Dans le livre de Douglas Adams Le Guide du voyageur galactique, il est écrit que le nombre 42 est la réponse à « la grande question sur la vie, l'univers et le reste« , calculé par un ordinateur pendant des millions d'années.
42 est la réponse à La grande question sur la vie, l'univers et le reste dans l'œuvre de Douglas Adams Le Guide du voyageur galactique.
La recherche de la question ultime
Après sept millions et demi d'années à réfléchir à la question, Pensées profondes fournit enfin la réponse : « quarante-deux ». « Quarante-deux !
42 : ce nombre iconique dans l'univers geek serait tout simplement la réponse à ... tout. C'est du moins ce qu'indique Douglas Adams dans son fameux libre Le Guide du voyageur galactique ! Mais si on connaît souvent cette réponse, on sait souvent moins pourquoi le nombre 42 a été choisi par l'auteur.
Pour autant, un mystère demeure : selon l'œuvre de Douglas Adams, le nombre 42 serait la réponse à « la grande question sur la vie, l'univers et le reste ».
En binaire, c'est 42. Et 42 est la réponse à la grande question sur la vie, l'univers et le reste. Ou du moins c'est l'explication fournie par Douglas Adams.
Ce processus de reproduction de l'univers, voilà ce qui peut être considéré comme le sens ultime de l'existence. C'est l'objectif sur le long terme de la vie intelligente en tant que produit de la sélection naturelle cosmologique.
42 a des facteurs de 2 et 21 .
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
Mille milliards, c'est-à-dire un million de millions ou 10 puissance 12.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
Définition : On dit que deux nombres entiers sont premiers entre eux si leur seul diviseur commun est 1. Exemple : • Les diviseurs de 42 sont : 1,2,3,6,7,14,21,42. Les diviseurs de 51 sont : 1,3,17,51. Les diviseurs communs de 42 et 51 sont 1 et 3, donc 42 et 51 ne sont pas premiers entre eux.
En mathématiques, la décomposition en produit de facteurs premiers (aussi connue comme la factorisation entière en nombres premiers) consiste à écrire un entier strictement positif sous forme d'un produit de nombres premiers.
La liste de ses diviseurs entiers (c'est-à-dire la liste des nombres entiers qui divisent 93) est la suivante : 1, 3, 31, 93. Pour que 93 soit un nombre premier, il aurait fallu que 93 ne soit divisible que par lui-même et par 1.
le mur de Planck: c'est la limite au-delà de laquelle les sciences qui étudient l'Univers n'ont plus rien à dire. On le situe à 10-43 secondes après le début de l'expansion.
Selon cette approche, la vie est susceptible d'être significative : nous pouvons lui conférer un sens grâce à notre sensibilité. Jean Grondin parle d'une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.
L'Univers, au sens cosmologique, est l'ensemble de tout ce qui existe, décrit à partir d'observations scientifiques et régi par des lois physiques.
Le problème, c'est que les nombres de la forme 2p -1 sont rarement premiers. Par exemple 211-1 = 2047, un nombre qui n'est pas premier car il est divisible par 23 et 89.
Un nombre égal à la somme de ses diviseurs propres est parfait. Un diviseur propre est un diviseur autre que le nombre lui-même. Le premier nombre parfait est 6. En effet 1, 2 et 3 sont les diviseurs propres de 6 et 1+2+3=6.
Mais pour n = 11, le nombre obtenu 2047 n'est pas un nombre premier car il est divisible par 23. En revanche pour n= 13, 17, 19, le nombre est à nouveau un nombre premier.
Le mathématicien australien Gordon Royle, qui s'est pris de passion pour le sujet, les recense, les traque de par le monde et sa collection contient près de 50 000 spécimens. Mais aucune grille avec seulement 16 indices. Il a donc été conjecturé que le "nombre de Dieu" était 17.
Le chiffre 7 est parfois considéré comme un « chiffre magique » ou sacré.
Personnalité : Le nombre 6 symbolise la féminité, la beauté, l'amour et la famille.
Le symbole de l'infini a été utilisé pour la première fois par le mathématicien John Wallis, en 1655.