La douleur sacro-iliaque commence habituellement dans le bas du dos et la fesse, et peut irradier vers le bas de la hanche, l'aine ou le haut de la cuisse. Bien que la douleur soit généralement unilatérale, elle peut survenir des deux côtés.
Le syndrome sacro-iliaque
Il se manifeste par des douleurs souvent d'un seul côté dans le bas du dos, dans la fesse, dans l'aine et même dans la cuisse, des difficultés à s'assoir. Il est donc souvent confondu avec un problème lombaire ou une sciatique.
Les médecins de la douleur peuvent soulager les douleurs sacro-iliaques en réalisant des tests d'infiltration anesthésique et en cas de résultat satisfaisant une neurolyse par thermocoagulation ou radiofréquence.
Un centre de médecine du dos et de la douleur peut également être recommandé aux patients. Si une intervention chirurgicale est envisagée, un centre neurochirurgical peut également être consulté.
Plusieurs facteurs peuvent causer des douleurs articulaires ou les enflures dans la région sacro-iliaque de votre corps. Parmi les plus courantes, on retrouve : La chute sur le sol (les fesses absorbent la plupart du choc) Une mauvaise posture.
Sur le ventre
C'est la position la plus déconseillée, elle pourrait être elle-même la source de certains maux de dos. Si vous ne pouvez pas prendre une autre position, essayez de diminuer l'effort en plaçant un coussin sous le bassin. Si possible, gardez un oreiller sous la tête qui soulage la tension de votre dos.
Allongez-vous sur le dos, les bras écartés à 90 degrés. Placez le pied droit à côté du genou gauche et laissez la jambe s'incliner sur le côté gauche. Assurez-vous que vos épaules ne décollent pas du sol. Ensuite, commencez par un mouvement circulaire du bras droit.
une raideur d'une ou plusieurs autres articulations (genoux, chevilles, épaules...) est présente le matin au réveil et dure plus d'une demi-heure ; les douleurs sont associées à une fatigue importante ; les crises douloureuses persistent pendant au moins trois mois, et ont tendance à durer de plus en plus longtemps.
Fléchir les hanches et essayer de relever les genoux contre la poitrine en s'aidant de ses mains. Fléchir une jambe devant soi. Croiser l'autre jambe vers l'arrière. Se tenir en appui avec les deux mains devant soi.
DEROULEMENT. Vous serez allongé sur le dos, une antenne sera placée au niveau du bassin. Cet examen ne nécessite pas d'injection de produit de contraste. Cet examen dure entre 10 et 15 minutes.
L'IRM des sacro-iliaques (figure 2) : elle permet d'évaluer précocement l'inflammation et la présence des signes structuraux (érosions, condensation). utilisée pour le diagnostic.
La sacro-iliite est diagnostiquée grâce à des techniques d'imagerie qui sont généralement prescrites suite à la survenue de douleurs caractéristiques de la sacro-iliite. Il s'agira le plus souvent d'une radiographie du bassin, d'un scanner ou d'une IRM (imagerie par résonance magnétique).
Raidisseur articulation sacro-iliaque
Depuis les années 1920, une fusion ouverte des deux partenaires articulaires ilium et sacrum est pratiquée comme traitement chirurgical standard. Le raidissement de l'articulation sacro-iliaque à l'aide de vis entraîne une adhérence des deux os et un soulagement des symptômes.
Dans le bas du dos. Au niveau du bassin et des fesses, d'un côté ou des deux. Au niveau de l'aine.
Douleurs et maladies de la fosse iliaque
Une douleur du côté droit peut évoquer une appendicite, une pathologie ovarienne, une hernie inguinale, une salpingite, une grossesse extra-utérine ou une colique néphrétique.
Dans le cas où la cruralgie est causée par une infection ou une tumeur, les douleurs deviennent de plus en plus intenses, et surviennent au repos ou au cours de la nuit. Elles peuvent aussi s'accompagner de fièvre.
Dans 80 % des cas, la spondylarthrite commence par des douleurs dans le bas du dos ou les fesses. Tantôt à droite, tantôt à gauche, elles irradient vers l'arrière des cuisses et ressemblent fortement aux douleurs dites sciatiques.
Contrairement à la polyarthrite rhumatoïde qui touche plus souvent les femmes, la spondylarthrite rhumatoïde touche autant les hommes que les femmes. Mais chez ces dernières, le diagnostic est plus souvent difficile à établir car les formes sont moins sévères et les atteintes articulaires plus tardives.
Inconvénients : Trop de pression sur les muscles et les articulations dû à l'absence de soutien par la colonne vertébrale. Peut provoquer des douleurs, des tensions et des engourdissements, notamment au niveau du cou et de la mâchoire.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Qu'est-ce que la sacro-iliite ? Désignant une arthrite, la sacro-iliite correspond à l'inflammation des articulations sacro-iliaque, principales articulations du bassin situées entre le sacrum et les deux os iliaques.
En effet, la radiographie ne permet de visualiser la sacro-iliite qu'à un stade tardif, quand les lésions dites structurelles (érosions, hyperostose et ankylose) sont déjà en place. L'IRM, en revanche, permet le diagnostic de la maladie à un stade débutant, quand seules les lésions inflammatoires sont visibles.
Les causes de la spondylarthrite ne sont pas connues, mais des facteurs favorisants ont été identifiés. Ils sont de deux types : des facteurs génétiques et des facteurs environnementaux, les deux types étant souvent associés. Néanmoins, il n'existe pas aujourd'hui de moyen de prévenir l'apparition de spondylarthrite.
En l'absence de tout traitement, la spondylarthrite peut bloquer de manière progressive et définitive les articulations du bas du dos, par fusion des os du bassin avec le sacrum, ou par fusion des vertèbres. Dans les cas les plus sévères, la colonne vertébrale peut se souder en un seul bloc.