Cette eau liquide est concentrée dans les nuages puis dans les précipitations. Une fois que l'eau a atteint le sol, son cycle va se dérouler de façon essentiellement liquide. Seule une toute petite partie de cette eau est en mouvement, la grande majorité étant stockée dans les nappes souterraines.
Le parcours de l'eau sur la planète est toujours le même : l'eau passe de la mer à l'atmosphère, puis de l'atmosphère à la terre et à nouveau de la terre à la mer.
L'eau circule sur terre sous différentes formes : nuages, pluie, rivières et océans. Elle va passer de la mer à l'atmosphère, de l'atmosphère à la terre puis de la terre à la mer, en suivant un cycle qui se répète indéfiniment.
Soumise à la chaleur des rayons solaires, l'eau liquide superficielle s'évapore : elle se transforme en vapeur d'eau qui s'élève dans l'atmosphère.
Une source en hydrologie est l'endroit où une eau liquide sort naturellement du sol . Une source est très souvent à l'origine d'un cours d'eau, d'un ruisseau, d'une rivière ou même d'un fleuve. Mais une source peut également être submergée dans un écoulement d'eau, une mare, un lac ou une mer.
L'eau pourrait provenir des comètes, qui, après la période d'accrétion, se sont écrasées sur Terre. En effet, les comètes sont des corps célestes issus de la ceinture d'Edgeworth-Kuiper ou du nuage d'Oort ; elles ont un diamètre en général inférieur à 20 kilomètres, et sont composées à ~80 % de glace.
En bref : les gaz volcaniques auraient formé les nuages. Ces derniers, remplis de condensation, auraient provoqué un « déluge primitif ». On parle de centaines voire de millions d'années d'intempéries qui auraient permis de former les océans tels que nous les connaissons aujourd'hui.
C'est la présence de l'eau qui a été à la source de la vie sur Terre. La quantité d'eau présente sur la Terre est toujours la même depuis plus de 4 milliards d'années.
Sur Terre, les conditions de température et de pression ont fait passer l'eau sous forme liquide, et ainsi les océans ont-ils apparu. Protégée des radiations par l'atmosphère, l'eau a pu se maintenir jusqu'à aujourd'hui.
Parce que la Terre est une planète qui fonctionne en circuit fermé. Lorsqu'un litre d'eau arrive à la mer, un litre d'eau s'évapore. C'est ce que l'on appelle le cycle de l'eau.
Il y a des milliards d'années, énormément de météorites sont tombées sur la Terre, apportant ainsi beaucoup d'eau. Les scientifiques pensent aussi qu'une partie de l'eau provient des roches qui ont formé la Terre. Cette eau emprisonnée serait sortie du sol quand la Terre était couverte de volcans.
La Terre perd-elle son eau, comme Mars dans le passé ? Oui, mais lentement. Dans la haute atmosphère, le rayonnement solaire brise la molécule d'eau, et l'hydrogène, trop léger, diffuse vers l'espace. Par ce mécanisme, trois mètres d'eau seulement auraient disparu depuis la création de la Terre ; rien de préoccupant.
Des millions d'années de pluies
Pendant des millions d'années, un déluge de pluies torrentielles s'est abattu sur la Terre : l'eau, restée liquide grâce à la baisse de température, se répand alors sur la planète, formant les océans.
En cas de sécheresse, le niveau des rivières, lacs, fleuves et nappes phréatiques est très bas et cela entraîne des restrictions d'eau pour l'irrigation des cultures, les usages domestiques de l'eau (ex : pour arroser des jardins) ou les usages industriels. En milieu rural, l'eau peut être rationnée, voire coupée.
La présence d'eau liquide sur Terre est le résultat d'une pression atmosphérique suffisante à sa surface et du fait que l'orbite terrestre est située la zone d'habitabilité du Soleil, celle-ci étant quasi circulaire et stable. Cependant, son origine demeure incertaine.
Le réchauffement climatique – principalement dû aux émissions polluantes émises par les activités humaines – est l'une des conséquences qui mène à la raréfaction des ressources d'eau potable et du stress hydrique des régions les plus arides.
L'eau est faite d'atomes d'hydrogène hérités des tout débuts de l'Univers, il y a 15 milliards d'années, et d'atomes d'oxygène qui ont été formés au cœur même des étoiles. Sur Terre, notre océan est né il y a près de 4 milliards d'années et son eau provient en partie de l'espace...
Le Brésil. Ce pays possède le plus grand volume de ressources renouvelables en eau douce, totalisant environ 8 647 Km3 par an. L'eau douce du Brésil représente environ 12 % des ressources mondiales en eau douce. La région amazonienne du Brésil contient plus de 70% de l'eau douce totale de ce grand pays.
La Terre ne manquera jamais d'eau.
Le volume d'eau ne bouge pas, n'a jamais bougé, n'est pas près de bouger...
Pourquoi la date de 2030 figure-t-elle dans le nom? En 2008, nous avons calculé que si rien ne changeait, nous aurions en 2030 un déficit d'eau douce de 60 %. Concrètement, l'humanité dispose de 4200 km3 d'eau potable par an que nous pouvons prélever de manière durable.
On parle alors de pénurie physique. Mais le manque d'eau a aussi une origine économique. C'est le cas dans de nombreuses régions, pourtant bien arrosées, où l'insuffisance des infrastructures hydrauliques engendre la pénurie. Résultat: en 2012, un Terrien sur sept n'a pas accès à une eau potable de qualité.
L'automne dernier, la situation a été pire que d'habitude car de septembre 2021 à avril 2022, nous avons observé un déficit de pluviométrie et de neige entre 30 et 40% selon les régions. Donc là encore, les nappes ne se sont pas rechargées et les cours d'eau ont perdu du débit.
Il existe trois mers qui sont réellement fermées : la mer Caspienne, la mer d'Aral et la mer Morte. Il est intéressant d'observer que certaines mers font partie des océans. C'est le cas de la mer Jaune pour l'océan Pacifique ou encore de la mer du Nord pour l'océan Atlantique.
En effet, lorsqu'une lumière blanche, autrement dit le rayonnement solaire, percute la surface de l'eau, une partie est réfléchie (première raison de la couleur bleue de la surface des eaux) et l'autre est réfractée et pénètre dans l'eau.
La mer Morte ne contient pas moins de 27,5 % de sel. Un chiffre presque incroyable lorsqu'on le compare au taux de salinité moyen des autres mers et océans de notre planète qui oscille entre 2 et 4 %.