Le paradoxe des chutes réside dans le fait que si le chat tombe de haut, il peut avoir le temps de se « retourner » et de retomber sur ses pattes, contrairement à une chute d'une petite hauteur. Il peut donc se faire beaucoup plus mal en tombant de moins haut.
De nombreuses manifestations permettent de soupçonner qu'un chat souffre. L'animal peut traverser une période de mal-être psychologique ou bien ressentir des douleurs dues à un traumatisme ou à une maladie. Certains symptômes ne trompent pas alors que d'autres sont moins faciles à déceler pour le maître.
Pour deux principales raisons. La première : leur souplesse leur permet de tourner sur eux-mêmes et d'atterrir sur les pattes. La deuxième : quand ils tombent, ils écartent les pattes afin d'offrir la plus large surface possible. La résistance à l'air augmente, ce qui limite la vitesse maximale atteinte.
Symptômes de la fracture chez le chat
Si une patte avant ou arrière est fracturée, le chat boite et souvent ne pose plus la patte au sol. La patte peut présenter une forme anormale. Si la fracture n'est pas complète, la boiterie peut être moins sévère. La douleur est un des principaux symptômes en cas de fracture.
L'animal en état de choc montre une respiration et des battements cardiaques accélérés. Ses muqueuses se colorent de violacé ou au contraire deviennent blanches dans le cas d'une hémorragie interne ou d'un état de choc sévère. Dans ces cas, le chat peut perdre vite connaissance avant de tomber peu à peu dans le coma.
L'expression le "chat paracute" désigne la manière dont se positionne le chat lors de sa chute :pattes étirées afin d'amortir le choc en arrivant au sol. On parle de chat parachute dès que la hauteur de la chute dépasse 7 mètres.
Pour un chat, animal relativement léger, cette vitesse moyenne de 60 km/h plafonne à partir d'une quinzaine de mètres, l'équivalent de 5 étages. Ce qui explique que des félins aient pu survivre à une chute de 32 étages (près de 90 mètres).
La perception de la hauteur ainsi que la peur du vide sont innées chez le chat. On le remarque souvent chez des chatons de 3 mois qui, ayant grimpé trop haut dans un arbre, paniquent et miaulent en ayant peur de descendre.
Cependant si les ronronnements accompagnent un autre signe relatif à une éventuelle douleur, il s'agit surement d'une douleur significative. Ils peuvent être un indicateur de la douleur ressentie. Plus les ronronnements sont répétitifs et sonores plus votre chat souffre.
Quelques gouttes de vinaigre de pomme dans la gamelle d'eau de votre chat et une demi-cuillère à café dans sa nourriture peuvent également l'aider à se rétablir. Reste la célèbre bouillotte à appliquer sur la zone lésée afin d'apaiser votre compagnon à poil.
Les pleurs d'un chat sont plutôt des miaulements lents et insistants, qui rappellent les pleurs d'un bébé et qui peuvent signifier que le chat a des exigences à faire. On peut considérer un pleur comme un miaulement qui ne s'arrête pas, avec un son triste et insistant.
dégradation respiratoire et apparition d'un œdème pulmonaire qui entraînent une détresse respiratoire pouvant aller jusqu'à la mort. la mort subite ! Nettement plus fréquente chez le chat que chez le chien ! Elle peut survenir avec 1 seul ver et chez un chat totalement dépourvu de symptômes.
Pour prendre le pouls d'un chat, le plus efficace est l'aine (là où la hanche rejoint les pattes arrières). Si vous sentez qu'il est gravement blessé et que le bouger risque d'empirer son cas, appelez d'urgence un vétérinaire pour qu'il vienne sur place.
Il place alors ses membres à l'horizontale (pattes écartées), ce qui augmente la résistance à l'air, un peu comme le ferait un parachute. Dans cette position, la force de l'impact semble distribuée plus également sur tout son corps.
L'hémorragie interne se manifeste par des muqueuses de la bouche et des yeux très pâles : vous ne pouvez malheureusement rien faire, il faut rapidement vous rendre chez le vétérinaire.
Le syndrome du chat parachutiste, tel que les vétérinaires le nomme, s'applique aux chats qui survivent à d'importantes chutes : En dessous de 3 étages, les chats sont souvent indemnes ou très légèrement blessés. Entre 3 et 5 étages, les lésions sont plus importantes, mais les chances de survie restent bonnes.
La notion de temps semble exister chez Le chat mais se manifeste différemment que chez son maître qui, lui, est capable de mesurer ou quantifier le temps qui s'écoule. Toutefois, le chat utilise différents éléments de son environnement, sortes de marqueurs qui lui permettent d'organiser sa journée par exemple.
D'après le dicton, « un chat retombe toujours sur ses pattes ». Or ceci est loin d'être vrai ; les chats n'ont pas la notion du vide, ils sont souvent curieux, explorateurs, et il suffit qu'un oiseau par exemple passe à proximité pour qu'ils s'aventurent là où ils ne doivent pas, ou pour qu'ils sautent.
Si vous laissez votre fenêtre ouverte ou si votre chat peut accéder librement au balcon, il risque une chute mortelle. On dit que le chat est habile, mais il peut toujours être surpris, glisser, sursauter et chuter.
Les signes qui doivent vous alerter
- Des yeux rouges ou bien qui coulent, des éternuements, une toux ou des difficultés à respirer…
Un chat qui ne parvient plus à mouvoir son arrière-train doit être examiné en urgence par un vétérinaire. En effet, cela signifie bien souvent qu'il est atteint d'une maladie cardiaque grave à cause de laquelle un caillot de sang s'est logé dans ses pattes arrière, provoquant une paralysie soudaine.
Si votre chat reconnaissait habituellement son nom, et qu'il n'y réagit plus, cela peut-être le signe d'un problème. Il faut vérifier que votre boule de poils est en bonne santé, notamment qu'il ne souffre pas de surdité.
S'il ne nous soigne pas, ce félin a un don pour se soigner lui-même. Véronique Aïache note cette particularité : « A fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal ». Pour l'auteur, cela n'a rien d'étonnant.