les alpages des Mines d'Or et de Fréterolle à Morzine. Au fond de la vallée de la Manche, le lac des Mines d'Or est entourée de larges prairies. De là, un agréable chemin nous mène en 10 minutes aux alpages de Fréterolle.
Dans les Alpes, sur les contreforts du Queyras, la commune d'Eygliers (Hautes-Alpes) s'est dotée d'un “sentier des marmottes”. Sur ce sentier, accessible en quelques minutes de marche depuis le site de Mont-Dauphin, il est très facile d'approcher des marmottes car elles sont accoutumées à la présence humaine.
Le départ s'effectue à partir d'Eygliers-Gare. En circulant sur la N94, en venant d'Embrun, dépasser le rond-point de Guillestre puis, après avoir passé le panneau "Eygliers-gare", prendre la première à droite. Le parking est tout de suite là, il fait face à une auberge.
Début avril, la marmotte sort de son terrier, amaigrie et affaiblie par des mois sans manger.
Refuge de Prariond - Sources de l'Isère. Jolie randonnée familiale dans le Parc National de la Vanoise, possibilité de voir nombreuses marmottes. On remarquera aussi le superbe panorama sur les glaciers des sources de l'isère.
La première occupe globalement le vallon de Prariond et l'adret compris entre la Tsanteleina et la Pointe de Front, sur Val d'Isère, ainsi que le vallon de la Sassière, à Tignes.
La Haute Tarentaise
Ce territoire de montagne s'étire sur une cinquantaine de kilomètres environ depuis la commune des Chapelles jusqu'à celle de Val d'Isère ; commune, où l'Isère (la rivière de fond de vallée) prend sa source.
Comme pour beaucoup d'espèces diurnes, les meilleurs moments pour apercevoir les marmottes sont l'aube et le crépuscule. Ce sont les périodes où elles sont les plus actives.
Elle est strictement diurne, ce qui est rare pour un mamifère sauvage. La marmotte se lève tôt, avant le lever du soleil et prend son premier repas le matin.
Le réveil de la marmotte !
L'hibernation des marmottes prend fin au tout début de l'été. Tout le groupe se réveille en même temps, en commençant par les mâles pour finir par les jeunes de l'année. La marmotte fait alors remonter sa température corporelle, mais pour 48 heures au maximum.
Le régime alimentaire de la marmotte est assez varié. Essentiellement herbivore, elle se nourrit d'herbes, de graminées, de bourgeons, de certaines baies et fleurs… Occasionnellement, l'animal ne dédaigne pas les jeunes pousses d'arbres, les écorces, les racines, voire les insectes ou les larves.
Les 5 refuges de Samoëns :
Le refuge du lac de Gers (1 533 m). Le refuge de Bostan (1 763 m). Le refuge de la Golèse (1 671 m). Le refuge de Chardonnière (1 360 m).
Sur le sentier des lacs Merlet vous croiserez beaucoup de marmottes, ouvrez bien les yeux parfois elles ne sont vraiment pas loin.
Bouquetins, gypaëtes et marmottes…
Situé à 1618 m d'altitude sur le Route des Grandes Alpes, le col de la Colombière offre un joli panorama sur la chaine du Bargy et des Aravis. Reliant la vallée de l'Arve et le Grand-Bornand, il fut maintes fois un lieu de passage du Tour de France.
Les marmottes sont présentes dans le Guillestrois sur le sentier des marmottes à Eygliers (espace libre et gratuit) et à la Montagne aux marmottes au Sauze du lac à Serre-Ponçon (14€ par adulte et 10€ pour les enfants Tél. : 04 92 44 32 00).
Arrivé sur place, la pluie a rapidement fait son apparition, ce qui a provoqué le repli des marmottes dans leurs terriers. Cette marmotte a été immortalisée juste avant d'entrer d'aller se mettre au sec dans le sien pour ne plus ressortir de la matinée.
LES FEMELLES ET BÉBÉS ANIMAUX DE LA MONTAGNE
Le petit de la marmotte s'appelle le marmotton. Chez les aigles tels que l'aigle royal, le petit est nommé aiglon. Chez le bouquetin, le mâle, comme chez les autres caprinés, est un bouc ; la femelle s'appelle l'étagne ; et le petit est un cabri.
La marmotte est couramment surnommée le siffleux, car elle siffle quand elle se sent en danger pour avertir ses congénères. C'est un mammifère fouisseur qui appartient à la même famille des sciuridés (écureuil, chien de prairie…).
On rencontre la marmotte dans quatre parcs nationaux français : les Écrins, le Mercantour, la Vanoise et les Pyrénées. Il arrive également de croiser les « siffleux » dans le Massif Central.
Elle est positionnée au cœur des Alpes entre le Beaufortain et le massif du Mont Blanc au nord, le massif de la Vanoise et la vallée de la Maurienne au sud, et lles Alpes Grées à l'est qui bascule sur le Val d'Aoste en Italie.
La vallée de la Maurienne en Savoie, plus longue vallée alpine, s'étend sur 120 km entre l'Italie et les Hautes-Alpes. Elle abrite, entre cols mythiques et Parc National de La Vanoise, de fabuleux espaces qui permettent de parcourir la montagne à son rythme tout au long de l'année.
Réserve de la Grande Sassière :
Si vous souhaitez voir des chamois par dizaine, il faut vous rendre à la réserve de la Grande Sassière. Au départ du Saut, l'accès se fait par une petite route face au lac du Chevril juste avant d'arriver à Val d'Isère. Il suffit de faire 15 à 20 minutes pour voir les premiers chamois.
Le sentier, qui commence au niveau du lac du Saut, est large et quasiment sur terrain plat pendant toute sa durée ! Donc l'effort physique est loin d'être intense, surtout qu'on croise des dizaines de marmottes, des vaches, voir même des chamois ou bouquetins sur le chemin, ce qui change les idées !