Parmi les bienfaits du bien-être physique au travail, sachez qu'il permet d'éviter les douleurs physiques et la fatigue. Il permet de limiter le nombre d'arrêts maladie, et de préserver la santé physique des employés.
Le bien-être au travail est une raison de plus pour les salariés de se lever le matin. En effet, la mise en place une telle démarche au sein d'une entreprise diminuerait de 25% le taux d'absentéisme, selon une étude réalisée par l'Institut Chapman.
Le bien-être au travail permet de lutter contre le risque de maladie professionnelle et d'absentéisme des salariés. Le bien-être des salariés minimise le risque d'absence pour maladie. Un salarié qui se sent bien a moins de chance de développer du stress ou de l'anxiété.
En effet, la qualité du cadre de travail a un impact sur la motivation. Cela joue ainsi sur leurs aptitudes et sur leur attitude au sein des entreprises. Lorsque les salariés sont motivés et qu'ils exercent dans une bonne ambiance de travail, ils donnent le meilleur d'eux pour assurer la bonne marche des activités.
Le bien-être met l'accent sur la perception personnelle et collective des situations et des contraintes de la sphère professionnelle. Le sens de ces réalités a, pour chacun, des conséquences physiques, psychologiques, émotionnelles et psychosociales et se traduit par un certain niveau d'efficacité pour l'entreprise.
La santé se concentre sur le fait que le corps physique et mental est exempt de blessure ou de maladie. Donc, la santé est un objectif que vous poursuivez pour y atteindre. Par exemple, perdre du poids ou renforcer son cœur grâce à des exercices cardiovasculaires sont des objectifs à atteindre.
Le bien-être augmente la productivité et aide les employés à prendre de bonnes habitudes. Des études montrent que les travailleurs sont 13 % plus productifs lorsqu'ils sont heureux.
Plus qu'une manière de subvenir à nos besoins, le travail est désormais un vecteur d'épanouissement et de réalisation de soi : il donne un sens à notre vie et nous permet de nous sentir utile à la société. La question du bien-être et de la qualité de vie au travail prend donc tout son sens.
Le mal-être au travail se définit comme une forme de souffrance mentale directement liée à l'environnement de travail. Il peut affecter indifféremment les salariés de n'importe quel secteur d'activité et peut apparaître à divers moments de leur vie professionnelle.
1. État agréable résultant de la satisfaction des besoins du corps et du calme de l'esprit : Éprouver une sensation de bien-être. 2. Aisance matérielle qui permet une existence agréable.
Le Chief Happiness Officer (CHO)
Autrement désigné Directeur Général du bonheur ou Responsable Bonheur de l'entreprise, le Chief Happiness Officer est responsable de la mise en œuvre des conditions de travail favorisant le bien-être des collaborateurs.
Pour l'améliorer, l'entreprise peut par exemple améliorer l'aménagement des espaces de travail, favoriser l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et mettre en place des actions de prévention des risques psychosociaux.
Les Français font ressortir quatre activités qui leur permettent de se sentir bien : 94 % d'entre eux citent le fait de se promener, 93 % de partager un repas en famille ou entre amis, 92 % de sortir avec leur famille ou leurs amis, et 88 % de cuisiner des plats sains et équilibrés.
Promouvoir le bien-être peut contribuer à prévenir le stress et à créer des environnements de travail positifs dans lesquels les individus et les organisations peuvent s'épanouir . La bonne santé et le bien-être peuvent être un facteur essentiel de l’engagement des employés et de la performance organisationnelle.
Indicateurs sociaux du bien-être
Des facteurs sociaux comme l'autonomie, l'équité, la santé et la cohésion sociale entrent en jeu dans le bien-être.
L'Office Manager (ou Workplace Manager) Le rôle du ou de la Workplace Manager est de proposer un environnement de travail agréable, pratique et confortable, favorisant le bien-être sur le lieu de travail.
À la notion de QVT, est associée la notion de « démarche ». La QVT est d'abord une façon de construire et de conduire l'action collective qui permet d'articuler les objectifs d'amélioration des conditions de travail et ceux de qualité de service rendu aux usagers.
Les choix que font les gens et les comportements qu’ils adoptent sont souvent influencés par le contexte dans lequel ils se trouvent. Ces comportements peuvent ou non améliorer le bien-être. Le contexte imposera, ouvertement ou secrètement, des règles et des conseils sur les attitudes et les comportements .
Il est important d'être indulgent et non jugeant envers soi-même. Par conséquent, évitons de porter un jugement sur nos émotions. Elles ne sont ni bonnes ni mauvaises, ni acceptables ou inadmissibles. Pour avoir un bon niveau de bien-être, on peut identifier ses émotions, apprendre à les nommer et à les accepter.