L'amygdale. L'amygdale déclenche les émotions issues de nos pensées et réciproquement, elle oriente notre attention et nos pensées en fonction de nos émotions.
Plus précisément, la pensée est énergie, une sorte de pulsion électrique, et cette pensée venant de « notre centrale électrique » envoie un signal à tout notre corps qui va se traduire en émotion, comportement et entraine les résultats que nous obtenons dans la vie.
Fondamentalement, notre cerveau est un réseau tentaculaire de 100 milliards de neurones avec au moins 1 million de milliards de points de connexion, les synapses. C'est cela, selon le postulat des neurosciences cognitives, qui crée nos facultés cognitives, ce que l'on pourrait appeler la pensée ou l'esprit.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Ce qui leur a permis de retracer le chemin emprunté par la pensée, du premier stimulus à la formulation de la réponse. Ces travaux confirment que le cortex préfrontal -qui se trouve derrière le front- est bien le "coordinateur" qui organise les interactions entre les différentes zones du cerveau.
Le cerveau contribue à la pensée, mais la pensée ne lui appartient pas. L'union entre le corps et l'esprit qu'on peut attribuer au cerveau forge notre identité. La pensée est une « fonction » du cerveau et des processus biochimiques dont il est le siège .
En fait, il ne s'agit pas que de penser. Tout est dans le « trop ». Trop d'émotions, trop de pensées qui partent dans tous les sens, trop de questions, trop de sensibilité, trop d'énergie, trop d'activités. On ne vous arrête jamais, même la nuit.
Le cortex préfrontal, ce centre de contrôle sophistiqué qui possède de multiples interactions avec différentes régions du cerveau serait fortement impliqué : il a en effet un rôle de coordinateur des circuits qui sont à l'origine des informations sensorielles et émotionnelles, et de la pensée.
La pensée a comme but général d'établir les prémisses pour mieux comprendre. Nous avons plusieurs choix à faire. Nous avons donc besoin de la meilleure information qui rendra possible la meilleure décision. Qu'est-ce qui se passe vraiment dans telle ou telle situation?
C'est dans d'autres textes biologiques qu'il parle du cœur comme siège du principe de vie. Pour leur part, les médecins antiques hésiteront longtemps entre le cœur ou la tête comme lieu principal de l'homme (et sans poser un lien direct entre leur questionnement et celui du lieu de la pensée).
Les pensées sont faciles d'entretien et ne demandent que très peu de soins. Arrosez durant la période estivale mais sans excès. En période hivernale, protégez les racines du froid avec un paillage au pied. Supprimez régulièrement les fleurs fanées.
Qu'on soit en phase de sommeil, dans le coma ou éveillé, le cerveau est en activité, donc produit des pensées. Il peut moduler son activité, mais ne s'arrête jamais. En fait, le seul moment où on ne pense pas, c'est quand on est mort ». Cependant, il est possible que certaines pensées ne soient pas conscientes.
Il est pratiquement impossible de ne penser à rien. Et pour cause ! L'activité cérébrale d'un être humain vivant ne cesse jamais. En revanche, les images mentales n'accèdent pas toutes à la conscience et cette dernière peut être partiellement contrôlée par la méditation ou l'hypnose.
Trop penser peut devenir un problème
Se concentrer devient difficile. Par ailleurs, trop penser demande de l'énergie mentale. Lorsque l'on réfléchit, nous consommons des calories et notre cerveau travaille. Cela peut devenir fatigant à long terme.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
L'image du réel est envoyée au cortex visuel primaire, à l'arrière du cerveau, puis analysée par les autres aires visuelles, qui localisent et reconnaissent l'objet en lien avec la mémoire. La création d'une image mentale emprunte le chemin inverse.
La rumination mentale, c'est quoi ? Il s'agit de pensées et sentiments négatifs au caractère répétitifs, prenant la forme d'un flot ininterrompu de pensées pessimistes et obsessionnelles. La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher.
Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri.
Penser est conçu pour former des idées dans son esprit et les enchaîner logiquement pour concevoir des actions, des raisonnements par la réflexion. Ces diverses définitions laissent entrevoir que l'esprit se trouve dans notre cerveau alors que l'esprit demeure depuis l'éternité dans le monde Divin.
La conscience repose sur le tronc cérébral et deux régions corticales. Les chercheurs ont trouvé qu'une petite région du tronc cérébral appelée tegmentum pontique était associée avec le coma : 10 des 12 patients inconscients avaient des lésions dans cette zone et seulement un chez les patients conscients.
Entretien des pensées
En ce qui concerne les variétés annuelles vous pourrez les arracher en fin de floraison alors que celles qui sont vivaces pourront refleurir l'année suivant.
Les pensées, comme les violettes cornues, sont des plantes bisannuelles dont le cycle de vie s'étale sur deux années civiles (elles commencent à croître en fin d'été, persistent durant l'hiver, fleurissent au printemps suivant, puis meurent).