L'interjection est un « mot invariable isolé qui traduit un sentiment, une émotion, un ordre » (hélas, chut, oh). L'interjection n'est pas toujours une onomatopée. À titre d'exemple, les mots suivants sont des interjections, mais pas des onomatopées, car ils n'imitent pas un bruit en particulier : Hélas!
onomatopée
Processus permettant la création de mots dont le signifiant est étroitement lié à la perception acoustique des sons émis par des êtres animés ou des objets. 2. Unité lexicale formée par ce processus. (Des mots tels que coucou, froufrou, craquer, miaou, clac, etc., ont une origine onomatopéique.)
En l'occurrence: «koku», «kuku». Tout comme les «guilis», le verbe «chatouiller» est en réalité un mot construit sur une onomatopée.
La création d'onomatopées dans la littérature japonaise est une pratique à la fois riche et ancienne. On peut notamment citer l'apport de Kenji Miyazawa (1896-1933) dont les fables en présentent de nombreux et innovants exemples.
euh ! interj. Marque l'hésitation, le doute, la restriction, la réticence.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Parmi les onomatopées les plus courantes, on peut citer : « Aïe », « atchoum », « boum », « bip », « clac », « ding », « miam », « oups », « pouf », « pffff », « splash », « toc toc toc », « vroum », « vlan », « coin coin », « cui cui », « meuh », « miaou », « wouaf », « cocorico »...
Bruit d'un soupir de fatigue, de soulagement, de bonheur, d'agacement, etc.
Cartouche est surtout connu comme nom féminin ; il désigne alors l'étui cylindrique en carton ou la douille de métal contenant le projectile qu'on place dans une arme à feu puis, par métonymie, cet étui, cette douille eux-mêmes.
Le verbe «To Wow» signifie impressionner, épater et «A Wow» est un succès. On dit couramment: «It's a wow» pour dire que le spectacle est sensationnel. Depuis 1972, le Québec a assimilé dans la langue française le mot en l'orthographiant «Waouh», «Waou» ou «Ouah».
Parmi les règles du Scrabble® classique, il est à noter que l'utilisation d'abréviations et de sigles, de symboles (tels les symboles chimiques) et de noms propres est prohibée. En revanche, les accords, conjugaisons, onomatopées et vocables franglais (twist, sketch…) sont acceptés.
kof…, toussé-je.
Phénomène physique qui engendre une sensation gênante ou désagréable. Bien qu'il soit mesurable, sa perception reste une sensation individuelle et subjective. Une activité est considérée comme dangereuse pour la santé si elle subit une exposition prolongée de plus de 85 décibels.
L'interjection est un mot ou une locution qui exprime un sentiment avec vivacité. Grammaticalement, elle n'a aucun rôle. L'interjection est suivie d'un point d'exclamation (parfois d'un point d'interrogation). Le mot qui suit ce point d'exclamation ne prend pas obligatoirement la majuscule.
est introduite au moyen de pousser un cri de douleur ou de crier de douleur : Et Pierre poussa un cri de douleur : « Aïe ! » Et il cria de douleur : « Aïe ! »
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
Les homonymes sont des mots qui possèdent une orthographe ou une prononciation identique à celle d'un ou de plusieurs autres mots, mais qui n'ont pas le même sens. Exemple : Pot est un homonyme de peau. Le terme homonyme étant issu du latin homonymus, homo signifiant semblable et nymus, nom.
Pif, paf, pouf, onomatopées musicales.
Eh oui est une locution interjective que l'on emploie, souvent après un temps de réflexion, lorsque l'on admet quelque chose à regret, ou pour faire un aveu difficile ou étonnant. Ainsi, en 1940, Gide écrit dans son Journal : « Eh oui !
Figure de style basée sur l'atténuation d'un mot, d'une expression qui serait trop choquante. Exemple : Les "personnes de couleur" ou le "troisième âge" sont des euphémismes qui permettent de ne pas froisser certaines populations. Étymologie : du grec ancien euphêmismos, qui signifie l'emploi du mot approprié.
...les «euh» à tout bout de champ
Cette onomatopée jaillit sans prévenir, entre les mots. «Elle peut être interprétée comme un manque de confiance en vous, une agitation intérieure, souligne Bernard Sananès, directeur de l'organisme de formation Clere et auteur de La Communication efficace (Dunod).