Emplacement. Les trous noirs se forment à la fin de la vie d'une grosse étoile, alors ils se trouvent çà et là dans les galaxies. La plupart des galaxies ont un trou noir supermassif en leur centre, comme c'est le cas pour la nôtre, la Voie lactée.
Au centre d'un trou noir se situe une région dans laquelle le champ gravitationnel et certaines distorsions de l'espace-temps (on parle plutôt de courbure de l'espace-temps) divergent à l'infini, quel que soit le changement de coordonnées. Cette région s'appelle une singularité gravitationnelle.
Grâce au télescope Hubble, un trou noir vient d'être découvert à quelques encablures de notre planète après douze années de recherche. Situé à seulement 6.000 années-lumière de la Terre, il a été repéré au cœur de Messier 4, un amas globulaire dans la constellation du Scorpion.
Il s'appelle Chuck Clark et il est l'un des meilleurs cosmonautes de la Nasa, l'organisme responsable de la recherche spatiale aux Etats-Unis. Dans 5 ans, cet Américain de 32 ans va vivre une aventure incroyable et très risquée : il s'est porté volontaire pour être le 1er homme à entrer à l'intérieur d'un trou noir !
La relativité générale estime que rien ne peut sortir d'un trou noir, pas même l'information concernant la matière aspirée. Cette opposition de lois physiques concernant les trous noirs, mise évidence par Hawking, porte le nom de "paradoxe de l'information".
Le premier trou noir fut détecté en 1971 dans la constellation du Cygne. En 1974, Bruce Balick et Robert L. Brown détectent un astre extrêmement massif au centre de la Voie Lactée qu'ils baptisent Sagittarius A*. Il a fallu attendre la fin des années 1990 pour que sa nature de trou noir supermassif soit prouvée.
Mauvaise nouvelle pour la Terre
Les forces gravitationnelles responsables de la spaghettification entreraient en action : la surface du globe la plus proche du trou noir serait soumise à une force bien supérieure à celle qui s'exercerait de l'autre côté, entraînant l'arrêt de mort de la planète.
Toutefois, jusqu'à il y a peu, ils n'avaient jamais repéré de petits trous noirs, un véritable mystère astrophysique depuis de nombreuses années. Mais voilà, les astronomes ont découvert un trou noir dont la masse n'équivaut qu'à trois fois celle du Soleil, ce qui en fait le plus petit connu à ce jour.
Cela peut sembler effrayant, mais ce n'est pas le cas. Vous n'avez pas à craindre les trous noirs. Plus de 100 millions de trous noirs errent probablement dans notre galaxie à eux seuls, et ce sont des objets fascinants dans le cosmos.
On estime ainsi que les trous noirs résidus stellaires commenceront à s'évaporer dans cent milliards de milliards d'années et les trous noirs supermassifs dans un milliards de milliards de milliards de milliards d'années.
Un trou blanc, que l'on appelle aussi fontaine blanche, serait, en quelque sorte, le contraire d'un trou noir : si un trou noir est un endroit de l'espace où la matière est attirée, et disparaît, un trou blanc, serait, au contraire, un endroit où la matière « apparaîtrait », et d'où elle jaillirait, un peu à la manière ...
Le principe d'un trou noir est que sa force gravitationnelle est tellement forte que rien ne peut en ressortir, même pas les rayonnements électromagnétiques (lumière visible, rayons X, gamma, etc.) qui se déplacent dans le vide à la vitesse de la lumière.
Un trou blanc (ou fontaine blanche) est un objet hypothétique qui comme son nom l'indique est l'opposé du trou noir. En effet, tandis qu'en théorie rien ne peut s'échapper d'un trou noir, d'après les cosmologistes, rien ne peut pénétrer dans un trou blanc. De la matière et de l'énergie en sont éjectés en permanence.
Il serait 33 milliards de fois plus massif que notre Soleil, selon les résultats de l'étude publiée dans la Royal Astronomical Society. « Ce trou noir particulier, qui représente environ 30 milliards de fois la masse de notre Soleil, est l'un des plus grands jamais détectés.
Un son rappelant le vent qui souffle
L'astrophysicien spécialiste des trous noirs Frédéric Marin a décrit ce son comme étant « profond, lourd, comme le bruit du vent au fond d'un abîme ».
Généralement, les trous noirs sont considérés comme sphériques. Et si un corps massif non sphérique venait à s'effondrer, quel serait le résultat ?
Pas n'importe lequel : il s'agit du trou noir supermassif situé au centre de la galaxie Messier 87 (M87), nommé M87*. Ce colosse de 6,5 milliards de fois la masse du Soleil évolue au cœur de sa galaxie, à 55 millions d'années-lumière de la Terre.
Quels gestes peuvent être faits pour éviter le blackout en cas de pénurie d'électricité? Il est recommandé de diminuer la consommation d'énergie, en évitant d'utiliser les électros les plus grands et les plus puissants entre 17h et 20h, et en préparant un kit d'urgence en cas de coupure de courant.
Les épisodes climatiques de « Terre boule de neige » auraient été amorcés par un refroidissement initial (causé par exemple par une forte diminution de la quantité de gaz à effet de serre). Ce refroidissement se serait ensuite « emballé » suite à un phénomène d'amplification.
La tarière est donc un outil de perçage, ou plutôt de forage ou de carottage, puisqu'elle permet de creuser des trous dans tous les sols. Et bien évidemment, tout en creusant, elle excave la terre qui remonte le long de la vis sans fin. Avec une tarière, on obtient des trous profonds, aux parois nettes et propres.
Imaginons que l'on puisse avoir un trou noir équivalent à une masse solaire, même si ce n'est pas possible (il faut une masse minimale pour que les trous noirs puissent se former, située entre 3 et 5 masses solaires). Sa température serait « de l'ordre d'un dix-millionième de kelvins ».
Le réseau mondial de télescopes EHT a dévoilé ce jeudi 12 mai la première photo du trou noir de notre galaxie, Sagittaire A*.
Une libération impossible
En appliquant la formule ci-dessus, vous pouvez calculer que sa vitesse de libération serait égale à environ 650000 km/s.