Et un jour, alors qu'il s'amusait, il arracha par inadvertance une des cornes de sa nourrice. Plus tard, lorsqu'il devint grand chef de l'Olympe, Zeus donna à la corne le pouvoir de fournir à profusion des pierreries, des fleurs et des fruits.
Les origines italiennes de la corne
Elle a pour but de protéger la personne qui la porte du mal, en particulier du mauvais œil. Elle est également portée par les italiens dans le but d'apporter fertilité et prospérité.
Un jour, Zeus cassa une des cornes de sa nourrice. Plus tard, pour se faire pardonner, il donna à cette corne le pouvoir d'abonder de fleurs et de fruits. Cette "corne d'abondance" représente ainsi la richesse et la fécondité.
Selon la tradition la plus populaire, la corne d'abondance ornait le front de la chèvre Amalthée, qui nourrit Zeus dans son enfance. Une autre version en fait plutôt la corne qu'Héraclès arracha à Achéloos (alors qu'il était transformé en taureau) lors de sa victoire sur le dieu fleuve.
L'objet évoque l'idée de richesse sans préciser la nature de celle-ci. Cette richesse du dieu correspond peut-être à l'idée de fécondité agraire liée aux cultes des défunts : le thème de la corne d'abondance se retrouve dans de nombreuses religions avec cette dimension de fertilité agricole2.
Cette forme, avec celle de la corne réelle, a des références sexuelles particulières: le piment rouge piquant a des propriétés aphrodisiaques, et avant tout fait référence au culte antique du dieu gréco-romain Priape.
Pulcinella se trouve dans le centre historique, au coin d'une petite ruelle et de la via dei Tribunali. Toucher son nez, qui est brillant, porterait chance. A faire pour le folklore local et pour la photo (il est possible d'attendre 5 à 10 minutes pour prendre la photo car c'est un buste plutôt prisé).
Souvenirs : à Naples, vous trouverez toutes sortes de souvenirs typiques comme des aimants, des porte-clés ou des cartes postales avec deux thèmes récurrents : Pulcinella, un personnage de théâtre recouvert d'un masque caractéristique, et la corne de la chance, une sorte de piment rouge qui sert d'amulette.
Hadès a été dévoré par Kronos dès sa naissance, avec quatre de ses frères et sœurs. Mais Zeus a obligé le Titan à les recracher, et avec deux de ses frères, il a chassé les Kronos et ses titans du ciel, et les a enfermés dans la fosse de Tartaros.
Pouvoir sur les Morts-vivants : Hadès peut ranimer des squelettes, ressusciter des vagues infinies de morts pour se battre avec ou pour lui, détruire des Guerriers Squelettiques et les endormir. Il peut aussi réduire des âmes au silence d'un geste et saisir physiquement des fantômes.
Son royaume ne respire pas la joie. Le séjour des morts est pire que la mort elle-même, si l'on en croit le philosophe Sénèque. Comme le dieu ne trouve pas de femme qui veuille bien de lui, il est obligé de ruser, et d'enlever de force Proserpine.
Dans la mythologie romaine, Cupidon (du latin cupido signifiant « désir », « passion ») est le fils adultérin de Vénus et de Mars. Dieu de l'amour, il est assimilé à Éros.
Frère de Zeus, de Poséidon et d'Héra, Hadès est le dieu des morts, le maître des enfers. De nombreux êtres et démons, tels Cerbère et Charon, l'assistent dans cette tâche.
Perséphone siégeait alors auprès d'Hadès. Elle gardait sa fraîcheur et sa beauté mais, si loin des plaisirs du monde vivant, elle prenait un air sombre et tragique… jusqu'à ce qu'elle retrouve sa mère.
Osiris, le dieu des morts qui redonne la vie.
Dans la mythologie grecque, Amphitrite (en grec ancien Ἀμφιτρίτη / Amphitrítē) est une Néréide, fille de Nérée et de Doris (ou de Dioné selon certaines sources tardives), épouse de Poséidon. Chez les Romains, elle fut assimilée à la déesse Salacie, déesse des eaux salées : « …
Légendes. Il est le premier fils de Cronos (Saturne pour les Romains) et de Rhéa, et le frère d'Hestia, Déméter, Héra, Zeus et Poséidon.