Cette formation géologique temporaire se retrouve sur la plupart des côtes du monde mais le terme baïne est en usage dans le sud-ouest de la France sur la côte Atlantique où on les voit principalement sur le littoral néo-aquitain (Côte d'Argent et Côte sauvage de la presqu'île d'Arvert et de l'île d'Oléron).
Comment reconnaitre les baïnes
A marée basse, une baïne forme un creux sur la plage. Un peu d'eau peut y stagner alors que la plupart de la plage est à sec. A marée haute, une baïne se présente sous une zone d'eau calme où les vagues ne déferlent pas. La couleur de l'eau y est plus sombre.
D'autres conseillent de nager parallèlement à la côte pour sortir aussi vite que possible du courant et rejoindre une zone de déferlement des vagues. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, c'est là où cassent les vagues que l'on est le plus en sécurité (les vagues ne cassent pas dans la baïne).
Mangawhai, Nouvelle-Zélande. Si l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande est l'une des destinations préférées des amateurs de sensations fortes, elle abrite également la plage idéale pour des vacances au calme. La région de Mangawhai, entourant le port du même nom, abrite l'une des plages les mieux notées pour se détendre.
Le dispositif d'alerte aux baïnes a été mis en place cette année pour prévenir les baigneurs. Il a déjà été activé en juin et le 17 août. Déclenché par la préfecture, il évalue le risque de noyade sur une échelle de cinq, principalement en fonction de la dangerosité des baïnes, mais aussi des vagues, de la houle…
D'ailleurs "baïne" signifie "petit bain" en patois landais. Ces sortes de cuvettes peuvent avoir des formes bien différentes en fonction de leur zone de formation, de la puissance de la houle qui les a créées, etc. Elles peuvent atteindre plusieurs dizaines de mètres de superficie et quelques mètres de profondeur.
Les baïnes se forment sur un relief où le phénomène de marée est fort, le sable fin, le dénivelé faible, et avec une forte houle. A marée haute, le ressac créé par la houle en déferlant sur la plage, emporte vers le large du sable. Au fur à mesure de la marée un banc de sable, parallèle à la plage, va se former.
Le lieu le plus dangereux de France reste la côte Atlantique.
Le golfe de Guinée: la mer «la plus dangereuse du monde»
Sur les côtes de la Manche, les plages les plus chaudes se situent entre Granville et Cancale Grâce à la baie du Mont Saint-Michel qui limite les remontées d'eaux froides :l'eau y est à 19°C en moyenne l'été.
Les baïnes se forment sur un relief où le phénomène de marée est fort, le sable fin, le dénivelé faible, et avec une forte houle. A marée haute, le ressac créé par la houle en déférlant sur la plage, emporte vers le large du sable. Au fur à mesure de la marée un banc de sable, parallèle à la plage, va se former.
Les coups de soleil et brûlures légères sont fréquents et dangereux si vous ne vous entourez pas de précautions. Les nourrissons ont la peau et les yeux très fragiles, il est donc important de ne pas les exposer au soleil. Evitez autant que possible toute exposition entre 12 heures et 16 heures.
Les baïnes ont tendance à emporter les personnes vers le large ! Le conseil classique est de se laisser emporter et de s'échapper du courant une fois que celui-ci s'atténue, et surtout ne pas paniquer quand on se retrouve emporté loin de la côte.
A ce moment, la baïne se remplit et rejoint l'océan ce qui crée des courants forts vers le large. Si vous vous trouvez dans une baïne à marée montante, vous courez le danger d'être aspiré vers l'océan. Les courants de baïne sont si forts que même les bons nageurs peuvent se noyer.
Lorsque la mer est haute, on peut se baigner et pratiquer des activités nautiques plus facilement. Quand elle baisse, c'est le bon moment pour aller à la pêche, faire du cerf-volant ou s'amuser dans les rochers. Les marées peuvent être plus ou moins fortes selon l'endroit où l'on se trouve et le moment de l'année.
Les talibans contrôlent plus de territoire qu'à n'importe quel moment depuis la chute de leur régime. La capitale Kaboul, est continuellement confrontée à la menace d'attaques terroristes, qui comprennent des attentats-suicides, des enlèvements et des conflits armés.
Dans l'imaginaire collectif, c'est bel et bien le requin qui fait partie des animaux marins les plus effrayants et les plus dangereux. D'une longueur de six mètres, le grand requin blanc ne déroge pas à la règle, et s'avère être un animal des plus redoutables pour l'homme.
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
Il ne faut pas se fier à son eau turquoise, le lac Sarez, aussi poétiquement nommé « la Perle Bleue » est un assassin en puissance.
La mer et les cours d'eau subissent les pollutions, les marées noires et la pression du trafic maritime. Tout cela menace la faune marine de la région, qui doit par ailleurs faire face à des pratiques de pêche excessives et non durables.
Le Cap Horn demeure la zone la plus dangereuse à la navigation. En effet, entre vents violents, fortes tempêtes et mers démontées, les vents s'accélèrent au niveau du cap et peuvent atteindre les 100km/h. Il faut également être très vigilants face aux Icebergs et aux vagues qui peuvent atteindre les 30 mètres.
La surface de l'eau s'éloigne du centre de la terre, un phénomène provoqué par la Terre elle-même lorsqu'elle tourne : c'est la force centrifuge.
La formation des courants marins
Pour les courants marins de surface, leur formation dépend de deux facteurs : le vent et la rotation de la Terre. Ces courants suivent en effet la trajectoire des vents, qui entraîne un mouvement de l'eau. Mais le vent n'est pas le seul à impacter les courants en surface.