que les chiffres tensionnels ne varient pas de façon importante par rapport aux chiffres habituels. L'organisme aime la stabilité et l'alternance de chiffres élevés et bas, est mal tolérée ; que la tension ne chute pas brutalement en dessous de 5 ou 6 (tension systolique), minimum vital.
La tension artérielle est considérée comme basse lorsqu'elle chute en dessous de 10 mmHg pour la valeur systolique et 6 mHg pour la valeur diastolique. Certains sujets vivent avec une tension basse, sans symptôme. Il s'agit le plus souvent de femmes jeunes et de petite corpulence.
L'hypotension est une tension artérielle plus basse que la normale. On considère généralement qu'une tension (ou pression) normale, au repos, est comprise entre 90/60 mmHg et 130/80 mmHg. En dessous de 90 mmHg de pression systolique ou de 60 mmHg de pression diastolique, on est donc en présence d'une hypotension.
L'hypotension artérielle provoque parfois un essoufflement ou une douleur thoracique du(e) à une insuffisance de l'apport sanguin au muscle cardiaque (une maladie appelée angor. en apprendre davantage ). Tous les organes commencent à mal fonctionner si la pression sanguine baisse suffisamment et reste basse.
Il n'existe pas de tension "normale"
En fait, on sait que le risque cardiovasculaire, et surtout le risque d'accident vasculaire cérébral, augmente avec la tension artérielle. Il vaut mieux avoir 10 que 11, 11 que 12, 12 que 13 etc. Mais le risque d'AVC accélère à partir de 15, et devient majeur à 18.
Il n'existe donc pas de seuils la définissant "de légère à grave", mais une "cote d'alerte" lorsque la pression descend trop souvent en dessous de 10/7, y reste trop longtemps et surtout si elle s'accompagne de malaises…
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
On parle généralement d'hypotension artérielle lorsque la tension artérielle systolique (le premier des deux chiffres indiquant tension artérielle) est inférieure à 90 mm Hg. Une valeur tensionnelle systolique de moins de 50 mm Hg indique une hypotension artérielle sévère.
Tension basse vs tension haute
Il est au contraire dangereux d'avoir une tension trop élevée, c'est-à-dire de l'hypertension artérielle. Quand a t-on a trop de tension ? Quand le premier chiffre est au dessus de 14 et/ou que le second chiffre est supérieur à 8.
L'hypotension artérielle est une condition fréquente, qui grève la morbidité et la mortalité cardiovasculaires et générales de nos patients. Les causes les plus fréquentes en sont les médicaments, l'hypovolémie quelle que soit son origine, ou une neuropathie autonome (maladie de Parkinson, diabète…).
Une grande fatigue, des vertiges, une sensation de malaise sont parfois les signes d'une tension basse : ce qu'on appelle une hypotension. Le plus souvent dite orthostatique, car liée à la position debout. Ce n'est pas dangereux et n'a rien d'anormal.
Une hypotension artérielle correspond à une chute ou à une baisse de la pression exercée par le sang, pompé par le coeur, contre les parois des artères. On désigne une hypotension quand la valeur systolique (chiffre du haut) est inférieur à 100 mmHg et/ou la valeur diastolique (chiffre du bas) est inférieure à 60 mmHg.
l'hypoglycémie (un taux de sucre sanguin bas) ; des troubles cardiaques (par ex. une crise cardiaque, une insuffisance cardiaque, une cardiopathie valvulaire, une très faible fréquence cardiaque) ; des troubles neurologiques (par ex.
les eaux gazeuses comme Vichy Saint-Yorre, Vichy Célestins, Apollinaris, Badoît. En revanche, peuvent être bues : Perrier, Vittel, Contrexéville, Evian, Volvic, Charrier.
C'est la forme la plus courante d'hypotension, qui résulte de l'incapacité du corps à s'adapter rapidement de la position allongée à la position debout. Souvent, les symptômes associés sont les vertiges et le voile devant les yeux ; L'hypotension postprandiale, qui survient après le repas, notamment un repas copieux.
Surdose en sodium :
En cas d'hypertension, mieux vaut consommer des eaux pauvres en sodium : Courmayeur (1 mg/l), Thonon (3 mg/l), Salvetat (7 mg/l). En revanche dans les cas d'hypotension les eaux riches en sodium sont recommandées : St Yorre (1708 mg/l), Vichy Célestins (1 172 mg/l).
On considère qu'une tension normale doit se situer à 12 ou 13 pour le premier chiffre, et 8 pour le second. Si l'on prend en compte la fourchette haute, l'hypertension légère commence à partir de 14/9. Quant à l'hypotension, elle commence à partir de 10/6.
Mangez plusieurs petits repas faibles en glucides. Pour aider à prévenir la pression artérielle de tomber brusquement après les repas, manger de petites portions plusieurs fois par jour et limiter aliments riches en glucides tels que les pommes de terre, riz, pâtes et du pain en grandes quantités.
L'AVC silencieux, ou l'absence de symptômes. Sourire asymétrique, faiblesse d'un côté du visage ou du corps, difficultés à s'exprimer… En règle générale, les signes de l'AVC sont relativement faciles à reconnaître. Mais il arrive que cette pathologie ne provoque aucun symptôme : on parle alors d'AVC silencieux.
une faiblesse d'un seul côté de votre corps. un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage dans les bras ou dans les jambes. une difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres. des troubles de la vue, comme une vision double ou l'incapacité de voir, surtout d'un œil.
En cas d'hypotension orthostatique
Avant de se lever du lit, s'étirer puis s'asseoir 1 minute sur le bord du lit ; boire de l'eau et d'autres boissons régulièrement. Par temps chaud, chez les personnes qui prennent des diurétiques et limitent leur apport en sel, l'apport d'eau et de sel peut prévenir l'hypotension.
A. McDonough, membre de l'équipe de chercheurs impliquée sur cette étude, souligne que les fruits et légumes riches en potassium, tels que la patate douce, l'avocat, les épinards, les haricots, les bananes et même le café, favoriseraient la diminution de la pression sanguine au sein de l'organisme.
Les différents types d'AVC
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.