Les sens peuvent être sujets à des illusions, donc il faut une méthode pour distinguer les illusions des connaissances objectives. De plus, les sens peuvent être insuffisant pour avoir une connaissance vraie, pour par exemple comprendre l'infiniment petit ou l'infiniment grand.
La raison est la faculté de l'esprit qui nous permet de distinguer le vrai du faux et le bien du mal. Elle a donc un usage dans la connaissance, dans le premier cas, elle nous permet d'accéder à la vérité. Elle est utile en morale, afin d'être raisonnable, dans le second cas.
La réalité n'existe pas avant qu'on l'observe
Ce que l'on a fait, de manière conceptuelle, au niveau expérimental, est de voir si, lorsque notre esprit perçoit un objet, celui-ci pourrait se comporter comme une onde ou une particule, indépendamment de la façon dont il est évalué et, par ailleurs, en simultané.
En philosophie le concept de réalité appartient à une catégorie ontologique, c'est-à-dire qui concerne l'être. La vérité s'inscrit dans une catégorie logique et gnoséologique, qui a trait au langage et à la connaissance. Les choses sont réelles ou irréelles. Ce que l'on en dit est vrai ou faux.
Seul être doté de conscience, l'homme est le seul capable d'avoir connaissance de ce qu'il est. Il a conscience de lui-même, de son identité, de ce qu'il est. Par l'intermédiaire de la conscience qu'il a de lui-même, il pense certainement se connaître plus que toute autre personne.
On ne peut pas se connaître soi-même. On ne peut pas se connaître soi-même, car l'expérience des sens nous en empêche. En effet, nos sens sont trompeurs et sont considérés comme une source d'illusion, d'incertitude, car ils nous détournent de notre pensée. Platon les qualifie même de dangereux.
On n'a pas besoin de s'imposer le devoir de chercher la vérité quand elle est utile. La recherche de la vérité dans le domaine scientifique va par exemple de soi. L'explication et la compréhension du monde qui nous entoure nous permettent de le maîtriser et donc d'y vivre mieux.
Ceci a considérablement accéléré les flux entre les trois types de réalité qu'Adoni et Mane (1984) qualifient de 1) objective, 2, symbolique et 3) sociale et subjective.
Ce qui est réel, ce qui existe en fait, par opposition à ce qui est imaginé, rêvé, fictif : La réalité dépasse la fiction. 3. Vie réelle, telle qu'elle est, par opposition aux désirs, aux illusions : Regarder la réalité en face. 4.
La réalité est ce qui est objet de constat. La vérité quant à elle est ce qui est conforme à la réalité: est vrai ce qui correspond à ce qui est. La vérité consisterait ainsi dans une correspondance, un accord entre le discours et la réalité, c'est-à-dire entre ce que je dis et ce qui est (réel).
Pourquoi existe-t-il quelque chose plutôt que rien? Le « Pourquoi » demande une cause. Aristote nous dit qu'il existe une cause première : « le premier moteur immobile », et Descartes la nomme Dieu. Dieu est un accessoire métaphysique commode qui permet d'appuyer le levier de la pensée.
Elle considère en effet l'espace et le temps comme des propriétés du monde physique, ni plus ni moins dépendantes, par conséquent, que n'importe quelle autre du monde physique, de nos modes de perception.
La vérité est donc ce qui est conforme à la réalité et, en conséquence, dont on peut affirmer que c'est vrai. Mais la réalité des choses, comme tout un courant de la philosophie a tendu à l'établir (notamment la phénoménologie), n'existe que pour une conscience qui la perçoit.
Croire, c'est donc donner son assentiment à une proposition qui est tenue pour vraie sans avoir la certitude objective de sa vérité. Il s'agit d'une opinion. Savoir, c'est donner son assentiment à une proposition en ayant la certitude objective de sa vérité.
Selon Platon la vérité est donc à la portée de tous, car nos âmes l'ont contemplée avant d'arriver dans la réalité matérielle. Ainsi, découvrir la vérité est plus une affaire de réminiscence que de découverte : nos âmes se souviennent des idées parfaites qu'elles ont contemplées.
n. Personne qui accepte le monde tel qu'il est et agit en conséquence (ex. il se demanda si le réaliste n'était pas seulement un utopiste ignorant du fait que le monde est toujours bien différent de ce qu'il semble).
Entre les adjectifs réel et réaliste : Le réel c'est ce qui se passe de réel tout simplement et le réaliste c'est ce qu'on voit de prés qu'on observe comme quelques choses de vraie ou surement vrai !
La langue est le propre de l'homme. Elle lui est un instrument indispensable, qui lui a permis de maîtriser la nature, la réalité. Mais la langue, par le fait même d'être l'intermédiaire entre l'homme et la réalité, devient aussi une barrière entre les deux.
En philosophie, l'absolu est ce qui existe par soi-même, sans dépendance. Ce qui est absolu n'a besoin d'aucune condition et d'aucune relation pour être. L'absolu ne dépend d'aucune autre chose.
La vérité est la correspondance entre ce que je dis, et ce qui est : elle s'oppose donc à la fausseté – au sens d'erreur, mais aussi de mensonge. Détenir la vérité, c'est donc énoncer un discours objectif qui correspond à la réalité.
La virtualité est donc à rapprocher de ces fantasmes, utopies et autres désirs de changement et de renouveau, d'enrichissement d'une réalité limitée par un « réalisme » contraint. Le réel oblige donc le virtuel à se limiter pour se réaliser, à se « dépossibiliser » pour devenir « réalisable ».
(Figuré) Dire (à quelqu'un) toutes les choses désagréables que l'on pense de lui et qu'on lui dissimulait jusqu'alors, par courtoisie ou conventions sociales. Excédée par cette dispute, elle lui a dit ses quatre vérités, y compris qu'elle n'avait jamais cru à son projet. Depuis, ils ne se sont plus adressés la parole.
Comment parvenir à la vérité ? La vérité passe par la démonstration produite par l'entendement de la raison. Cependant, il y a certaines vérités que l'on ne peut démontrer, comme l'existence de soi : on peut être convaincu de son existence sans arriver à la démontrer.
Quelles sont les critères de vérité ? "critère" vient du grec "critérium" qui signifie " ce qui permet de distinguer le vrai du faux"Il n'y a qu'un seul critère. Il n'y a qu'une seule vérité. La vérité est unique.