Dans le nord de l'Europe et en Sibérie, il habite la taïga et en Europe centrale et occidentale, les forêts de résineux et les boisements mixtes (hêtraies-sapinières en montagne) ou de feuillus (chênaies, hêtraies) qu'ils soient traités en futaie régulière, en taillis sous futaie ou en futaie jardinée.
Habitat. Le pic noir est sédentaire. Assez bien représenté dans le Mercantour, on le trouve principalement dans les forêts d'altitude : mélézins et sapinières où il apprécie la présence de quelques feuillus.
Une fois abandonnés, les anciens trous de pics sont occupés par des chouettes de Tengmalm, des mésanges, des sittelles mais aussi par des rongeurs, des martres et même par des abeilles et des guêpes.
Le pic épeiche a peu de prédateurs. Cependant, ceux-ci peuvent, localement, être redoutables. Ainsi, la martre et la fouine pillent fréquemment les nids pour se nourrir des œufs ou des poussins du pic.
On trouve le Pic épeiche dans les forêts et les zones boisées, des haies aux vergers, en passant par les parcs et jardins des villes. Ses pattes aux grands doigts lui permettent de monter facilement et avec aisance le long des troncs d'arbre.
amandes, noisettes ou cacahuètes concassées : pour attirer les sittelles, mésanges et pics.
Le pic épeichette, comme son nom l'indique, ressemble énormément au pic épeiche, mais est beaucoup plus petit. C'est d'ailleurs la plus petite espèce de pic de toute l'Europe. Pour le différencier, notez bien les taches blanches qui ponctuent les ailes de ce bel oiseau discret.
Chante-t-il la pluie ? Selon les sources et les régions, l'oiseau de la pluie c'est lui ou la mésange charbonnière ou encore le pic vert.
Les oisillons sont nourris par leurs parents pendant 3 semaines et prennent ensuite leur envol.
Il lui arrive parfois de communiquer en tambourinant les branches mortes avec son bec. Mais cette attitude lui permet surtout de trouver de la nourriture dans le bois sec dont il jauge la résonnance. C'est un bruit très particulier qui nous permet de deviner sa présence.
Chant : Pic noir , Dryocopus martius
Chant : rappelle celui du pic vert mais il est nettement plus lent, plus grave, plus long et les notes sont plutôt légèrement ascendantes. Tambourinage : très puissant, à durée variable (1,5 à 3,5 sec), régulier (20 cps/sec).
Taper contre un tronc d'arbre permet au pic-vert de communiquer avec ses congénères, d'atteindre les insectes situés sous l'écorce et de creuser des trous dans le bois mort afin d'y pondre ses oeufs. Les pics-glandivores, eux, utilisent cette technique pour creuser des trous censés accueillir des glands pour l'hiver.
Le pivert fréquente les endroits où se trouvent à la fois de grands arbres et des pelouses. Pour installer son nid, il creuse avec son long bec pointu les arbres tendres ou morts, en général à une assez faible hauteur.
Les cygnes aussi qui se regroupent sur la Loire ou sur les étangs. Des oiseaux venus du nord en période de grand froid peuvent venir se réfugier chez nous, même s'il ne s'agit pas d'une migration à proprement parler. Comme le pinson du nord mais aussi les perdrix ou les bécasses.
La reproduction du coucou gris
En effet, à partir de fin avril-début mai, la période de reproduction des coucous gris commence, c'est d'ailleurs pendant cette période que l'on peut entendre son cri si caractéristique, ce fameux "cou-cou", poussé par les mâles pour attirer les femelles.
Ils trouveront refuge dans de grands arbres, sur de grands troncs qui, au moins, les abriteront du vent fort. Et ils resteront fermement perchés tout le temps qu'il faudra. Certains vont au sol, dans les cavités, derrière de grosses roches, dans les creux des ravines, etc. Où le vent est moins fort.
Le tambourinage est différent du martèlement émis par les Pics pour rechercher leur nourriture ou creuser leur loge (nid) dans les troncs. De début mars à mi avril, c'est une bonne période pour observer les Pics. Il est possible de les entendre de loin et ils ne sont pas encore cachés par les feuilles des arbres.
La meilleure manière de les différencier reste le contact visuel : les deux pics arborent une robe noire et blanche, le dos est noir, les ailes sont barrées de lignes noires et blanches, un peu plus basses chez le pic épeiche lorsqu'il a les ailes repliées.
Chaque espèce de pic tambourine selon un rythme, une puissance et une durée qui lui sont propres : le pic épeiche frappe 6 à 12 coups en moins d'une seconde; le pic épeichette et le pic noir ont un tambourinage beaucoup plus long, plutôt faible pour le premier, mais qui porte jusqu'à un kilomètre pour le second.
Les fruits rouges et noirs seraient les plus représentés dans la nature, en partie parce que les oiseaux sont plus friands de ces couleurs: une étude chinoise publiée jeudi tend à confirmer cette hypothèse encore controversée.
Le suif et les mélanges avec du suif feront l'affaire, mais les pics aiment bien aussi d'autres friandises savoureuses telles que les graines de tournesol, les baies, les noix et les cacahouètes.
L'effet miroir est lié au reflet du paysage sur une vitre que certains oiseaux peuvent apercevoir. L'oiseau voit donc son propre reflet qu'il considère comme un rival se comportant comme lui. Il se bagarre donc contre « ce concurrent » en se jetant à plusieurs reprises contre la vitre.