Cela ne fait aucun doute: un refroidissement est contagieux – et les virus responsables de cette infection grippale ont la partie particulièrement facile pendant les mois froids de l'automne et de l'hiver, puisque nous sommes alors nombreux à avoir des défenses affaiblies.
Un refroidissement est une infection des voies respiratoires supérieures. Il est causé par différents virus. Ceux-ci atteignent les muqueuses du nez et de la gorge par l'air que nous respirons ou par contact. Les premiers symptômes ne tardent pas à se manifester : mal de gorge, enrouement, toux et écoulement nasal.
Si vous avez attrapé le rhume, vous serez contagieux à peu près un jour avant l'apparition des premiers symptômes. Mais c'est surtout au cours des deux ou trois jours suivants que le risque de contagion est maximal.
Les muqueuses nasales transfèrent à cet air de l'eau à la température du corps (phénomène qui explique au passage le "nez qui coule" en hiver). Ce transfert de chaleur humidifie l'air et provoque l'assèchement de la barrière physique que constitue le mucus.
– Du sel de Nigari (chlorure de magnésium) : diluez 1 cuillérée à soupe pour une litre d'eau et boire un verre, 1 ou 2 fois par jour jusqu'à disparition des symptômes. – De l'extrait liquide de propolis : de 3 à 10 gouttes dans de l'eau ou dans une boisson tiède (tisane de thym par exemple), 2 ou 4 fois par jour.
Pour un rhume classique, garder le lit pendant un jour ou deux suffit en général pour retrouver la forme. Même si l'on n'est pas encore totalement rétabli au bout de deux jours, il peut être préférable de se lever et de s'asseoir sur une chaise, afin que le corps retrouve un rythme normal.
La saison hivernale et le froid qui l'accompagne changent notre façon de vivre et notre immunité, de sorte que nous avons plus de risques de développer une maladie infectieuse des voies respiratoires, du simple rhume jusqu'aux infections graves des poumons, ou pneumonie.
Cependant, le froid est tout de même un facteur de risque.
En effet, notre nez et nos voies respiratoires sont faits pour se débarrasser des microbes avant qu'ils ne nous rendent malade. En hiver et en automne, quand l'air est sec et froid, les muqueuses sont irritées et remplissent donc moins bien ce rôle de défense.
D'après certains chercheurs, le temps froid et sec serait d'ailleurs en lui-même un facteur favorisant le virus de la grippe. Pour autant, le froid ne rend pas malade à proprement parler, ce sont ses conséquences qui favorisent la transmission des infections saisonnières.
"D'après les données de laboratoire, c'est surtout juste avant que les personnes infectées développent des symptômes (à savoir deux jours avant l'apparition de symptômes) et au tout début de la maladie qu'elles sont les plus contagieuses" a expliqué l'Organisation mondiale de la santé au début de l'épidémie de ...
Elles se manifestent par un mal de gorge, un nez qui coule, une toux, une fièvre.
L'air sec et le froid sont souvent des facteurs favorisant les maux de gorge. En général, les causes du mal de gorge sont virales (dans la grande majorité) ou bactériennes. Les symptômes des maux de gorge sont en général une gorge de couleur rouge qui brûle et irrite (signes typiques d'une inflammation).
Non, on n'attrape pas froid. Le froid n'est ni une maladie, ni un virus, ni un vecteur de transmission de toutes les petites maladies qui nous menacent lorsque les températures diminuent.
Ce transfert de chaleur humidifie l'air, ce qui explique pourquoi le nez coule. Or, pendant que l'air s'humidifie, les muqueuses se dessèchent et elles jouent moins bien leur rôle de protection. Les virus ont donc davantage de place pour pénétrer l'organisme. En outre, en hiver, les bronches sont davantage affectées.
Position couchée : Le mucus s'évacue moins facilement de vos voies respiratoires lorsque vous êtes couché. En effet, le mucus peut s'accumuler dans la gorge, ce qui déclenche la toux. Durant la journée, vous bougez et avalez souvent, ce qui réduit les sécrétions nasales.
Il n'y a aucun rapport avec les pieds nus ou le fait « d'attraper froid ».
La fièvre provoque une hausse rapide de la température et pour y faire face votre corps se met à transpirer pour guérir.
Ne pas sortir de chez soi va également avoir un impact sur la forme physique, puisqu'en restant en permanence sur place, on s'expose à la prise de poids.
Pour combattre le rhume, il est important de s'hydrater un maximum pour fluidifier et évacuer les mucus en provenance du nez et de la gorge d'autant plus si la fièvre est présente. Eau, tisane, chocolat chaud, etc., boire chaud aura en outre l'avantage de soulager le mal de gorge et de décongestionner le nez.
Le froid ralentit l'activité des cellules et la réponse de notre organisme aux attaques extérieures. Ce qui laisse le temps aux virus de s'installer. A cela s'ajoute le manque de luminosité qui peut entraîner des carences en vitamine D (l'exposition au soleil permet à la peau de fabriquer de la vitamine D).
Lorsque la température corporelle d'une personne augmente, elle peut avoir froid jusqu'à ce qu'elle se stabilise et cesse d'augmenter. Les gens décrivent cela comme des "frissons". L'alimentation, l'exercice, le sommeil, le moment de la journée et des facteurs individuels peuvent également influer sur la température.
«Le refroidissement et l'assèchement de l'épithélium des voies respiratoires (revêtement cellulaire du nez aux poumons en passant par la gorge et les bronches, NDLR) peuvent induire une inflammation chronique, qui est susceptible d'augmenter les symptômes respiratoires», expliquent les chercheurs finlandais.