Il est donc nécessaire de la privilégier lorsqu'on cherche à augmenter naturellement sa progestérone. On trouve de la vitamine B6 dans les légumineuses (pois chiche, notamment), dans les poissons (saumon, thon, morue), dans les oléagineux (noisettes, pistaches) ainsi que dans les graines (tournesol, lin, sésame…).
Certains aliments contiennent de la progestérone. C'est le cas : des œufs, le jaune en particulier, des produits laitiers à base de lait de vache et de la volaille. ► La progestérone est une hormone sécrétée principalement chez la femme, dans les ovaires.
L'alchémille est une plante connue pour ses bienfaits sur le corps féminin. Son action, mimant celle de la progestérone (progestérone-like), permet de prévenir et de réduire les troubles liés au syndrome prémenstruel, à la pré-ménopause et aux règles abondantes.
4/ Compenser le manque de progestérone
Certaines plantes comme l'achillée millefeuille ont un effet naturel “progestérone-like”, c'est-à-dire qu'elle simule les effets de la progestérone : elle aide à équilibrer l'humeur, booster la concentration, réguler la phase lutéale et combattre les spottings.
Stress sévère : le stress à long terme peut amener le corps à produire plus de prolactine (l'hormone qui produit le lait). Cela ralentit la maturation des œufs et inhibe la formation de progestérone. Par conséquent, la fertilité est également réduite pendant l'allaitement.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
L'alchémille (Alchemilla vulgaris)
Son action progestérone-like (qui mime la progestérone) en fait un excellent remède hormonal pour les syndromes prémenstruels, la pré-ménopause, les cycles irréguliers ou hyperménorrhées (règles abondantes).
L'angélique chinoise soulage le syndrome prémenstruel et les problèmes de la ménopause. A utiliser en tisane, en ampoule ou en gélule. D'autres plantes sont également efficaces comme la sauge sclarée (Salvia sclarea) et la réglisse (Glycyrrhiza glabra).
Pour traiter les symptômes de la ménopause, on utilise donc des suppléments d'œstrogènes afin de compenser la diminution de leur production par le corps. Si l'utérus de la femme est toujours présent, on ajoute un supplément de progestérone.
La progestérone est une hormone stéroïdienne principalement sécrétée par les cellules du corps jaune des ovaires et le placenta.
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de progestérone en dehors de toute grossesse sont inférieures à 1,5 ng/mL pendant la phase folliculaire, comprises entre 0,7 et 4 ng/mL au moment du pic ovulatoire et entre 2 et 30 ng/mL pendant la phase lutéale (reflet de la présence du corps jaune).
La progestérone agit sur la muqueuse de l'utérus (ou endomètre), et permet la survenue des règles à la fin de chaque cycle menstruel.
"La progestérone est un progestatif naturel synthétisé après l'ovulation afin de préparer la muqueuse de l'utérus à une grossesse, informe le Pr Anne Gompel, gynécologue dans le service de Service de Gynécologie médicale endocrinienne – sénologie de l'hôpital Cochin (Paris).
Posologie usuelle :
La posologie est variable selon les cas. Dans le traitement d'une insuffisance de progestérone par voie orale, la posologie est de 200 mg par jour, en 1 prise ou 300 mg par jour, en 2 prises, pendant 10 jours par mois (habituellement du 17e au 26e jour du cycle).
Ainsi, la Sauge, le Trèfle rouge, le Houblon, les isoflavones de soja, le Gattilier, l'Actée à grappes noires… Sont des alternatives naturelles au Traitement Hormonal Substitutif.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
LES PLANTES AMIES DES FEMMES, pour l'équilibre hormonal
La sauge officinale : c'est une plante oestrogène-like, elle à une activité emménagogue (provoque les règles) et antalgique (diminue la douleur des règles). Elle a également une action sur les leucorrhées mycosiques.
La luzerne aide les femmes à faire face aux signes annonciateurs associés à la ménopause, comme les bouffées de chaleur, la sudation, la nervosité et l'irritabilité. Elle est souvent recommandée aux femmes souhaitant réduire naturellement leurs niveaux d'oestrogènes ou assurer un taux suffisant en progestérone.
Hormone stéroïde dérivée du cholestérol, sécrétée par le corps jaune (follicule ovarien ayant expulsé l'ovule) pendant la seconde phase du cycle menstruel, par le placenta pendant la grossesse et, à un moindre degré, par les corticosurrénales et les ovaires.
En théorie, la réponse à ces questions est la même : non. Un traitement substitutif équilibré et calibré pour vos besoins physiologiques hormonaux précis n'entraînera pas de prise de poids définitive. Il pourra en effet induire deux à trois kilos en plus qui disparaitront aussi vite qu'ils sont apparus.
Pour maigrir à la ménopause et perdre de la graisse abdominale, voici quelques conseils à appliquer : Adoptez un régime alimentaire spécial ménopause, avec 4 à 5 repas par jour, des produits riches en fibres et en éliminant les aliments trop sucrés et trop gras. Faites de l'exercice de façon régulière.