Le grand combat pour l'abolition a commencé. 13 avril 1946 : la loi dite Marthe Richard ferme les quelque 1 400 maisons closes françaises, dernier acte du combat de la conseillère municipale de Paris contre la réglementation de la prostitution, jugée périmée et immorale.
C'est le cas de l'Allemagne, de l'Autriche, de la Grèce, de la Lettonie, des Pays-Bas et de la Suisse. La profession de prostitué(e) est ici reconnue par la loi, donnant ainsi droit aux personnes qui l'exercent à une protection sociale. Dans le cas de l'Allemagne, ce système est en vigueur depuis 2002.
La loi du 13 avril 1946 tendant à la fermeture des maisons de tolérance et au renforcement de la lutte contre le proxénétisme, dite loi Marthe-Richard, abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Elle impose la fermeture des maisons closes (« maisons de tolérance »).
Définition "tenancière de maison close"
C'est en 1890 aux États-Unis que red light (qui signifie en anglais « lumière rouge » ou « lanterne rouge »), est utilisé pour signifier une zone de commerce de la prostitution. Il dérive de la pratique qu'ont les maisons closes de s'annoncer en allumant une lanterne rouge sur le devant de la maison.
Le Club Paradise de la Jonquera, non loin de la frontière française, refroisse les draps de ses lits, avec port du masque obligatoire. Il y a plus d'une centaine de maisons closes dans la zone. Le gouvernement de Catalogne leur avait appliqué le même régime que les discothèques : fermeture forcée.
La Villa Tinto accueille quelque 260 prostitué(e)s au centre d'Anvers. Ce concept unique en Belgique leur offre de meilleures conditions de travail. Il séduit aussi certains de nos politiciens wallons et bruxellois…
Le 13 avril 1946, la loi Marthe Richard abolissait une institution : le bordel. C'est la fin d'un système datant de 1804 qui donnait une existence légale aux maisons closes, cachant les prostituées pour préserver la morale, à l'ère de la bourgeoisie triomphante.
Vidéo -- C'est depuis hier qu'un établissement pas comme les autres a ouvert ses portes à la Jonquera, à la frontière espagnole. Avec ses 80 chambres et ses 200 prostitués, « Le Paradise » risque bien de faire parler de lui et de s'imposer comme le plus grand bordel d'Europe.
Construit sous l'empire britannique, Dautladia est l'un des plus grands bordels du monde. Près de 2 000 prostituées y vivent, la plupart sont de jeunes filles forcées de se prostituer.
La ville de Cologne a perdu une de ses institutions : Le Pascha, le plus grand et le plus célèbre bordel du pays. La crise du Covid est passée par là. Pandémie oblige, le Pascha, le plus grand bordel au monde, vient de déposer le bilan.
Sur ordre de Napoléon, le 12 octobre 1804 , le préfet de police de Paris Dubois prescrit l'organisation officielle des maisons dites de plaisirs. L'année 1804 voit ainsi la légalisation de la tolérance et de la maison close.
Définition "maison close"
Établissement où des prostitués peuvent être rencontrées (ex.
Belgique : la prostitution est désormais autorisée, une première en Europe.
La Jonquera, 3 233 habitants, est connue pour ses hypermarchés, ses buralistes, ses restaurants avec buffet, ses norias de camions, son centre commercial, sans oublier ses clubs de prostitution. Un lieu bien particulier, comme toutes les villes-frontières.
A La Jonquère, localité de 3.000 habitants, et dans les environs, on compte une dizaine de "puticlubs", comme on les appelle en Espagne, où travaillent des centaines de filles.
Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 juin 2020, à minuit pile, l'Espagne rouvrait officiellement ses frontières avec la France. L'occasion pour le chaland d'aller refaire le plein de courses dans les zones commerciales du Perthus et de La Jonquera.
Étymologie. (Nom 1) Attesté, en ancien français, sous la forme maquerel. Le mot se rattacherait à la famille de maquer, mascher, macher (« frapper, contusionner », d'où « tacher »), le maquereau étant un animal tacheté → voir mascheure, « tache » en ancien français.
Pour ouvrir une maison close, il est cependant nécessaire d'obtenir un permis et de respecter le règlement municipal. Avec cette légalisation, le pays espérait réussir à assainir l'industrie du sexe et permettre aux prostitué(e)s de gagner leur vie sans avoir à dépendre d'un proxénète.
Étienne Jeaurat, Le transport des filles de joie de l'Hôpital, 1755, musée Carnavalet. À l'époque, ils doivent être signalés par une lanterne rouge et les volets doivent être clos… d'où le nom de maison « close » !
PROSTITUÉ, ÉE, (part.
Il n'utilise pas la force, la menace, ni la contrainte physique, mais plutôt des stratégies de persuasion, de manipulation ou de contrôle psychologique qui laissent croire aux jeunes femmes qu'elles ont besoin de lui. En d'autres mots, il fait plutôt du proxénétisme que de la traite des personnes.
ANDROGYNE, subst. et adj. I. − Emploi subst., le plus souvent masc.; qqf.