Une phrase est constituée d'un ou plusieurs mots, de différentes natures et fonctions, reliés entre eux. Elle commence par une majuscule et se termine par une ponctuation forte (point final, point d'exclamation, point d'interrogation, points de suspension).
Phrase déclarative: c'est une phrase qui déclare quelque chose. Elle se termine par un point (.). Exemple : Mon cahier est rouge. Phrase interrogative : c'est une phrase qui pose une question, demande quelque chose.
À chacun des quatre actes de langage fondamentaux correspond un type de phrase. Il y a donc quatre types de phrase : la phrase déclarative (ou assertive), la phrase interrogative, la phrase impérative (ou injonctive) et la phrase exclamative.
On place à la fin de la phrase un point d'exclamation ( ! ). La phrase commence par un mot d'exclamation. exemples : Quel, quelle, quels, quelles, comme, que , qu'. Ou en utilisant une phrase déclarative (de jugement ou de sentiment) et en y ajoutant un point d'exclamation.
Les formes de phrases. Les phrases sont ainsi classées par types (déclarative, interrogative, exclamative, injonctive), mais elles peuvent aussi prendre différentes formes : l'affirmation/la négation, la voix active/la voix passive, la forme personnelle/la forme impersonnelle et la forme neutre/la forme emphatique.
Il existe quatre types de phrase : la phrase déclarative, la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase injonctive.
Le point d'exclamation s'emploie dans trois cas :
Pour marquer la fin d'une phrase exclamative; Pour terminer une phrase exclamative non verbale; Pour marquer la fin d'une interjection.
La phrase que termine un point d'exclamation peut soit être une véritable exclamation (« Oh ! »), soit être un ordre (« Halte, vous avez enfreint la loi ! »), ou encore souligner un fait remarquable (« Cet animal est vraiment gigantesque ! »), la surprise, l'exaspération ou l'admiration.
La phrase de type exclamatif sert à exprimer une émotion, un jugement ou un sentiment. Elle commence par un marqueur exclamatif et se termine par un point d'exclamation. Quel beau spectacle s'offre à nous! Comme tu es content!
Une phrase est constituée d'un ou plusieurs mots, de différentes natures et fonctions, reliés entre eux. Elle commence par une majuscule et se termine par une ponctuation forte (point final, point d'exclamation, point d'interrogation, points de suspension).
Elle comprend toujours au moins deux éléments (sujet et verbe), et parfois trois (sujet, verbe et complément). Le sujet est la personne ou la chose qui fait l'action : Les députés voteront la loi. Le verbe est l'action : Les députés voteront la loi.
L'anacoluthe est ce qu'on appelle une rupture syntaxique : le rédacteur commence sa phrase selon une certaine structure, puis l'abandonne au profit d'une autre. Il s'agit généralement d'une phrase comprenant un participe présent, un participe passé ou un verbe à l'infinitif qui est « orphelin de sujet ».
Rupture de la construction syntaxique intervenant en cours de phrase, de telle manière que, sans qu'il y ait rupture du lien logique, la fin de la phrase n'est plus grammaticalement en harmonie avec son début; p. ex. dans cette phrase : ,,Les autres éternellement sur nous, j'étouffe!``
Les points de suspension à la fin d'une énumération
Quand les points de suspension marquent la continuité d'une énumération, ils indiquent que celle-ci est volontairement écourtée afin d'abréger le discours. Ces trois points doivent être suivis par une majuscule puisqu'ils marquent tout de même la fin de la phrase.
Le point d'exclamation peut être doublé, triplé et même combiné au point d'interrogation pour exprimer l'incrédulité, l'étonnement.
Les deux-points sont un signe de ponctuation constitué de deux points disposés verticalement et dont la fonction est d'insérer, généralement en fin de phrase, un énoncé juxtaposé à ce qui précède, un discours direct ou une série d'éléments constituant une énumération.
On supprime pas et point après le verbe placé sous la dépendance de la proposition impersonnelle il y a, lorsqu'il figure à un temps passé. Exemple : Il y a six mois que je ne lui ai parlé. Mais si le verbe de la seconde proposition est au présent, on emploie alors pas ou point.
Un désaccord
“Les trois petits points peuvent être un marqueur d'opposition que l'on n'est pas capable d'exprimer directement. En réalité, l'interlocuteur bouillonne et peut finir par exprimer son mécontentement ailleurs, en ne faisant pas correctement ce qui lui est demandé, par exemple”, explique Vanessa Lalo.
Avant une apostrophe (pas l'apostrophe comme celle-ci : « ' » mais le fait d'apostropher), on met une virgule. Ce qui donne : « c'est très gentil, Paul ! »
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe. Privée de l'ancrage situationnel donné par le verbe, la phrase nominale est particulièrement sensible au contexte.
Elle est composée, au minimum, des deux constituants obligatoires : le sujet et le prédicat. Ceux-ci doivent se suivre dans un ordre précis : le sujet d'abord et le verbe ensuite. 4. Elle peut contenir un constituant supplémentaire, qui est facultatif : le complément de phrase.
1. Unité grammaticale composée d'éléments ordonnés, capable de porter l'énoncé complet d'une proposition. 2. Fragment du discours musical, indépendant du découpage en mesures et qui se termine par une cadence.