1 - L'anxiété L'anxiété peut être l'une des causes des pleurs sans raison.
"Habituellement, l'anxiété est une réaction liée à une douleur réprimée ou refoulée", poursuit-elle. "Dans ces cas-là, s'autoriser consciemment à pleurer peut constituer la catharsis nécessaire à l'apaisement du système nerveux."
Le stress et l'anxiété peuvent provoquer des émotions intenses qui peuvent amener une personne à pleurer sans raison apparente. De plus, l'épuisement physique ou émotionnel peut vous rendre plus fragile et plus enclin aux pleurs. Si vous en êtes à ce stade, la meilleure solution est : le repos et la relaxation !
Ce sentiment mitigé peut paraître dur à vivre, surtout lorsqu'il s'applique à des situations tristes. Pourtant, l'empathie est une fabuleuse caractéristique de la nature humaine. Vous l'expérimentez par exemple lorsque vous pleurez devant un film. Pleurer est un processus biologique normal, naturel et sain.
Elle se manifeste par la peur extrême de parler ou manger en public, de rencontrer des nouvelles personnes… ainsi que par le fait de ressentir une grande angoisse, de rougir et d'avoir des tremblements lorsque ces situations ne peuvent être évitées. Les problèmes occasionnés sont quotidiens.
Lorsque les personnes souffrent d'anxiété, elles présentent souvent également des symptômes physiques, y compris un essoufflement, des vertiges, des sueurs, une accélération du rythme cardiaque et/ou des tremblements.
Fatigue réactionnelle : quand le corps ne supporte plus le stress. La fatigue réactionnelle est une forme de fatigue temporaire qui trouve son origine dans des perturbations du mode de vie (souvent un rythme de de vie exténuant et usant, des états de stress répétitifs) ou des maladies de courte durée.
Les personnes souffrant de stress ou d'anxiété chronique sont plus à risque pour des problèmes cardiovasculaires à cause de leur rythme cardiaque constamment élevé, de leur hypertension artérielle et de leur surexposition au cortisol.
Les exercices de relaxation peuvent aussi vous être d'une grande aide en cas de crise. Inspirez profondément par le nez, en gonflant bien votre ventre, puis expirez lentement par la bouche. Ces respirations abdominales sont très efficaces pour diminuer son rythme cardiaque et calmer ses nerfs.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Le choc psychologique, également appelé choc émotionnel, résulte d'un évènement traumatisant qui submerge la faculté que possède un individu à faire face aux émotions qu'il ressent lorsque celui-ci survient. Non pris en charge, il peut entrainer un traumatisme psychique.
Les gens se sentent souvent fatigués en permanence malgré un repos suffisant, voire plus que nécessaire. Manque de concentration : le syndrome anxio-dépressif entraîne des difficultés de concentration, ce qui rend difficile l'accomplissement des tâches quotidiennes.
L'anxiété est généralement une condition plus chronique mais moins perturbante que l'angoisse. La personne anxieuse présente tout de même une difficulté à contrôler ses soucis et inquiétudes. L'anxiété contrairement à la crise d'angoisse n'empêche généralement pas la personne à continuer ses activités.
Pleurer, c'est montrer ce qui nous touche, ce qui nous émeut. C'est dévoiler une sensibilité que l'on peut juger privée, qui n'appartient qu'à nous et que l'on veut garder secrète. Il peut aussi y avoir la volonté de protéger les autres, de ne pas les faire souffrir, de ne pas les inquiéter.
symptômes émotionnels : sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes, angoisse, excitation, tristesse, sensation de mal-être… ; symptômes intellectuels : perturbation de la concentration entraînant des erreurs et des oublis, difficultés à prendre des initiatives ou des décisions…
Changement d'humeur, perte de plaisir, découragement, agressivité Difficulté à assumer ses responsabilités, à prendre des décisions. Sentiment de débordement. Isolement ou baisse de participation aux activités.
Les symptômes psychiques
Même lorsque les choses vont bien, elle se dit que cela ne va pas durer. Elle est fatiguée, irritable, a du mal à se concentrer et se sent incapable de contrôler les situations qui se présentent. Parfois, elle s'isole par peur de ne pas avoir le contrôle de ce qui l'entoure (anxiété sociale).
Si vous souffrez de troubles anxieux, rassurez-vous : l'anxiété n'est pas irréversible. Il est possible d'en guérir. À terme, vous regarderez cette période de votre vie avec recul et douceur.
Dans le trouble panique, l'anxiété survient sans déclencheur identifiable. L'intensité des symptômes atteint son pic en quelques minutes. La personne peut croire qu'elle s'évanouira ou aura une crise cardiaque. L'épisode s'estompe habituellement en moins d'une heure, laissant l'individu épuisé.
Lorsque le seuil d'une anxiété modérée est dépassé, l'anxiété forte entrave ce que nous sommes en train de faire et nous la ressentons comme une vraie souffrance. - Quand elle se prolonge. L'anxiété peut devenir permanente et envahissante. Elle empêche alors de vivre normalement et ne laisse plus de répit.
L'angoisse du soir touche essentiellement les jeunes adultes et les femmes. Certains professionnels de santé avancent le fait que l'angoisse du soir reflète les difficultés à gérer le stress, les soucis ou sont le reflet des frustrations emmagasinées dans la journée.
Une maladie psychique comme la dépression peut favoriser le trouble de l'anxiété. Les changements hormonaux. L'éducation et la génétique peuvent expliquer une prédisposition aux troubles anxieux. La consommation de drogues ou d'alcool peut également provoquer de l'anxiété.