Suspendez ce bouquet au-dessus de la cheminée.
Vous pouvez aussi réaliser une série de petits bouquets et les suspendre au linteau des portes. Et maintenant embrassez-vous ! Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
Le gui peut être gardé accroché partout dans la maison toute l'année. La tradition veut que le gui protège la maison d'être brûlée ou frappée par la foudre. Le gui doit être remplacé tout les ans pendant le solstice d'hiver quand de nouveaux fruits sont arrivés.
Ses vertus anxiolytiques et sédatives lui permettent de soulager les maux de tête, les angoisses et l'hyperactivité des enfants. On utilise aussi le gui contre les maladies articulaires inflammatoires dégénératives, telles que la polyarthrite rhumatoïde.
C'est donc plus tard, au XVIIIe siècle, que les Anglais ont importé chez nous cette coutume de s'embrasser sous une boule de gui le 31 décembre à minuit, afin de se placer sous de bons auspices et que l'année soit propice.
Le gui, une promesse de bonheur pour l'année
D'après la légende populaire, si une jeune femme célibataire acceptait un baiser alors qu'elle se trouvait sous la « kissing ball », soit une boule de gui décorée et accrochée aux portes, elle était alors promise à un mariage dans l'année.
Il est habituel aujourd'hui d'accrocher dans les maisons cette plante décorative à l'occasion du nouvel an, en souhaitant qu'elle porte bonheur à tous ceux qui s'embrassent dessous. Cette tradition remonterait aux Gaulois.
Dans de nombreux pays, notamment ceux de l'Europe du Nord, le gui est symbole de prospérité et de longue vie. Il s'agit également d'un porte-bonheur qui symbolise les fêtes de Noël. En Amérique du Nord, la plante est liée à une tradition.
Au XVIIIe siècle, les Anglais répandent la tradition de l'embrassade. Selon la coutume, si une jeune femme célibataire acceptait un baiser sous la "kissing ball", en français "boule à baiser", une boule de gui décorée, alors elle était promise à un mariage dans l'année.
Faites sécher les feuilles en plein air s'il n'est pas nécessaire qu'elles soient plates. Placez les feuilles dans un récipient peu profond ou regroupez-les en petits bouquets. Exposez-les alors directement au soleil pendant quelques jours.
Les facteurs climatiques (disponibilité en eau, température, lumière). Le Gui nécessite chaleur et lumière pour se développer, c'est pourquoi on le rencontrera préférentiellement à la cime des arbres ; Les caractéristiques biologiques et génétiques des populations d'hôtes et de Gui.
Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
4 – Scotchez-les au mur
Voilà une idée simple qui fait beaucoup d'effet. Composez de petits bouquets ou multipliez les petits bouts de feuillage à fixer au mur avec du masking tape. Cela n'abîme pas le mur et vous pouvez changer votre composition murale quand vous voulez.
Comment entretenir les fleurs de Pampa ? -Tout d'abord, en étant à l'extérieur, secouez les pampas afin de les débarrasser des éléments mobiles. - Ensuite, laquez les pampas avec de la laque pour cheveux assez forte, en laissant la bombe de laque à 30-40cm des fleurs de pampa.
Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
En France, les superstitieux misent sur le trèfle à quatre feuilles, le fer à cheval, la patte de lapin ou le pompon rouge d'un béret de marin. Mais ailleurs, quels sont les objets qui promettent chance et bonheur ?
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Il s'agit d'une vieille tradition. Les utiliser en plantes d'ornements pour les fêtes porteraient bonheur. Les druides celtes cueillaient le gui et le houx et les offraient aux villageois pour leur porter bonheur.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Aussi appelé Viscum album, le gui ne possède pas de racines. Il se fixe sur un arbre feuillu (généralement les peupliers, les pommiers, tilleuls ou les saules), dont il va absorber l'eau et les minéraux. Le houx, lui, est reconnaissable à ses boules rouges et à ses feuilles dentées et piquantes.
Le Gui est dioïque, avec des pieds à fleurs femelles et d'autres mâles. Les fleurs staminées (plus grandes) et pistillées (plus nectarifères) sont généralement groupées en triades avec une terminale et deux latérales. Il fleurit en mars–avril.
Vous pratiquez une petite entaille sur une jeune branche en janvier février. Il suffit ensuite de faire éclater une baie de gui dans cette entaille. La substance collante que contient la baie maintient celle-ci en place. Une touffe de gui demande plusieurs années pour fructifier.
Un arbrisseau de couleur vert jaune
Tiges et feuilles sont de couleur vert-jaune, ce que confirme, parmi les innombrables noms populaires donnés au gui, celui de jaunet trouvé en Normandie.
Le gui aime bien les grives qui mangent les boules entières. Celles-ci vont rejeter un peu plus loin les graines intactes avec leurs fientes. Ce n'est pas le cas avec les pigeons ramiers (palombes) dont les puissants sucs gastriques détruisent les graines malgré leurs parois épaisses durant le transit intestinal.