Comment enlever l'implant ? Le retrait se réalise également sous anesthésie locale par un médecin, un gynécologue ou une sage-femme. Le professionnel de santé réalise une incision sous cutanée de 2 mm puis, avec une pince, il retire l'implant.
l'implant permet d'assurer une contraception efficace pendant 3 ans mais peut être retiré à tout moment par le médecin. Le geste se fait alors sous simple anesthésie locale au cabinet du médecin et dure 5 min.
De la même manière que la pose, le retrait de l'implant s'effectue par un médecin, un gynécologue ou une sage-femme, obligatoirement sous anesthésie locale (crème, patch anesthésique et/ou complétée par une injection de lidocaïne, un anesthésique local capable d'inhiber la transmission de l'influx nerveux).
Le retrait de l'implant peut être effectué à tout moment (3 ans maximum après la pose). Pour retirer l'implant, le médecin pratique une petite incision de la peau après avoir pratiqué une anesthésie locale (comme pour la pose). Le jour du retrait, un nouvel implant peut être posé au même endroit.
La réponse de l'expert
Bien sûr qu'il existe un risque de grossesse ! L'implant contient une hormone qui s'épuise progressivement, ce qui fait qu'il devient inactif.
L'implant protège la patiente de la survenue d'une éventuelle grossesse pendant une période de trois ans. Parmi les effets indésirables mentionnés sur la notice, on trouve notamment : humeur dépressive, instabilité émotionnelle, nervosité, nausées, fatigue... Rapportés pour 1 à 10 % des patientes.
L'ANSM invite donc toutes les femmes porteuses d'un implant contraceptif Nexplanon à vérifier, deux fois par mois, grâce à "une palpation délicate" qu'elles sentent bien l'implant à l'endroit de pose initial et dans le cas contraire à consulter immédiatement. Si vous n'êtes pas gênée, il n'y a rien à faire.
Comment enlever l'implant ? Le retrait se réalise également sous anesthésie locale par un médecin, un gynécologue ou une sage-femme. Le professionnel de santé réalise une incision sous cutanée de 2 mm puis, avec une pince, il retire l'implant.
III – Retrait d'un implant contraceptif
Le retrait d'un implant contraceptif est possible à tout moment (au plus tard 3 ans après sa pose). Il vous suffit alors de prendre rendez-vous au cabinet de votre médecin généraliste, de votre gynécologue ou de votre sage-femme.
Quand l'implant est retiré, le retour à un cycle normal est similaire à celui qui suit un accouchement : de l'ordre de 4 à 8 semaines avant que des règles normales réapparaissent (si l'utilisatrice n'en avait pas pendant l'utilisation de l'implant).
Pourquoi l'implant contraceptif doit-il être remplacé tous les trois ou cinq ans ? L'implant contient un réservoir de progestérone qui, selon le modèle, sera diffusée en doses minuscules pendant les 3 ou 5 ans que l'implant restera en place, de manière à prévenir une grossesse.
Rarement, ils peuvent conduire à des problèmes plus graves. Si l'implant se casse ou se plie dans votre bras, son fonctionnement ne devrait pas être affecté. Une cassure ou une courbure peuvent survenir en raison de pressions extérieures. L'implant cassé peut se déplacer du site d'insertion.
De même, beaucoup d'utilisatrices de pilules ou d'implant ne prennent pas de poids : on estime que la prise de poids concerne 1 femme sur 5. Autrement dit : 80 % ne prennent pas de poids avec leur contraception, ce qui est tout de même beaucoup.
Elles ont généralement un flux peu abondant mais des spottings et pertes de sang plus fréquentes et prolongées. Ces règles sous implants ou le spotting sont liées à la finesse de l'endomètre de la paroi utérine qui est amincie par ses hormones. L'endomètre sera plus fragile et aura tendance à saigner plus facilement.
Placé sous la peau du bras par un médecin, l'implant contraceptif libère, en continu, un progestatif qui permet de stopper l'ovulation. Ce contraceptif a tendance à diminuer l'apparition des règles. Chez certaines femmes, les menstruations s'arrêtent complètement pendant le port de l'implant.
Quels sont les effets indésirables ? Le principal risque associé à l'implant, rare mais grave, est la migration dans l'artère pulmonaire. Dans de très rares cas, l'implant peut se déplacer dans le bras voire même dans un vaisseau sanguin.
Une infection dentaire due à l'implant ou péri-implantite peut se déclarer et se manifester par une perte osseuse accompagnée d'une inflammation de la gencive autour de l'implant.
Des antidouleurs pourront vous être prescrits. Si la douleur persiste, consultez votre professionnel de santé. Pour l'implant, il peut arriver que juste après la pose, un hématome ("bleu") apparaisse. Cela peut arriver s'il y a eu un petit saignement au moment de la pose.
Dans une étude portant sur des individus utilisant l'implant contenant de l'étonogestrel pendant une période pouvant aller jusqu'à deux ans, 14 % ont signalé des sautes d'humeur et 7 % une dépression attribuée à l'implant (12).
Elle est liée à une modification de l'équilibre hormonal par la présence constante et permanente de la progestérone. Il peut y avoir une augmentation de l'appétit , ou une diminution des exercices physiques , augmentant alors le risque d'une prise de poids.
Le DIU, anciennement appelé stérilet au cuivre, est la contraception sans hormones la plus souvent recommandée. Ce dispositif en forme de « T » est placé dans l'utérus par un gynécologue ou une sage-femme et a une durée d'efficacité qui va minimum jusqu'à 5 ans.
Comme toute opération, il arrive, dans de très rares cas, que la pose échoue. Dans cette situation, l'implant ne s'intègre pas parfaitement dans la gencive du patient ou dans l'os de la mâchoire. Une fibrose peut alors apparaître autour de la vis et il faut procéder au retrait de celle-ci.
Consulter votre dentiste pour des soins adaptés
resserrer votre couronne si le mouvement concerne la couronne plutôt que l'implant ; repositionner l'implant dentaire si ce dernier s'est déplacé du point d'ancrage ; insérer un nouvel implant si nécessaire.
Quand on enlève l'implant, on peut être enceinte tout de suite. Avec un rapport sexuel à risque, il faut prendre la pilule du lendemain le plus rapidement possible si l'on souhaite éviter une grossesse. Sinon, il faut attendre 3 semaines après un rapport sexuel à risque pour que le test de grossesse soit fiable.
Les femmes qui souhaitent éviter une grossesse doivent s'abstenir de rapports sexuels non protégés pendant une période de 12 jours, à savoir du jour 8 au jour 19.