Le timonier faisant face à cette godille tournait donc le dos au côté gauche. Or, en vieux néerlandais, le mot boord veut dire « bord du bateau » et stier « gouvernail ». Stierboord est donc devenu tribord, le côté droit où se trouve le gouvernail, et bakboord est devenu bâbord, le flanc gauche du bateau.
Le plus simple : dans “tribord” il y a un “t” comme dans “droiTe”. Dans “bâbord”, il y a un “a” comme dans “gAuche”. On peut aussi penser à “Batterie” : vous écrivez le mot “ba” à gauche et “tterie” à droite.
S'imaginer lire le mot « batterie » (l'addition des deux préfixes « ba » et « tri » font ba-tri) à l'avant d'un bateau et observer que : « ba » est à gauche du mot batterie (batri), comme bâbord ; que « tterie » (tri) est à droite du mot batterie (batri), comme tribord.
Bâbord et tribord sont des termes de navigation servant à désigner sans ambiguité les côtés gauche et droit d'un navire, tel que perçu par un observateur situé sur le navire et orienté en direction de l'avant de celui-ci.
Moyen mnémotechnique pour les débutants qui ne veulent pas confondre tribord et bâbord : tournez-vous vers l'avant du bâtiment puis visualisez devant vous le mot « batterie », les lettres « ba »de bâbord sont à votre gauche, tandis que les lettres « tterie », que l'on prononce « tri », de tribord sont à votre droite.
Les termes "bâbord et tribord" sont une référence par rapport au bâteau, quel que soit l'endroit du bâteau où l'on se trouve, que l'on regarde la proue ou la poupe et si l'ordre est "repérage naufragé par bâbord arrière" tout le monde sait où regarder, si l'on disait à gauche, il y aurait un moment de flottement, voire ...
Bâbord est le côté gauche du bateau en regardant vers l'avant.
Bâbord = côté gauche d'un navire (quand on regarde vers l'avant). Moyens mnémotechniques souvent cités : le a de bâbord est dans gauche, le i de tribord dans droite ; bâbord à gauche, tribord à droite, comme dans le mot batterie.
Un bout qui se prononce « boute », désigne, de façon générale, un cordage sur le navire car le mot « cordage » n'est jamais utilisé par les navigateurs. Ceux-ci parlent ainsi de « raidir un bout » pour resserrer une tension sur une corde, de « passe-moi le bout » pour « donne-moi le cordage », etc.
Étymologie. (1484) Du néerlandais bakboord , de bak (« dos ») et boord (« bord »), « le bord qu'on a dans le dos » : en effet autrefois le gouvernail se fixait à tribord, on avait donc le côté bâbord dans le dos.
En Europe, les bouées bâbord ont la forme d'un cylindre et sont de couleur rouge. En venant du large, il faut les laisser sur bâbord (gauche), c'est-à-dire qu'on passe à tribord (droite) de la balise. Les bouées tribord ont la forme d'un cône et sont de couleur verte.
Proue ressemble à premier, donc la proue est à l'avant, et Poupe ressemble à popotin, donc la poupe est à l'arrière. Avoir le vent en poupe signifie avancer vite, avoir le vent dans le dos. Pensez également à cette petite phrase: En avançant que la proue se trouve devant, je prouve que la poupe est à l'arrière !
Bâbord le voyant est toujours cylindrique mais la couleur est verte ; Tribord le voyant est toujours conique mais la couleur est rouge.
Les feux de côté déterminent la priorité : Un feu vert placé à tribord et un feu rouge placé à bâbord projetant chacun une lumière ininterrompue et disposée de manière à projeter cette lumière vers l'avant, permettent de savoir si l'embarcation qui se dirige vers vous provient de votre droite ou de votre gauche.
(also adjective) the port wing.
Un navire à propulsion mécanique qui s'approche d'un autre navire à propulsion mécanique et qui le voit sur son tribord doit lui céder le passage et éviter de le croiser par l'avant. Un bateau de pêche qui s'approche d'un autre bateau de pêche et qui le voit sur son tribord doit lui céder le passage.
Sur un bateau, on ne dit jamais, les mots "corde" et "lapin". Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t"). Vous pouvez aussi dire “écoute”, "filin", manœuvres… C'est plus précis que “cordes” car, de fait, des cordes, on en trouve vite beaucoup sur un voilier.
Autrefois, les cargaisons des bateaux étaient saisies avec des cordages en chanvre. Des lapins qui par accident s'étaient échappés de leur cage pouvaient donc les ronger, provoquant ainsi indirectement le naufrage du bateau par déplacement de la cargaison dans les cales provoquant une déstabilisation et la gîte.
Le lapin est un animal maudit dans la marine et il est interdit de prononcer ce mot sur un bateau. Cette superstition vient de l'époque où les marins emportaient à bord des animaux vivants â?? dont des lapins â?? pour les manger pendant les longues traversées.
Comment les bateaux avance face au vent ? En ralentissant le débit, une surpression est créée qui gonfle la voile. Ces différences de pression entre les deux côtés de la voile créent une force de poussée (flèche verte) qui tire le voilier vers l'avant.
Régler l'écoute, c'est-à-dire la corde servant à régler la voile, en la tirant de façon à raidir la voile. On borde une voile pour des raisons aérodynamiques, pour se rapprocher de l'axe du vent. Si ce réglage n'est pas effectué correctement, la voile gêne le bon passage du vent et perturbe la vitesse du bateau.
Désordre, chaos, abomination. Enfin quoi! tu vois aussi bien que moi dans quel état est la chiourme. La saoulerie, la gabegie, la folie de détruire (Aymé, Vogue,1944, p.
Le mot Marinette s'entend sur les pontons, dans les ports et même sur certaines annonces d'emploi à la plaisance professionnelle. Vous ne le trouverez jamais dans un dictionnaire et pourtant, quand on parle d'un marin au féminin, on utilisera souvent le terme de Marinette.
naufragé (n.m.) 1. personne ou navire qui a fait naufrage.
Creux: partie la plus basse de l'intérieur de la coque, entre le sol et la quille.