Le traitement de la hernie discale dépend de son emplacement, du type de symptômes et de leur gravité. Une hernie discale a tendance à régresser toute seule en quelques semaines. Le disque peut reprendre sa place naturellement.
L'afflux sanguin est essentiel pour favoriser la cicatrisation du disque vertébral. D'autre part, l'action Champ de Fleurs permet de détendre les muscles et les nerfs. Cette détente permet aux muscles de mieux supporter le poids du corps et de soulager la charge supportée par le disque intervertébral hernié.
Dans 90 % des cas, une hernie discale guérit spontanément en six semaines environ (rarement plus rapidement). Le traitement consiste alors à soulager la douleur en attendant que le disque reprenne sa position naturelle : la plupart des hernies discales sont intermittentes.
Le traitement classique repose sur des médicaments voire des infiltrations pour soulager la douleur - et du repos. Certains nouveaux traitements ont vu le jour comme les injections de Discogel® ou d'ozone. L'intervention chirurgicale est réservée aux cas les plus graves.
"Une hernie discale se dégrade, c'est-à-dire que l'organisme met en place à l'intérieur du canal rachidien autour du fragment herniaire, un phénomène enzymatique qui va "manger" la hernie. Ce phénomène a été observé. Le patient n'est pas opéré. Et si on fait une IRM 5 à 10 ans après, il n'y a plus de hernie.
Les hernies discales qui n'induisent pas de symptôme sont plus fréquentes avec l'âge. Une hernie discale peut toutefois causer une douleur légère à invalidante. Le mouvement intensifie souvent la douleur, et celle-ci est aggravée par la toux, les éternuements, l'effort ou le fait de se pencher en avant.
En cas de hernie discale non traitée, il peut y avoir des complications. En effet, il existe de rares cas où la hernie peut engendrer une paralysie d'une partie des membres inférieurs. Il est donc indispensable de consulter son médecin dès l'apparition des douleurs ou d'une perte sensibilité liée à la hernie discale.
La hernie discale est une affection qui touche la colonne vertébrale. Particulièrement douloureuse, elle se soigne par du repos, des antidouleurs et de la kinésithérapie qui vous permet de retrouver votre mobilité.
Dans la grande majorité des cas, la hernie discale se traite sans chirurgie. Mais si la douleur résiste aux traitements et rend la vie quotidienne difficile, l'opération est envisagée. Aujourd'hui, il est même possible de se faire opérer en service ambulatoire.
La plupart (80 à 90 %) des sciatiques par hernie discale guérit avec un traitement médical comportant un repos relatif, des anti-inflammatoires (éventuellement des corticoïdes), des décontracturants musculaires, et des antalgiques. Ce traitement médical peut demander de 6 à 8 semaines pour être efficace.
Dans certains cas, une IRM peut être réalisée pour confirmer la résorption de la hernie.
La meilleure position pour dormir est la position dorsale, mais il ne faut pas que vous soyez totalement à plat. Pour soulager vos douleurs, vous pouvez dormir avec un coussin positionné sous votre tête et un oreiller supplémentaire placé sous vos genoux. Cela préserve la courbure du dos et évite les tensions.
une sensation d'anesthésie au niveau du périnée et de l'anus ; parfois, des difficultés à uriner, voire une rétention des urines, ou une paralysie du sphincter de l'anus et de l'incontinence ; chez les hommes, des troubles de l'érection ; parfois, des perturbations au niveau des réflexes de la jambe.
Pilates pour des muscles profonds solides
La lenteur d'exécution et la justesse du mouvement demandées, font de cette discipline un très bon moyen de bouger lorsqu'on souffre de hernie discale. Vous gagnez de la force musculaire tout en douceur.
« Il existe trois indications absolues à l'opération : un déficit moteur sévère, subit ou qui s'aggrave rapidement ; des douleurs intolérables et irradiantes en dépit d'un traitement antalgique et le syndrome de la queue-de-cheval.
La hernie discale lombaire peut être exacerbée par des mouvements brusques et répétés, qui accentuent la pression sur la région affectée. Les gestes qui sollicitent fortement le dos, comme le port de charges lourdes ou le fait de se pencher vers l'avant, ont tendance à aggraver la hernie.
Si l'examen confirme la présence d'une hernie inguinale, votre médecin traitant vous adresse à un chirurgien digestif : si la hernie ne cause pas de symptômes ou s'ils sont minimes, le chirurgien peut, dans certains cas, recommander une simple surveillance.
La prise en charge initiale est réalisée par le médecin généraliste, le rhumatologue ou le neurologue. Elle passe par la prescription de traitements médicamenteux de kinésithérapie, voire d'infiltrations de manière à faire taire les symptômes le temps que le corps résorbe la hernie.
Le traitement médicamenteux comporte des anti-inflammatoires (voire des corticoïdes), des décontracturants musculaires et des antalgiques. Ce traitement médical peut demander 6 à 8 semaines pour être efficace. En cas d'inefficacité de ce traitement, des infiltrations lombaires de corticoïdes peuvent être proposées.
Étirez vos hanches vers l'avant et penchez-vous lentement en arrière. Respirez profondément et essayez de vous pencher un peu plus à chaque expiration. Après 20 ou 30 secondes, faites le mouvement inverse. Faites le dos rond pendant quelques secondes.
Vous pouvez par exemple vous accorder quelques minutes d'étirements en douceur au niveau du dos et des jambes, ou enchaîner quelques postures de yoga préconisées. On peut aussi se demander s'il faut marcher avec une sciatique, et la réponse est oui, sans pour autant rester debout toute une journée.
Dans le cas d'une aggravation intense de la hernie discale, je peux observer une insensibilité d'un membre ou de la zone du périnée en plus d'avoir des difficultés à uriner. Dans certains cas, je peux subir une paralysie partielle ou totale d'une zone du corps menant à la perte d'une fonction et/ou de réflexes.
un dessèchement du disque intervertébral, le plus souvent dû à l'âge, et parfois aggravé par une mauvaise hydratation du corps (par exemple lors de fortes chaleurs) ; l'usure du disque intervertébral due à des efforts répétés, une mauvaise posture, une situation assise prolongée jour après jour, etc.
Elle peut être la conséquence d'efforts répétés, du port de charges, d'un surpoids ou d'une obésité, d'une toux chronique ou encore d'une constipation. Elle peut se développer de deux manières différentes : la hernie directe est due à une déficience des muscles abdominaux.