Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc.
Pour savoir si on écrit et, est ou es, on met la phrase au passé. Est : Le verbe être (es, est). Il peut se conjuguer à l'imparfait : Tu es belle.
Donc en résumé, “il est” tu peux l'utiliser pour décrire quelque chose ou quelqu'un. Il est toujours suivi d'un adjectif, jamais d'un déterminant. Très, très important. Tu peux utiliser “il est” pour l'heure, pour définir l'heure, parler de l'heure, donner l'heure.
« il » 'et « ce » sont les sujets apparents. . La proposition qui suit est sujet réel. « Il » est un pronom impersonnel. « ce » semble* remplir la même fonction ici.
A l'écrit, vous devez utiliser “il est”.
Au conditionnel présent, on conjugue le verbe être comme ceci : je serais , tu serais , il serait . Avec le sujet il , la terminaison est -ait . Et ensuite, quand le sujet est placé après le verbe, ces deux mots se relient par un trait d'union.
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».
On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral. Elle comporte toujours un trait d'union entre le verbe « est » et « ce ».
Exemple : ''Qu'en est-il de votre voyage ?'' Le bout de phrase « qu'en est-il » est formé de la forme élidée de la conjonction « que », du pronom personnel « en » et de la forme inversée de « il est ». On se gardera de remplacer « qu'en » dans cette formule interrogative par son homophone « quant ».
Dans un emploi particulier, le, toujours du masculin et du singulier, signifie cela, ceci, et ne se rapporte pas à un nom substantif, mais est un substantif lui-même.
On écrit « c'est » avec un -c quand... : On écrit « c'est » lorsqu'on peut remplacer par « cela est ». Il est alors suivi d'un groupe nominal, d'un pronom ou d'un adjectif qualificatif. Tout comme "ces" et "ses", « c'est » est utilisé pour montrer ou désigner quelque chose.
(Adjectif) (Date à préciser) L'expression « c'est ballot » vient du mot ballot désignant un objet empaqueté (sorte de baluchon), un individu dont on dit qu'il est ballot est comme un ballot dénué de réflexion et balloté à droite et à gauche dans son cheminement sans paraître y prendre part.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Et quel est son sujet : qui « est » ? Si c'est tu , on n'écrit pas tu est , ni tu ai , on écrit tu es .
Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
— on a est-ce, qui se prononce comme l' "ès" et non les ceux. On écrira donc Est-ce toi ; en prononçant "ès toi", comme estois, quelle question ! À moins que ce ne soit "! es-ce toi", vu qu'on a appris qu'il fallait écrire tu es.
Il s'agit donc du verbe « être » : on écrit « est », et non « et ». Faux. Il faut écrire : Le site est en cours de construction. Le remplacement par « était » est possible : « Le site était en cours de construction. » Il s'agit donc du verbe « être » : on écrit « est », et non « et ».
«Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
Qui est un pronom relatif sujet, qu' (=que) est ici le pronom relatif COD. C'est pourquoi la seconde proposition me semble la bonne. Le temps qu'il te reste = Le temps « que il » te reste (=>Il te reste du temps). Dans la tournure impersonnelle, il est sujet du verbe reste et que (= le temps) est COD du verbe.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Dans cette expression qui apporte une pointe d'humour à une phrase, il ne faut pas oublier l'accent circonflexe sur le « u » de l'auxiliaire « avoir ». Qui l'eût cru ? Le verbe « croire » est ici au conditionnel passé deuxième forme. Il a exactement les mêmes terminaisons que le plus-que-parfait du subjonctif.