Certes, il y a des bébés plus rieurs que d'autres. Mais on ne naît pas heureux ou malheureux. Le sentiment d'être en harmonie avec le monde, la confiance en soi, l'aptitude à se réjouir : tout cela se développe dans les neuf premiers mois de la vie. Et c'est nous, parents, qui en avons les clés.
L'expression d'un bebe heureux se peut voir dans ses yeux et toutes les manifestationes facial, son sourir et son calme bon humeur. Quand il heureux il mange bien et il sourit facilement. Quand il n'est pas content il pleure et devienne petulant ..
Examinons d'abord la réponse simple : non, nous n'avons pas besoin d'avoir d'enfants pour être heureux et épanouis. Les études menées auprès de femmes qui ont choisi de ne pas devenir mères montrent que la plupart d'entre elles ont un bon sens de l'identité et de l'individualité.
À 10 ou 12 mois, les émotions du bébé sont impactées par les réactions des adultes. Le tout-petit est attentif aux émotions d'autrui. En faisant des câlins, des bisous, des caresses et des sourires, il manifeste son affection. D'autre part, il va peu à peu chercher du réconfort lorsqu'il est perturbé et qu'il pleure.
Bébé a besoin de se sentir aimé et en sécurité pour se développer au mieux. Ce sentiment se développe tout naturellement, quand on s'occupe de lui et dans les moments partagés au quotidien. Bébé ressent alors qu'il peut compter sur nous et que nous l'aimons.
Des études montrent que le fœtus est capable de ressentir les émotions négatives de sa mère.
Quel parent ne s'est pas posé la question : « Est-ce que mon bébé ressent mes émotions ? ». En effet, les bébés, même avant de naître, peuvent ressentir les émotions, positives ou négatives, de leurs parents.
Il n'a plus envie de ses assauts de câlins parce qu'il grandit et qu'il veut affirmer son tempérament. C'est surtout vers deux ans qu'il va ressentir un besoin d'autonomie et qu'il va vouloir se détacher de vous pour partir à la découverte du monde qui l'entoure et vos bisous sont une entrave.
L'enfant pourra imiter des actions simples puis des actions complexes, des actions familières puis des actions non familières, des actions avec objets puis des actions sans objets. Vers 7-8 mois, l'enfant va imiter un geste qui est fait devant lui "coucou" ou "bravo".
Si l'on en croit une étude américaine, les familles nombreuses auraient des effets positifs sur la santé des mamans et réduiraient les risques d'attaques vasculaires cérébrales sur celles-ci. Les résultats sont impressionnants.
Les petits Néerlandais seraient les enfants les plus heureux du monde, . Plusieurs raisons expliqueraient ce classement.
Un jeune enfant qui fait preuve de retenue toute la journée, à l'école par exemple, sans ses figures d'attachement, accumule des tensions, du stress, des émotions. Il ose moins se confier, se « lâcher ». Ce comportement a tendance à provoquer une décharge émotionnelle en fin de journée, face aux parents.
Dès la naissance, un bébé reconnaît sa mère et dès les premiers jours, il est en mesure d'échanger avec ses parents à sa manière. Les relations affectives qu'il entretient avec eux vont être primordiales dans son développement.
Dès les premiers mois, le bébé gazouille. Il ne comprend pas le sens des paroles, mais il peut déduire les émotions comme la joie, la colère ou la tendresse à partir des intonations utilisées. Il réagit en entendant des bruits forts. Il reconnaît votre voix, il aime l'entendre.
La phase de différenciation et de reconnaissance des personnes familières. De façon graduelle, votre enfant va prendre conscience qu'il ne forme pas un tout avec son environnement mais que les objets et les personnes sont différents de lui : la différenciation est en cours, à partir de 7 mois !
Vers 4 à 5 mois.
Les enfants qui se sentent aimés et considérés par leurs parents témoignent aussi d'une plus grande estime de soi et se sentent mieux dans leur peau, ils s'aventurent plus facilement vers le monde extérieur, sont en général moins anxieux et plus joyeux.
Dès les premières semaines de sa vie, votre bébé apprend à se nourrir mais aussi à aimer, à vous aimer. Les liens affectifs se tissent au gré des réponses que vous lui apportez au quotidien.
Les bébés montrent des comportements d'attachement (p. ex. : pleurer, s'approcher) et obtiennent de la sécurité à partir de figures d'attachement secondaires quand les figures primaires ne sont pas disponibles (Harlow, 1963).
Les bébés détestent les gens moches
Ces larmes s'expliquent généralement par le fait que cette personne n'a rien de familier avec les traits physiques auxquels l'enfant est habitué. Mais d'après le rapport de l'étude publié dans la revue scientifique Frontiers in Psychology, les bébés détestent les gens laids.
Très tôt, le bébé est capable d'orienter son regard vers la personne en face de lui. Il fixe assez vite les visages pour entrer en interaction. C'est ce que les spécialistes appellent parfois un “appétit social”.
Selon les chercheurs, les émotions se transmettent facilement entre 2 individus proches, par les odeurs, le ton de la voix, l'expression du visage ou même le toucher. Par conséquent, un bébé ressentirait rapidement le stress, même s'il ne peut pas encore le dire.
Un nouveau-né a besoin de votre présence rassurante. Il se sent apaisé lorsqu'il s'endort contre vous. Il n'y a donc aucune raison de vous en priver, tant que cela ne devient pas pesant pour vous.
L'attachement sélectif
En effet, entre 6 et 24 mois, la plupart des bébés développent une préférence pour une personne en particulier, souvent la mère, et manifestent leur mécontentement lorsqu'ils sont séparés d'elle ou en présence de quelqu'un d'autre. Les pleurs pourraient donc être liés à cet attachement sélectif.