La culture générale n'est pas une chose inerte: elle est vivante et transforme profondément la personne qui la possède et en qui elle vit", résume Normand Baillargeon. Etre cultivé, selon lui, sert à cela: à changer, en mieux.
La culture permet de jouir de la vie, d'être fier de notre savoir et d'être bien dans sa peau. Se cultiver permet d'apprécier les choses qui sinon nous sont étrangères : les paysages, les tableaux, la gastronomie, ou la musique… Il ya de tout pour faire un monde et pour être heureux.
Si être cultivé est un devoir, l'homme devrait donc se sentir obligé de développer ses talents, d'actualiser les dispositions de sa nature et de promouvoir par son effort moral le perfectionnement de son être.
Sans la culture, nous ne serions alors que des animaux sujets à nos pulsions, cela montre donc l'opposition qu'il y a entre la culture que nous recevons et la nature avec laquelle nous naissons. Ce serait alors par la culture que nous deviendrions des Hommes. Par ailleurs, les connaissances sont propres….
La culture alimente l'intelligence, mais n'en est pas une source fondamentale. La culture ne définit pas l'intelligence, mais elle aide à la développer.
Par ailleurs,dans notre société moderne et très occidentalisée,une personne cultivée est une personne qui connaît beaucoup de choses, qui dispose de beaucoup de connaissances ,sur le monde , sur son fonctionnement, sur son organisation , sur ce qui l'entoure et qui fait de lui un « animal »doué de raison.
Qui a de la culture, qui est instruit dans divers domaines.
la culture est elle la nature de l Homme
Cette à dire d'objects matériels et immatériels crées artificiellemnt par l'Homme ici nous pourrions par exemple y rattacher respectivement les règles d'hygiène dans un hôpital, les traditions culinaires suivant nos habitudes alimentaires, les rites funaires….
Effectivement, on ne peut pas vraiment parler de culture proprement dite pour un seul et unique individu car comme nous l'avons vu, elle se construit sur des échanges primordiaux et un partage humain nécessaire à la vivacité mais surtout à la survie de la culture.
S'instruire, augmenter ses connaissances.
Du latin cultura, son sens courant la rapporte à la formation spirituelle, ayant élevé le goût, l'intelligence et la personnalité à la dimension de l'universel. L'homme cultivé est ainsi en mesure d'exercer son jugement.
Un homme cultivé est, au sens restreint, celui qui dispose d'une formation et/ou d'un savoir relativement étendu dans un ou plusieurs domaines précis de connaissance : ainsi on dira de tel homme qu'il a une bonne culture musicale, mathématique, etc.
Développer ses connaissances grâce à la lecture
Il existe différentes manières de développer votre culture, vous pouvez aller voir des expositions, écouter les actualités à la radio, chercher des informations sur internet, regarder des vidéos, lire la presse quotidienne ou lire des livres d'auteurs.
Culturé, que l'on entendait d'abord ici ou là en matière de plaisanterie, mais qui commence à se répandre hors de ce cadre, est un barbarisme qu'il faut à toute force proscrire.
Ce proverbe signifie qu' un homme qui n'a pas de culture n'est pas un vrai homme, il est dépourvu de ce qui fait l'humanité.
Transition : la culture semble bien constituer une condition essentielle à l'humanisation de l'homme. Elle rend l'homme humain en l'éduquant et en l'aidant à « cultiver » des capacités qu'il ne possédait pas de façon innée.
La culture fait et ne fait pas l'homme. Car si c'était la culture (comprise comme éducation ou assimilation des codes) qui accordait le statut d'homme alors un bébé non éduqué ne bénéficierait pas de cette identité et des droits associés.
– L'homme appartient à la nature car tout est interdépendant. L'humanité est partie de l'animalité. Il faut faire attention au patrimoine de l'humanité qu'est la nature, à la fois pour la survie de l'humanité et plus généralement pour la survie de la Terre.
Nature et culture
En l'homme, la « nature » désigne ce qui est donné à la naissance, tandis que la « culture » désigne ce qu'il acquiert tout au long de son éducation. Rousseau nomme « perfectibilité » la capacité de l'homme, non pas (seulement) de progresser, mais d'évoluer sans cesse, en bien comme en mal.
La culture est donc ce qui s'oppose à la nature : c'est ce qui est acquis. La nature, c'est tout ce qui est en nous par hérédité biologique ; la culture, c'est au contraire tout ce que nous tenons de la tradition externe. Dans cette citation, Lévi-Strauss met en évidence les types d'héritages que reçoit l'homme.
inculte adj. Qui n'est pas cultivé.
Définitions : esthète - Dictionnaire de français Larousse.