Quand faut-il laisser la plaie à l'air libre ? Si votre blessure est en phase de cicatrisation, vous devriez la laisser à l'air libre. En effet, en réduisant l'apport d'oxygène, vous pourriez favoriser la prolifération des bactéries qui aiment vivre « enfermées ».
Inversement, à l'air libre, la croûte se forme très vite et empêche les tissus de se régénérer correctement. Il en résulte alors une cicatrisation douloureuse, lente et un fort risque d'en conserver une trace indélébile sur la peau. Mais attention, tout cela ne fonctionne que si l'humidité est bien régulée.
Parce qu'elle va prévenir la formation de croûtes. La cicatrisation des plaies en milieu humide permet d'éviter la formation d'une croûte. Dans ces conditions, l'humidité favorise la division et la migration cellulaire.
Protégez la plaie.
Recouvrez la plaie d'un pansement adhésif prêt à l'emploi ou confectionné vous-même, avec une compresse stérile et un sparadrap. Cela favorise la cicatrisation en maintenant la peau humide. Pour les brûlures au deuxième degré, employez de préférence un pansement gras (ou « interface »).
Il est mieux d'utiliser un pansement adhésif sur les plaies jusqu'à ce qu'elles soient complètement guéries. Beaucoup de gens n'appliquent un pansement adhésif à leur plaie que durant sa phase critique, c'est-à-dire, jusqu'à ce qu'elle ait arrêté de saigner.
Quand faut-il laisser la plaie à l'air libre ? Si votre blessure est en phase de cicatrisation, vous devriez la laisser à l'air libre. En effet, en réduisant l'apport d'oxygène, vous pourriez favoriser la prolifération des bactéries qui aiment vivre « enfermées ».
Désinfectez la plaie dans les règles de l'art en utilisant une crème ou un spray antiseptique. Pour éviter que des germes et bactéries ne pénètrent dans la plaie, utilisez des pansements ou du matériel de pansement qui ne collent pas à la plaie. Ne pas oublier de les changer régulièrement.
Le miel comme cicatrisant naturel
Il rappelle dans sa thèse « Le miel comme agent cicatrisant » que les plaies soignées avec du miel se referment de façon spectaculaire et en très peu de jours. Le miel permet aussi d'améliorer l'aspect des cicatrices.
Les bactéries: lorsqu'une plaie n'est pas recouverte par un pansement, les bactéries peuvent pénétrer dans la plaie, causer des infections et retarder la cicatrisation. L'eau: une protection imperméable est indispensable pour éviter que la plaie n'entre en contact avec l'eau.
Le processus de cicatrisation commence dès les premières minutes après le début de l'agression. Dans tous les cas de figure, la cicatrisation cutanée va suivre la même évolution. Ce qui va changer selon les cas, est la longueur des phases de cicatrisation.
Le jus de citron aura un effet antioxydant. Il sera conseillé de l'utiliser une fois la plaie fermée afin de l'affiner. Il suffit de déposer du jus de citron frais sur la zone en cicatrisation, de laisser agir pendant 30 minutes et de rincer. En le faisant 2 à 3 fois par jour pendant 15 à 20 jours.
Celle-ci peut durer de 2 à 4 jours selon le type de lésion et la gravité de la blessure. Lors de cette phase, la plaie saigne et la coagulation débute. Après quelques heures, une fois que le saignement s'arrête, la plaie reste rouge et vous pouvez ressentir une légère sensation de chaleur autour de la zone.
La solution de Betadine convient au rinçage et à la désinfection des coupures ou piqûres superficielles. Elle prévient et traite les infections des petites et grandes plaies, et réduit le risque de cicatrices. Le médicament ne pique pas, et offre ainsi une bonne tolérance.
Causes empêchant ou retardant la cicatrisation d'une plaie
Les infections dues à des bactéries, des champignons ou des parasites ont un effet négatif sur la cicatrisation. Des maladies du sang sous-jacentes telles qu'une anémie ou des troubles de la coagulation peuvent retarder la cicatrisation.
Plusieurs situations exposent à un retard de cicatrisation : carences en certains nutriments (protéines, vitamines, etc.) ; infections, certaines causes cardiovasculaires, tabagisme, consommation importante et régulière d'alcool, radiothérapie, alitement, âge avancé, obésité, diabète.
Les signes d'infection à surveiller :
Enflure, rougeur et chaleur autour de la plaie. Douleur ou sensibilité dans la zone entourant la plaie. Écoulement ou collection de pus.
Le miel est un produit cicatrisant réputé pour soigner les plaies, les coupures (plaies aiguës chroniques, crevasses et gerçures d'allaitement, ulcères, escarres) et les brûlures (1er et 2nd degré). La stérilité du miel permet son utilisation dans un large spectre de plaies externes.
Prêter attention à l'aspect de la peau
Deux couleurs vous informent qu'une blessure cicatrise bien : si votre plaie superficielle est rouge, c'est un signe que la cicatrisation est en bonne voie. Si elle prend une teinte rosée et nacrée, votre blessure arrive en fin de cicatrisation !
Elle présente un aspect rouge. Cela traduit la présence d'un tissu en bonne voie de cicatrisation. Cet aspect de la plaie est le signe d'une bonne vascularisation qui permet la migration et l'implantation des fibroblastes.
Lorsqu'on a une plaie, le corps envoie des agents chimiques aidant la guérison. Parmi ces agents, il y a l'histamine (présente également lors de certaines réactions allergiques). Celle-ci provoque la démangeaison, et voilà le travail.
Pour favoriser une bonne cicatrisation, il est ensuite recommandé de changer le pansement régulièrement. Pendant les 2 à 3 jours qui suivent la blessure, le pansement doit être changé tous les jours (ou dès qu'il est mouillé ou souillé). Si la plaie est propre, il peut ensuite être remplacé tous les deux jours.
La langue est la partie du corps qui cicatrise le plus vite. Il s'agit, en effet, de l'un des organes les plus vascularisés. Les cellules qui participent au processus de guérison peuvent donc arriver plus rapidement et en plus grand nombre sur la blessure.