Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen). D'ici 2070, l'est de la Chine et une partie du Brésil pourraient aussi dépasser les 35°C.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
Quelques pistes à suivre (ou pas)
On parle aussi souvent du Puy-de-Dôme, de la Creuse, de la Corrèze, du cœur la Bretagne et de la Normandie, d'une partie de l'Angleterre et même de la Cordillère des Andes…
Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...
1/ Les Pays-Bas.
D'après la Nasa, il serait difficile de survivre en 2050 dans le sud de l'Asie, dans le golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), ainsi que dans les pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen). D'autres régions devraient également devenir trop chaudes avec le temps.
Cotes d'Armor : Île-de-Bréhat, Binic-Étables-sur-Mer, Trégastel, Plougrescant, Saint-Quay-Portrieux, Trévou-Tréguignec, Penvénan, Plérin, Pleubian, Saint-Brieuc, Lannion, Trébeurden, Trédrez-Locquémeau, Trélévern.
C'est Annecy, ville rattachée à la catégorie littorale des lacs et étangs salés qui arrive en haut du classement. Ce sont principalement les villes du littoral Atlantique qui se partagent la suite du palmarès avec Bayonne, La Rochelle, Biarritz ou encore Anglet.
L'Afrique du Nord et le Moyen-Orient : un déficit physique en eau. Une première zone géographique se dégage de ce classement, au niveau du nord de l'Afrique, ainsi qu'au Moyen-Orient. On parle de pays comme le Qatar, la Libye, Israël, le Liban, ou encore l'Arabie Saoudite, par exemple.
D'après l'OMS (organisation Mondiale de la Santé), la Costa Blanca bénéficie d'un des climats les plus sains au monde ! La Costa Blanca est une destination très prisée, que ce soit pour y passer des vacances, comme pour passer sa retraite en Espagne.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
En 2050, les températures avoisineront 50°C. Selon les prévisions du dernier rapport du GIEC ainsi que les recherches de Météo-France, le pays s'apprêterait à subir un réchauffement climatique sans égal. Dans trente ans, le thermomètre du Sud pourrait en effet frôler les 50° à l'ombre.
Les villes situées dans l'hémisphère Nord sont celles qui vont connaître les évolutions climatiques les plus spectaculaires au cours des trente prochaines années. Londres, Madrid, Zurich et Paris font partie du lot.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
De nouveaux travaux scientifiques prédisent la fin de notre civilisation industrielle : incapable d'évoluer, elle pourrait s'effondrer comme d'autres dans l'histoire de l'Humanité, principalement à cause des inégalités dans la répartition des richesses et de la surexploitation soutenue et croissante de ressources ...
En 2100, nous vivrons dans des maisons sur l'eau et transportables par des drones géants. Nous mangerons des insectes, des algues, de la viande végétale. Les voitures seront volantes. Les robots seront là pour faire les choses à notre place.
Selon une étude publiée en 2015 dans les Comptes-rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS), le résultat est inéluctable : Miami et la Nouvelle-Orléans seront submergés par les eaux avant 2100, peu importe ce qui est fait pour lutter contre le réchauffement climatique.
Pourquoi la date de 2030 figure-t-elle dans le nom? En 2008, nous avons calculé que si rien ne changeait, nous aurions en 2030 un déficit d'eau douce de 60 %. Concrètement, l'humanité dispose de 4200 km3 d'eau potable par an que nous pouvons prélever de manière durable.
C'est ce que démontrent ces travaux parus dans le journal Sustainability et qui désignent la Nouvelle-Zélande, l'Islande, le Royaume-Uni, la Tasmanie et l'Irlande comme les endroits du monde les plus adaptés pour survivre à un effondrement mondial de la société.
Fonte des glaciers, mort des océans, extraction de ressources à outrance, bouleversement sans précédent de la biodiversité, hausse continue du réchauffement climatique, accroissement des inégalités sociales, immuabilité politique, etc.