Le quatrième mousquetaire serait enterré au Plessis-Robinson. comte d'Artagnan, cousin du célèbre mousquetaire. Et voilà que la ville des Hauts-de-Seine et ses 21.000 habitants viennent de découvrir qu'elle a peut-être mieux encore dans ses murs: le vrai d'Artagnan, ou du moins sa tombe.
Une légende voudrait que le corps de d'Artagnan ait été ramené au château d'Olhain, dans le Pas-de-Calais. Néanmoins, il semble avéré que le d'Artagnan enterré à Olhain soit Joseph de Montesquiou d'Artagnan, également capitaine des mousquetaires, dont la famille de la femme possédait le château.
Les trois mousquetaires, Athos, Portos et Aramis, sortent tout droit de l'imagination d'Alexandre Dumas père. En revanche, d'Artagnan, leur fidèle compagnon, a bel et bien existé.
D'Artagnan part pour l'Angleterre avec ses compagnons et leurs laquais. Il laisse en chemin Porthos, aux prises avec un ivrogne, Aramis, blessé au bras, et enfin Athos, accusé d'être un faux-monnayeur. Il rejoint enfin l'Angleterre avec un laissez-passer volé au comte de Wardes (l'amant de Milady).
la rue Férou, celle du domicile d'Athos. Aramis avait choisi ses quartiers rue de Vaugirard. Vaugirard, le célèbre cabaret le Jeu de Paume où se réunissaient les Trois Mousquetaires a disparu, le fantôme des infatigables bretteurs rôde peut être ici.
Histoire. Athos a épousé Milady de Winter alors qu'il était fiancé à Catherine de Garouville. Lorsque Thomas d'Athos découvre le passé criminel de Milady, cette dernière le tue. Mais elle découverte par Catherine et par Athos qui n'a pas d'autre choix que d'ordonner sa pendaison.
La jalousie, la fureur, l'orgueil offensé, toutes les passions enfin qui se disputent le cœur d'une femme amoureuse la poussaient à une révélation ; mais elle était perdue si elle avouait avoir donné les mains à une pareille machination, et par-dessus tout d'Artagnan était perdu pour elle.
Même si le cheval en question sort forcément de l'ordinaire puisqu'il s'agit du cheval de d'Artagnan. Ce petit livre donne donc la parole à Rabastas, cheval du plus célèbre des mousquetaires, qui y raconte sa vie aux côtés de son maître.
Son œuvre repose sur la réalité d'archives dégotées par l'auteur et rend grâce aux Trois mousquetaires qui ont bien existé et étaient bel et bien béarnais ; ATHOS, PORTHOS et ARAMIS ; le quatrième -car il étaient bien quatre paradoxalement- étant leur ami gascon D'Artagnan venu les rejoindre par la suite ...
Mais en attendant, je peux vous donner trois petits points qui constituent peut-etre cette morale dont vous parlez. -Ce ne sont pas toujours ceux qui le meritent le plus qui "gagnent", ou sont heureux. -Le temps passe et tout change; il faut laisser la place aux nouvelles generations.
Pour mener à bien leur mission, ils devront vaincre la redoutable espionne du cardinal, la belle et mystérieuse Milady de Winter qui se nomme en réalité Anne de Breuil .
Frappé en pleine tête par une balle de mousquet, Charles de Batz de Castelmore, comte d'Artagnan, est mort sous les remparts de Maastricht le 25 juin 1673. L'histoire officielle assure qu'il repose à cet endroit. Mais Joseph Varro refuse de se satisfaire de cette version.
Entrés dans l'imaginaire collectif comme de brillants manieurs d'épée, les Mousquetaires doivent leur nom à une toute autre arme : le mousquet. Cet ancêtre du fusil était en effet beaucoup plus utilisé que la lame par ce corps de militaires du roi.
Au cœur de la cité épiscopale de Condom vous attend le plus célèbre des gascons aux côtés de ses inénarrables compagnons d'aventure ! Œuvre du sculpteur géorgien Zurab Tsereteli, la statue des mousquetaires de Dumas se dresse sur la place Saint-Pierre depuis son inauguration en 2010.
Charles de Batz de Castelmore, dit d'Artagnan, naît à une date inconnue, probablement entre 1611 et 1615. Il est le fils de Bertrand de Batz, seigneur de Castelmore, et de Françoise de Montesquiou. Le château de Castelmore, résidence habituelle de sa famille, se trouve dans le comté de Fezensac, près de Lupiac.
Capitaine-lieutenant de la première compagnie des mousquetaires du roi, d'Artagnan est mort au siège de Maastricht, le 25 juin 1673, au cours de l'assaut contre une demi-lune qui défendait la ville.
Milady est condamnée à mort. Elle utilise toutes ses ressources de séduction et de persuasion pour tenter de se sauver, mais en vain : le bourreau la décapite et jette son corps dans la Lys.
De son vrai nom Armand de Sillègue d'Athos d'Autevielle, est né en 1615 en Béarn et mort le 21 décembre 1643. Il a inspiré à Alexandre Dumas le personnage fictif d'Athos. "Convoy, service et enterrement du deffunct Armand, Athos dautebielle mousquetaire de la garde du Roi, gentilhomme de Béarn.
Mon père était un mulâtre, mon grand-père était un nègre et mon arrière-grand-père était un singe.
Après la démission du duc de Nevers qui est lieutenant de la première Compagnie des Mousquetaires, d'Artagnan en devient le capitaine-lieutenant, nommé « haut et puissant seigneur, Messire Charles de Castelmore, comte d'Artagnan », malgré les nombreuses autres candidatures, le Roi souhaitant le récompenser.
En 1634, Louis XIII le fait capitaine-lieutenant de la compagnie des mousquetaires, le titre de capitaine revenant au Roi. Le commandement effectif est assuré par Jean-Armand du Peyrer, comte de Tréville. Ce corps est nommé d'abord Compagnie de Mousquetons du Roi, puis des Mousquetaires du Roi.
Les trois mousquetaires, Athos, Porthos et Aramis sont des personnages créés par l'auteur Alexandre Dumas au XIXe siècle dans son œuvre Les Trois Mousquetaires. En revanche, d'Artagnan, de son vrai nom Charles de Batz de Castelmore, a lui vraiment existé. C'était un mousquetaire des rois Louis XIII et Louis XIV.
A peine acheva-t-il ce dernier mot : l'impulsion de la chute augmenta la pesanteur ; l'énorme roche s'abattit, pressée par les deux autres qui s'abattirent sur elle et engloutit Porthos dans un sépulcre de pierres brisées. En entendant la voix expirante de son ami, Aramis avait sauté à terre.
Athos représente la figure archétypique du grand Noble : il incarne le système de valeurs que d'Artagnan désire acquérir absolument. Il est donc, en quelque sorte, le père spirituel légitime de d'Artagnan, ce, par opposition à Aramis.
« Le véritable sens du livre n'est pas littéral, explique Sylvain Venayre, mais politique. Le héros n'est pas le quatrième mousquetaire, d'Artagnan, mais Milady, une femme à laquelle Dumas a confié une mission d'homme, agent spécial au service de la France.