Un cheval peut aussi mordre, ce qu'ils n'hésitent pas à faire entre eux lors de « mise au point » entre membres du troupeau (la « harde » dit on chez les chevaux), mais s'ils vous mordent avec la même force qu'ils emploieraient pour un congénère, il va vous faire bien plus mal.
En équitation, les blessures les plus fréquentes sont principalement dues aux chutes et à la manipulation du cheval . Les commotions cérébrales, les entorses, les fractures ou encore les morsures sont autant de blessures qui peuvent survenir lors de cette activité.
En résumé, de nombreux chevaux souffrent de maux de dos et même si l'équitation n'en est pas seule responsable, elle y contribue souvent. De plus, les bouches des chevaux n'ont pas été conçues pour accepter des mors, ni leurs têtes des filets ou brides, même avec ennasures.
L'équitation permet en effet une prise de conscience et une correction posturales, ainsi qu'une tonification musculaire. Les mouvements répétés lents du cheval vont entraîner chez le cavalier une mobilisation douce avec un changement des points d'appui vertébraux, qui peuvent même soulager certaines lombalgies.
Atout postural. Physiquement et psychiquement, le cheval est un super plateau technique pour la rééducation d'un humain. Le balancement naturel du cheval est sécurisant. Il engage naturellement la personne à se relâcher pour le suivre et à s'y s'adapter grâce à une mobilisation passive.
L'équitation est un sport ou un loisir qui nécessite sérieux et compétence en raison des réactions possible de l'animal et de la difficulté de se maintenir en selle. Nous conseillons la pratique dans un club et de monter votre cheval favori.
Calories brûlées avec l'équitation !
Pressions de jambes, mouvements de bassin, maîtrise de l'équilibre, concentration et vigilance face aux obstacles, sont tant d'épreuves qui nécessitent une énergie constante. En effet, l'équitation génère une dépense calorique de 150 et 600 calories pour une heure de pratique.
Le cheval nous relie à la nature, nous propulse dans un ailleurs où les contraintes seraient abolies. Un peu comme s'il nous transmettait de sa puissance. « Monter m'apporte un formidable sentiment de liberté, confirme Camille, car le cheval est un animal foncièrement libre.
Les chevaux très près du sang sont extrêmement sensibles. Ils ressentent toutes les émotions que vous pourrez leur transmettre. Ainsi, si vous êtes crispé(e) parce que vous avez du mal à maitriser votre monture, et que vous commencez à monter en pression, cela risque d'empirer les choses.
Les sports équestres : une maltraitance pour l'animal. Les compétitions hippiques imposent, par leur exigence de résultats, de pousser le cheval dans ses retranchements. Entraîné comme un véritable athlète contre son gré, l'animal est soumis à un stress permanent pendant les 3 à 10 ans que dure sa carrière.
entre les espèces prédatrices et celles qui ne le sont pas. Une hypothèse plus simple serait que le cheval a tendance à avoir naturellement peur de l'homme, tout simplement parce qu'il ne le connaît pas (on parle de ? néophobie?), en raison de sa taille et des mouvements soudains qu'il peut effectuer.
Les peurs à cheval
Certains cavaliers ont également peur de l'échec : ils angoissent en imaginant ne pas réussir à réaliser un exercice. D'autres sont anxieux à l'idée de mal faire et d'abimer leur cheval et de lui faire mal.
Il peut avoir peur car une odeur lui rappelle quelque chose de désagréable ou est associée à quelque chose de désagréable. Il peut avoir peur car il entend un bruit que le cavalier ne perçoit pas / voit quelque chose derrière lui ou sur les côtés que son cavalier ne voit pas.
N°1 - l'alpinisme : 29 décès en 2010
Les sports de montagne ont provoqué à eux seuls 99 décès en 2010 dont 29 sont liés à la pratique de l'alpinisme en haute et moyenne montagne.
Selon une étude américaine réalisée par des chercheurs du Texas, l'équitation serait le sport le plus risqué. En effet, il y aurait plus de risque de se retrouver à l'hôpital à cause de l'équitation que du ski ou de la conduite automobile avec une voiture de course.
Certaines fois, le cheval botte pour se soulager, se protéger ou se débarrasser d'un mal, mais dans d'autres cas, botter est une fâcheuse habitude qu'il faut corriger avant que quelqu'un, homme ou cheval, ne soit blessé.
Toucher son cheval. Frottez le corps de votre cheval. En faisant cela, vous montrez au cheval qu'il peut être à l'aise et détendu en votre présence. Sachez reconnaitre les zones où votre cheval n'aime pas que vous le touchiez.
Le refus arrive parce que le cheval précipite dans la zone d'abord et ne peut plus sauter car il a trop de poids sur ses épaules et se retrouve souvent trop près de l'obstacle. Installez une hauteur d'obstacle au trot et exécutez une transition au trot à 3 ou 4 foulées de l'obstacle et sautez au trot.
Votre cheval reconnait aussi votre voix. Lorsqu'on met la voix du propriétaire au milieu de voix de personnes inconnues par le cheval. Ce dernier reconnait clairement la voix de son propriétaire et est beaucoup plus attentif lorsque son propriétaire parle.
Le plus grand signe d'affection que peut vous donner un cheval est sa confiance. Vous le remarquerez à son attitude détendue et calme. Le cheval exprimera son bien-être, ce sentiment de sécurité, en vous suivant en liberté, tête basse et les oreilles relâchées.
Différents travaux attestent que les femmes cavalières aiment le cheval lui-même et recherchent une relation affective avec l'animal, tandis que les hommes cavaliers apprécient davantage l'équitation et la technique.
L'équitation, un sport qui améliore le tonus musculaire
Monter à cheval ne demande pas d'efforts musculaires intenses mais une tonicité contrôlée des jambes, des fesses, du dos, de la ceinture abdominale et des bras.
L'histoire de l'équitation est, d'après Denis Bogros, longtemps restée ignorée, voire méprisée, seule la pratique étant jugée utile. La plupart de ses principes sont inventés durant les deux millénaires qui vont de l'époque de Xénophon à la Renaissance, à l'aide d'outils visant à mieux contrôler le cheval.
Alors qu'un poney pèse entre 200 et 300Kg, le poids idéal du cavalier serait entre 20 à 45kg selon la morphologie de l'équidé. Pour un cheval de selle d'environ 500 kg, le cavalier devrait peser entre 50 et 75kg. Pour calculer le poids de son cheval, zoom sur notre précédent article en cliquant ici.