Les huiles végétales sont riches en Acides Gras Essentiels : huile de colza, huile de noisette, huile de noix, huile d'olive, huile de soja, huile de tournesol… Pour consommer des bonnes graisses, optez aussi pour le poisson. Les poissons gras sont riches en oméga-3 : saumon, sardine, thon, maquereau, anchois, truite…
Dans l'article Alimentation saine publié en 2018, l'OMS recommande de privilégier les graisses insaturées, qu'on trouve dans le poisson, l'avocat et les noix ainsi que dans les huiles de tournesol, de soja, de colza et d'olive).
Les graisses végétales – huile d'arachide, de maïs, d'olive, de tournesol et de noix de coco – ont un goût plus neutre. L'huile de noix de coco est la meilleure option, car on peut la faire chauffer à haute température à plusieurs reprises sans perdre de sa qualité.
1. L'huile d'olive. L'huile d'olive est une huile végétale riche en oméga-3, -6, mais aussi en oméga-9. Des acides gras insaturés également connus sous le nom d'acide oléique qui, en plus de faire baisser le taux de mauvais cholestérol et augmenter le bon, permettent également à notre peau de rester bien hydratée.
Les huiles à éviter sont l'huile de palme et de coprah, qui contiennent beaucoup d'acides gras saturés. Idem pour l'huile de coco, très utilisée et appréciée pour ses vertus, qui contient tout de même 85% d'acides gras saturés, contre 10 à 20% pour les huiles cités au-dessus.
Les acides gras présents dans le beurre sont effectivement majoritairement ceux que l'on qualifie de « mauvais gras » : Les études tendent à montrer qu'une consommation excessive d'acides gras saturés et trans augmente le taux de mauvais cholestérol. Cela augmenterait donc le risque de maladies cardiovasculaires.
L'huile d'olive non extra-vierge (celle bon marché) et l'huile de canola raffinée sont les meilleurs choix pour la cuisson sur la cuisinière. Pour faire sauter les légumes ou cuire les viandes, elles sont idéales. Elles peuvent aussi servir pour toute cuisson au four.
Les aliments pochés, bouillis, au four, à la vapeur ou encore la viande et le poisson grillé permettent d'utiliser moins de gras que la friture. Si votre recette nécessite la friture, alors utilisez des huiles végétales ou des produits à base d'huile végétale car ils apportent une bonne source d'acides gras insaturés.
Les acides gras insaturés, retrouvés principalement dans les huiles végétales, les noix, certaines graines et les poissons gras, jouent plusieurs rôles essentiels au bon fonctionnement du corps humain.
L'huile de canola est celle contenant le moins de gras saturés et le plus d'acide alpha-linoléique oméga-3 parmi les huiles de cuisson les plus courantes.»
Nous vous conseillons de choisir une huile de tournesol oléique qui présente une meilleure tenue aux températures élevées. Grâce à sa forte teneur en acides gras monoinsaturés, elle supporte les hautes températures et est donc idéale pour rissoler voire même frire les aliments.
Résultat : les huiles de maïs et de tournesol, riches en acides gras polyinsaturés, ont généré des niveaux très élevés d'aldéhyde, jusqu'à 20 fois plus que la concentration recommandée par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), à partir de 20 minutes de cuisson.
L'huile d'olive, une huile profitable
A une dose quotidienne, l'huile d'olive influence l'augmentation du bon cholestérol et diminue par la même occasion les facteurs de risques cardio-vasculaires. L'huile d'olive n'est pas à consommer en quantité excessive.
Des études ont permis de démontrer l'effet antithrombotique et antiagrégant plaquettaire de l'huile d'olive. Ces propriétés permettent notamment de prévenir l'athérosclérose, c'est-à-dire la formation de plaques riches en cholestérol sur les parois des artères qui rend plus difficile la circulation sanguine.
Un dîner idéal pour la santé est un dîner équilibré qui, comme le déjeuner, comporte 3 à 4 composantes : entrée/plat/desserts avec un produit laitier et/ou un fruit. Le plat " idéal " est, lui-même, composé de 3 familles d'aliments en proportion égale : 1/3 assiette : Viande, poisson ou œufs.
En vieillissant, le métabolisme basal diminue. À partir de 30 ans, le métabolisme baisse de 2 à 3 % tous les 10 ans . Cette baisse joue sur la masse musculaire. Ainsi, si nous ne changeons pas nos habitudes alimentaires et notre activité physique, nous prenons du poids sous forme de graisse.