Parmi les missions principales des SSR : la rééducation d'un organe lésé en vue de sa restitution intégrale ou optimale et, plus globalement, la réadaptation du patient pour lui permettre de s'adapter au mieux à ses limitations et de retrouver des conditions de vie aussi proches que possible que celles qui précédaient ...
SSR : quels patients concernés ? Les patients ayant présenté une pathologie chirurgicale ou médicale récente peuvent bénéficier d'une admission en SSR si leur état nécessite des soins et une prise en charge médicale pendant une durée limitée, s'intégrant dans un projet individualisé de retour à l'autonomie.
Le patient remplit au moins un des critères d'éligibilité à une hospitalisation complète ou de jour en SSR : l'accord du service médical est donné immédiatement par téléphone. Dans tous les autres cas : la demande d'accord préalable est transmise au médecin-conseil pour un examen plus approfondi.
Nos établissements de Soins de suite et de réadaptation (SSR) s'adressent plus particulièrement à trois publics : les enfants et adolescents malades, les personnes victimes d'accidents de la vie ou de pathologies dégénératives, les personnes âgées.
Le choix d'une clinique SSR est habituellement orienté par le médecin hospitalier ou le médecin traitant. Bien que vous puissiez suivre simplement son avis, il est toutefois recommandé de réaliser des recherches préalables avant de donner votre consentement.
Une orientation en SSR est prescrite soit par le médecin qui vous a suivi dans le cadre d'une hospitalisation en court séjour (en médecine ou en chirurgie) soit par votre médecin traitant (si provenance directe du domicile).
La Sécurité sociale prend en charge 80 % des frais selon que votre centre de rééducation est public ou conventionné et ne rembourse jamais les soins de confort, à savoir une chambre individuelle, le téléphone, la télévision… ou tout autre soin vous permettant de passer un séjour un peu plus agréable.
La maison de convalescence est un établissement de soins médicalisé qui assure la continuité des soins de suite et de réadaptation (SSR) au rythme de chaque patient. La prise en charge s'effectue après la phase aiguë d'hospitalisation (médicale ou chirurgicale) et généralement en sortie d'hospitalisation.
Un accompagnement personnalisé et des exercices adaptés sont mis en œuvre afin de regagner en autonomie. Les centres de rééducation sont à cet effet équipés de plateaux techniques (salle de gymnastique avec tapis de course, vélos orthopédiques, bancs d'exercices dorsaux, piscine pour la balnéothérapie…).
Auparavant désignée par l'intitulé « moyen séjour », l'unité de soins de suite et de réadaptation est un établissement public ou privé ayant pour mission de dispenser des soins de réhabilitation et de réadaptation, dit polyvalent lorsqu'il accueille tout type de patients au terme d'un séjour hospitalier, ou spécialisé ...
Surveiller l'état de santé des personnes : paramètres vitaux, diurèse, poids... Transmettre des observations par écrit et par oral pour maintenir la continuité des soins : mise à jour du dossier de soins (diagramme, recueil de données etc…)
Ils accueillent des personnes handicapées qui doivent retrouver l'usage de certaines de leurs capacités fonctionnelles, tant physiques qu'intellectuelles, dont elles ont perdu temporairement l'usage à la suite d'un traumatisme ou d'une opération chirurgicale.
En vertu de l'article L. 1110-8 du code de la santé publique, tout malade dispose du libre choix de son praticien et de son établissement de santé.
Les séjours en centres de SSR et en maisons de convalescence durent en moyenne trois semaines. Ils sont prescrits aux patients nécessitant un suivi médical généralement après une hospitalisation médicale ou chirurgicale.
La réponse est bien simple : le placement d'urgence d'une personne âgée survient surtout lorsqu'une de ces trois situations se présente : La dégradation de l'état physique ou cognitif devient trop importante. L'environnement n'est plus adapté et sécuritaire.
1. La personne dispose d'une capacité de discernement ou de compréhension. Seule la personne peut décider de son entrée en maison de repos (et de tous les actes qu'elle pose dans sa vie, d'ailleurs). Souvent, la famille agit avec le médecin pour la convaincre d'aller vers cette solution.
Le tarif d'une chambre particulière varie considérablement d'un établissement de santé à un autre : comptez entre 65 € et 200 € par jour selon le type d'établissement public ou privé.
Pour faire une demande en ligne, il convient de se rendre dans l'espace « particuliers » et de créer son dossier. Le dossier de demande d'admission en EHPAD se décompose en trois parties : un volet administratif à remplir soi-même, un volet médical et un volet autonomie à faire remplir par son médecin.
Des solutions pour organiser les soins à domicile
Nous vous conseillons de faire appel à des aides à domicile afin de vous faciliter le retour à domicile de votre proche : portage de repas, soins à domicile, aides ménagères… Des professionnels peuvent se relayer au chevet de votre proche pour qu'il ne manque de rien.
Selon le rapport bisannuel de l'AViQ de 2017, le prix médian journalier d'hébergement en maison de repos est de 42,30€ dans le secteur public, de 45€ dans le secteur commercial et de 46,30€ dans le secteur associatif, toutes provinces confondues et tout type de chambre, individuelle ou double, confondu.
Vous avez le droit de sortir de l'établissement de santé à votre initiative (sauf si vous avez été hospitalisé à la demande d'un tiers ou sur décision préfectorale). Le médecin vous informera sur les risques et les conséquences de votre refus et tentera de vous convaincre de vous faire soigner.
L'HAD est prise en charge à 80 % par l'Assurance maladie comme toute hospitalisation. Vous pourrez bénéficier de la dispense d'avance de frais pour les frais suivants : Honoraires des médecins traitants et spécialisés que vous consultez dans le cadre de votre HAD.