Le Mans est une commune faisant partie des grandes villes du Grand Ouest français, située dans la région des Pays de la Loire et le département de la Sarthe dont elle est la préfecture. La ville se trouve à la confluence des rivières de la Sarthe et de l'Huisne.
Avec 6,52 M€, Jean-Michel Bazire domine largement les siens, laissant son dauphin Sébastien Guarato (4,58 M€) à quasiment 2 M€ derrière lui.
Carrière. Comme beaucoup de professionnels des courses hippiques, il est issu d'une famille passionnée par les chevaux de course. Son père Michel, désormais décédé, et son oncle Christian sont eux-mêmes entraîneurs.
DERNIÈRE MINUTE > Jean-Michel Bazire a été victime d'un malaise dimanche après-midi à l'issue du Prix de Bruxelles (un journaliste de RTL parle d'une rupture d'anévrisme - à confirmer). Après être descendu difficilement de son sulky, le driver a été immédiatement transporté à l'hôpital.
Franck Nivard a été soumis le 15 décembre 2021 sur l'hippodrome de Vincennes à des prélèvements biologiques. Ce contrôle a conclu de manière formelle à la présence d'une substance prohibée. Les commissaires du Trot ont décidé de le suspendre 1 mois.
Un sentiment partagé par Jean-Michel Bazire qui a même parfois laissé entrendre que Cleangame est le meilleur cheval qu'il a entrainé niveau classe.
Sébastien Bazire vient chaque année en tant qu'entraîneur de trotteurs. Exerçant cette profession depuis vingt-deux ans, il fait travailler ses chevaux tous les deux jours ce qui permet à l'animal de s'exercer et de se reposer la journée suivante.
Céline BAZIRE - Thérapeute psychocorporelle - Indépendant | LinkedIn.
Le Sulky d'or Éric Raffin aime la piste Luçonnaise et y court régulièrement. Il est ce dimanche inscrit dans huit des neuf courses au programme, y compris dans la course de trot monté où il courra pour son frère Olivier, entraîneur.
Soit les jockeys deviennent salariés de France Galop pour la monte perdante, et sont rémunérés par le propriétaire pour la monte gagnante. Soit les jockeys deviennent des travailleurs indépendants, comme c'est le cas au trot ou à l'étranger.
Evidemment, les très bons professionnels, qui gagnent souvent, sont beaucoup mieux rémunérés que les autres. Par exemple, le célèbre jockey Christophe Soumillon (photo) fût le jockey le mieux rémunéré avec plus de 750.000 euros de gains sur l'année 2005.
Le jockey doit mesurer moins d′1m55 et peser entre 46 et 54 kg. La taille et le poids exigés sont plus élevés pour les courses à obstacle.
Fils de Nicolette Barroux et d'Albert Bazire (homme de radio) ; frère de Benoît Bazire, PDG d'Areva TA depuis mai 2010 , et d'Arnaud Bazire, PDG de Lamy.
Elle est différente selon le type de course mais évolue en fonction de ses performances. Le jockey perçoit un fixe autour de 1 400 € net auquel s'ajoute un pourcentage du prix en cas de monte gagnante : 5 % pour le trot, 10 % pour le plat, et 9 % pour l'obstacle.
Magnifiquement mené par Tony le Beller, Diable de Vauvert remporte ici la plus belle course de sa carrière. Il devance le tenant du titre, Etonnant.
Entendu par les commissaires de la SECF ce lundi 5 novembre à Vincennes, Franck Nivard a écopé d'une suspension d'un mois en raison d'un test d'alcoolémie positif effectué mardi 30 octobre à Vincennes.
Christophe Soumillon a remporté 3 Qatar Prix du Jockey Club (Gr. 1) dans sa riche carrière.
2000 euros brut par mois.
Un jockey qui « fait le poids »
En effet être léger permet au cheval de dépenser moins d'effort à porter son cavalier, mais de se concentrer plutôt sur la course à gagner. De manière générale, un jockey devrait peser environ 52 kg pour une course de plat, et 61 kg environ pour une course d'obstacle.
Gagner cinq courses lors d'une même réunion est extrêmement rare. C'est dire l'exploit réalisé ce vendresi après-midi par Christophe Soumillon à l'hippodrome de Chantilly (Oise).
Après avoir laissé le titre de meilleur jockey de France à Maxime Guyon en 2019, à Pierre-Charles Boudot en 2020 et à Mickael Barzalona en 2021, le crack jockey belge est plus fort, et motivé, que jamais pour sillonner la France et enchaîner les "bâtons".