance désigne le statut matrimonial de sa mère. Les enfants « légitimes » sont ceux dont les parents sont mariés. La naissance est qualifiée de « hors mariage » (anciennement qualifiée de « naturelle » ou encore « illégitime ») dans le cas contraire.
L'ordre de priorité des héritiers légaux est le suivant : Les descendants du défunt (enfants, petits enfants...) Les ascendants et collatéraux privilégiés (parents, frères et sœurs, neveux et nièces...) Les ascendants ordinaires (grands-parents, arrière grands-parents...)