Le film Mémoires d'une geisha (2005) a été essentiellement filmé en studio en Californie, mais quelques scènes ont été tournées au Japon. C'est le cas de la scène au sanctuaireFushimi Inari, où l'on voit la petite Sayuri courir sous les portiques sacrésvermillons.
En 1929, une jeune fille d'un village de pauvres pêcheurs du Japon, Chiyo, et sa sœur Satsu sont vendues par leur père à un pourvoyeur de maisons de geisha (les okiya). Les deux sœurs sont rapidement séparées et Chiyo se retrouve confrontée à la sévérité de la maîtresse de la maison et à la dureté de sa condition.
Une geisha (芸者), aussi appelée geiko (芸子/芸妓) ou geigi (芸妓), est au Japon une artiste et une dame de compagnie, qui consacre sa vie à la pratique artistique raffinée des arts traditionnels japonais pour des prestations d'accompagnement et de divertissement, pour une clientèle très aisée.
Durant leurs premières années de formation, les geishas sont appelées maikos. Les geishas se doivent d'être élégantes, raffinées, sophistiquées. Par-dessus tout, elles doivent manier l'art de la conversation, indispensable à leur métier.
✍ Formation de la geisha
Ne devient pas geisha, qui veut. Si de nombreuses jeunes filles japonaises rêvent de devenir geisha, le métier demande au moins 5 ans de formation et un apprentissage très strict. Autrefois les petites filles rejoignaient les maisons des geisha (okiya) dès l'âge de 6 ans.
HISTOIRE DES GEISHA
Il faut savoir qu'à l'origine, les geisha étaient des hommes! Les femmes devinrent cependant plus nombreuses que les hommes assez rapidement. A partir de 1800, toutes les geisha étaient des femmes.
Le kimono des geishas est porté avec l'obi, ou la ceinture de soie qui accompagne généralement les habillements nippons. L'obi se ferme par un nœud dans le dos, c'est très important, car cela permettait de les différencier des prostituées qui nouaient la ceinture de leur habit sur le devant.
Les geisha sont plus mûres et portent donc des kimonos en relation avec leur âge, plus ternes que ceux des maiko et avec des manches plus courtes. Leur obi (obi nagoya) est plus court et porté en « noeud de tambour ». Enfin, le col du kimono est complètement blanc et plus haut, au niveau du cou.
Dāna (Pali, Sanskrit: दान dāna; tibétain : སྦྱིན་པ, Wylie : sbyin pa, jinpa) est un mot désignant une vertu et signifiant générosité, don, ou charité. Il est utilisé dans l'hindouisme, le bouddhisme et le jaïnisme.
" Les geishas de Kyoto étaient à l'origine des filles de samouraïs. Lorsque le système féodal s'est effondré, ces jeunes femmes, par les qualités et la grâce que leur donnait leur origine sociale, ont acquis l'art de divertir pour soutenir leur famille, dont elles sont devenues le véritable pilier".
Makanai (賄い) est un mot japonais qui signifie, notamment, cuisine pour les employés d'un restaurant. Plus exactement,la makanai ryori (ryori = repas) est une bonne cuisine, digne d'un restaurant, à base de produits bon marché ou qu'on ne peut pas proposer au client.
Comment sont les femmes japonaises ? Les femmes du Japon sont réputées pour leur beauté, leur sophistication et leur élégance. Elles prêtent une attention particulière à leur apparence et sont très soucieuses de la mode. Elles peuvent porter une robe à pois année 50 comme elles pourraient porter un kimono traditionnel.
Les lieux de la mémoire
Mémoire sensorielle ou perceptive : elle implique différentes régions à proximité des aires sensorielles et le cortex préfrontal. Mémoire sémantique : elle fait intervenir des régions étendues comme les lobes pariétaux et temporaux mais aussi le néocortex, l'hippocampe et l'amygdale.
Notre cerveau est le centre stratégique des circuits de la mémoire. En permanence sollicités, nos cinq sens envoient en effet leurs informations à l'hippocampe. Celles-ci passent par le filtre du cerveau émotionnel, ou système limbique, pour être projetées vers les aires du cortex cérébral qui leur sont dédiées.
Une maiko (舞妓) est une apprentie geisha dans l'ouest du Japon, en particulier à Kyoto.
Hanamachi. Ce sont dans les hanamachi que vous aurez le plus de chances de croiser des geishas, puisque ce sont les quartiers où elles sont formées et où sont basés les restaurants et maisons de thé dans lesquels elles se produisent.
Outre le blanc, les femmes japonaises de l'ère Edo utilisaient le noir et le rouge pour se maquiller, et marquer de façon très codifiée leur statut. Ainsi, une fois mariées, elles se noircissaient les dents, puis, devenues mères, se rasaient les sourcils.
Une ceinture obi est une longue ceinture décorative qui s'enroule autour du corps pour porter un kimono japonais ou un yukata. Elles n'ont pas de fermoir, et au lieu de cela, elles sont attachées ensemble dans un nœud en forme de papillon ou un autre nœud esthetique.
Un obi (帯) est une ceinture servant à fermer les vêtements traditionnels japonais, tels que les kimonos ou les vêtements d'entraînement pour les arts martiaux (keikogi ou dōgi).
Selon la légende, la première « vraie » geisha, telle qu'on les connaît aujourd'hui, aurait vécu à Fukagawa vers 1750 et aurait été une grande joueuse de shamisen (luth à 3 cordes). Elle s'appelait Kikuya.
Les femmes japonaises ont tendance à s'habiller de manière relativement conservatrice, de sorte qu'il est rare et mal vu de montrer trop de peau, même lorsqu'il fait chaud. Le Japon est un pays propice à la marche, alors attendez-vous à beaucoup marcher.
L'art de porter un vrai kimono japonais
Le kimono ressemble à une grande robe en forme de T. Ils sont fermés à l'aide d'une ceinture appelée obi. Le kimono se porte avec des chaussettes, les tabis et des sandales en bambou ou en cuir, appelées zori. Le kimono est l'habit traditionnel le plus long.
Il fait partie de ces très rares individus dotés d'hyperthymésie (ou hypermnésie autobiographique). En anglais, on appelle HSAM (Highly superior autobiographical memory) ces personnes ayant des capacités hautement supérieures à la moyenne en termes de mémoire autobiographique.
À la surface de l'encéphale se trouve une couche de tissu cérébral appelé cortex cérébral. Cette structure est plus communément appelée matière grise en raison de sa couleur grise.