C'est une plante peu encombrante facile à cultiver qui se multiplie par semis ou par ses rhizomes. On la trouve facilement à l'état sauvage dans les terrain pauvres non cultivés, les bords des chemins, et les pelouses non amendées.
En usage interne, la décoction de racine est tonique, digestive et apéritive. Elle est également recommandée pour soulager les diarrhées. La pimprenelle est également intéressante en cuisine car elle est riche en vitamine C.
La petite pimprenelle est à la fois comestible et médicinale. Vous pouvez manger ses feuilles au goût de concombre et les ajouter à des gaspachos avec un peu de feuilles de lierre terrestre. Toute la plante est utilisée pour ses vertus médicinales, contre les diarrhées et les petits saignements.
Conservation. Fraîche, la pimprenelle se conserve quelques jours au réfrigérateur. On peut également la congeler et la sécher, mais on perd un peu de sa saveur.
Réussir le semis de petite pimprenelle
Semez de mars à avril ou en septembre en poquets de 3 à 5 graines à 25 cm en tous sens, en pleine terre dans sol léger et bien drainé, à exposition ensoleillée.
Pimprenelle : est la sœur de Nicolas, elle a les cheveux blancs, une belle chemise de nuit blanche avec des rayures rouges et roses et un beau ruban rouge. Oscar : est le neveu de Nounours. Il a de la fourrure blanche avec des tâches marrons.
Le lamier pourpre (Lamium purpureum), de la famille des Lamiacea est une plante comestible et médicinale qui fleurit déjà par endroits. Vous pouvez utiliser les fleurs et les têtes fleuries crues ou cuites, en beignets, en omelettes… elles ont d'ailleurs une petite saveur de champignon !
Le lamier, c'est cette plante qui ressemble à s'y méprendre à l'ortie – mais sans piquer ! Il en existe du blanc, du pourpre, du jaune, du tacheté… et tous se mangent !
Les propriétés astringentes, digestives et vasoconstrictrices font du lamier blanc un véritable allié en cas de diarrhées, ballonnements et troubles gastro-intestinaux. Il contribue en effet à la bonne production de la bile et soulage les douleurs hépatiques et vésicales.
Reconnaître le lamier jaune
Une tige carrée (à quatre faces) Les feuilles opposées (une feuille en face de l'autre) Les feuilles décussées (chaque paire de feuilles est décalée de 90° de la paire des feuilles du dessus et du dessous) Des fleurs bilabiées (à deux lèvres, qui ressemblent à une gueule).
Vous la trouverez sous différents noms : la grande ortie, la petite ortie, l'ortie piquante, ortie dioïque, ou encore l'ortie brûlante. Toutes peuvent être utilisées, grandes ou petites. La grande ortie est une plante vivace qui résiste à -20°C. Une fois qu'elle est installée, il est très difficile de s'en débarrasser.
Une fois cueillir, l'ortie se consommera aussi bien crue que cuite ! Si vous voulez la manger crue dans la nature faites une boule et roulez deux ou trois fois entre vos doigts ensuite vous pourrez la consommer sans vous faire piquer la bouche. A la maison, vous pourrez la manger finement hachée en salade.
soient effectivement deux genres distincts, ils sont tous les deux comestibles. Une confusion est donc sans danger, mais est ennuyeuse si vous cueillez l'une ou l'autre plante pour une utilisation médicinale spécifique ou si vous êtes à la recherche d'un goût en particulier.
"En cas d'hypertension, il faut faire attention à la réglisse. On utilise parfois la réglisse dans les infections bronchiques car c'est aussi un anti-inflammatoire. Mais la réglisse est hypertensif. La réglisse est à prendre par voie orale, et non en inhalation.
La différence majeure qui permet de reconnaître les 2 types d'ortie est que la blanche a des fleurs blanches sous les feuilles. L'ortie blanche est beaucoup plus rare que l'ortie piquante, et si elle est inoffensive, elle a en plus des qualités médicinales. On peut aussi l'utiliser en cuisine.
Description botanique de l'Ortie blanche
Le Lamier blanc est présent partout en Europe et dans l'ouest de l'Asie. Il s'adapte à différents types d'habitats : on le trouve en milieu ouvert aussi bien que fermé, même s'il apprécie les sols assez frais et humides.
C'est la saison de l'ortie. En effet, c'est à Pâques et à la fin septembre qu'il convient le mieux de récolter les feuilles. Même si l'on peut la cueillir toute la belle saison, elle a à ces périodes la plus haute teneur en fer.
Sur la tige, on trouve des picots dans différents sens : c'est là qu'on est obligé de se piquer… En revanche, le dessous des feuilles est votre allié : tous les picots sont « rangés » dans le même sens !
Pulvériser du purin d'ortie sur les feuilles des tomates favorise les défenses immunitaires de la plante et lui permet donc de mieux se défendre contre les bio agresseurs. Le mélange se pulvérise en quantité, le feuillage des tomates doit être bien mouillé.
Parce qu'elle possède des propriétés diurétiques, l'ortie (feuilles ou racines) est contre-indiquée chez les personnes qui souffrent de troubles cardiaques ou rénaux – en particulier : en cas d'insuffisance cardiaque ou rénale avec ou sans rétention d'eau (œdèmes).
L'ortie se trouve en abondance à l'état sauvage, elle pousse généreusement dans des sols riches et humides, au bord des rivières ou des fossés. Les racines sont très envahissantes et l'ortie se reproduit vite, ce système permet ainsi de stopper sa prolifération. L'ortie pousse très vite et peut se récolter dès l'été.
L'idéal est de commencer à en boire une à jeun, juste en se levant le matin, puis en dehors des repas. C'est mieux de conserver la tisane dans un thermos afin d'éviter de la réchauffer (ce qui ferai perdre les propriétés de l'ortie). Cette tisane peut très bien se boire froide.