Cela s'explique par le fait que notre esprit cherche en permanence à déformer la réalité à sa faveur et à se détacher des problèmes. Généralement, ce phénomène émane d'un sentiment inconscient d'insécurité. Accuser l'autre est beaucoup plus facile que de se remettre en question.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
La projection psychologique est un terme largement développé par la théorie de Freud, qui nous expose une pratique familière dans laquelle nous nous retrouvons très souvent. Il se peut même que vous l'ayez fait sans vous en rendre compte.
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
Manque de confiance et quête de valorisation
Quand l'on se met dans une posture de victime, cela ne concerne généralement que le négatif, c'est-à-dire les reproches : "On s'attribue les choses positives qui nous arrivent, et pour les choses négatives, on se dédouane", indique Boris Charpentier.
L'indécision est l'incapacité de faire un choix. La peur de devoir choisir, d'assumer ses responsabilités, de déplaire ou d'entrée en conflit, peut mener l'indécis à se reporter sur les autres pour choisir à sa place.
Il renvoie donc à une peur des responsabilités, qu'elles soient d'ordre professionnel ou personnel ; une personne atteinte d'hypégiaphobie aura en effet tendance à fuir la moindre tâche qui lui sera confiée, de la plus prosaïque, comme une course à faire, à la plus cruciale.
Certaines personnes se préoccupent excessivement de l'impression que les autres se font d'elles. En fait, elles essayent de faire tout ce qu'elles peuvent pour projeter une image déterminée. De façon inconsciente, les autres détectent cette superficialité ou ce jeu qui produit un rejet.
Le psychorigide ne se remet jamais en question... Ce comportement peut glisser vers le type dictateur ou encore manipulateur, ... On détruit l'autre et soi par le biais de tel comportement. Ce sont des personnes qui "victimisent" l'autre.
Pour faire accepter votre décision, vous devez croire en vos choix ! Cette décision était difficile à prendre, mais vous l'avez fait : le plus dur est derrière vous ; à présent, il ne vous reste plus qu'à assumer. C'est le moment d'entériner vos choix en mettant vos proches dans la confidence.
Pas de manière passive ou fataliste, mais en reconnaissant la réalité telle qu'elle est. Il faut identifier tous les aspects de ses erreurs pour se donner les moyens de les comprendre, de changer ce qui peut l'être ou de s'adapter à leurs conséquences avec discernement et sagesse.
Définitions : analyste - Dictionnaire de français Larousse.
"Le fait d'avoir le même défaut peut créer de fortes tensions. Sans cesse reprocher à l'autre l'un de ses travers, et a fortiori son caractère, est très nocif. La personne en face ne se sent pas aimée comme elle est", constate le psychologue. À noter, qu'un défaut à nos yeux n'en est pas forcément un.
Le trouble de la personnalité narcissique est caractérisé par un sentiment constant de supériorité (mégalomanie), un besoin d'être admiré et un manque d'empathie.
Une des manières de gérer quelqu'un qui croit toujours avoir raison est de commencer par être d'accord avec lui ou au moins d'admettre que vous comprenez ce qu'il dit. Ensuite, vous pouvez présenter votre contreargument. Par exemple, vous pourriez lui dire : « je comprends ce que tu dis.
La séduction : le manipulateur commence toujours par séduire sa victime pour mieux la manipuler ensuite. Au départ, il fait tout pour plaire à sa proie pour que celle-ci baisse la garde et se sente en parfaite confiance. Plus on se sent à l'aise avec une personne, moins on s'en méfie.
La culpabilisation est une façon de revenir à un stade infantile, où l'on subit les foudres de ses parents après avoir fait une bêtise. Faire des reproches à l'autre est aussi une façon de ne pas faire le travail de remise en question nécessaire au bon fonctionnement du couple et à l'épanouissement des deux conjoints.
Le rejet peut correspondre à une opposition, un mépris, une exclusion, une mise à l'écart, un refus, un déni, un dédain, un licenciement, une rupture amicale ou amoureuse... "Il s'agit souvent d'une blessure refoulée et donc inconsciente qui se réactive dans le présent, en écho avec le passé.
"On aime tous avoir le dernier mot, dès lors que le sujet est important pour nous. Ça nous structure, ça nous définie, et nous cherchons à être du bon côté de la barrière. On veut être dans le camp des gens intelligents et on ne veut pas céder la dessus", analyse Jean-François Marmion, psychologue.
La fuite en avant peut également conduire à agir par anticipation. Autrement dit, à "prendre les devants" pour éviter la situation angoissante. Exemple classique : systématiquement rompre la première, par peur d'être abandonnée par son conjoint.
Les personnes psychorigides sont également peu chaleureuses, voire froides, même avec des personnes qu'elles apprécient. Elles ont aussi généralement un côté obsessionnel et perfectionniste à l'extrême, qui les pousse à vouloir tout gérer, tout contrôler (tout doit être organisé, planifié.