Le ciel est l'atmosphère de la Terre telle qu'elle est vue par les êtres humains depuis le sol de la planète. Le mot ciel vient du latin caelum qui implique une forme circulaire et contient une connotation de pureté et de perfection harmonieuse.
Le mot ciel, en cosmologie, vient du latin cælum qui renvoie à la voûte céleste, lieu de séjour de la divinité. Le mot désigne le ciel en tant que firmament. Au Moyen-Âge, le mot ciel renvoie au lieu de séjour de Dieu et de séjour des âmes après la mort. Ce faisant, le mot renvoie à l'ensemble de la voûte céleste.
Difficultés. Le pluriel de ciel est cieux quand il désigne : l'espace au-dessus de nos têtes, le firmament (l'immensité des cieux) ; la région sur laquelle il s'étend, dans certaines expressions (partir sous d'autres cieux, sous des cieux plus cléments) ; le paradis, le siège de la Divinité (le royaume des cieux).
La composition actuelle de l'atmosphère est l'aboutissement d'un long processus qui a duré plus de 4 milliards d'années. Les gaz qui entouraient la Terre, tout au début de son existance, provenaient de l'activité volcanique très intense de l'époque.
Et il se passe alors quelque chose de très étonnant : cette lumière blanche est décomposée en sept couleurs ! Car tu ne le savais peut-être pas, mais la lumière blanche est le résultat du mélange de lumière rouge, orange, jaune, verte, bleue, indigo et violette. Justement les sept couleurs de l'arc-en-ciel !
La Terre effectue un tour complet sur son axe en un jour, de l'ouest vers l'est. Cette rotation est la cause du mouvement apparent du ciel en sens inverse : ainsi, les étoiles, la Lune, les planètes mais aussi le Soleil se lèvent vers l'est et traversent le ciel jusqu'à leur coucher en direction de l'ouest.
Le ciel est l'étendue visible au-dessus du sol depuis la surface de la Terre, de l'horizon au zénith, dans laquelle on observe les météores et les mouvements réguliers des astres.
cieux ou ciels. Espace que l'on voit au-dessus de nos têtes.
Le ciel est composé d'air. Au-delà du ciel, il y a l'espace. Durant la journée, le ciel est bleu (ou blanc/gris s'il contient des nuages) car il est éclairé par le Soleil. La nuit, comme le Soleil a disparu derrière l'horizon, le ciel devient noir.
Si le ciel est bleu c'est en raison de la diffusion de Rayleigh. Elle caractérise la diffusion de la lumière par les particules dont le rayon est très petit par rapport à la longueur d'onde du rayonnement solaire.
Le ciel, ou plutôt « les cieux », c'est un sur-monde emboîtant et régissant le monde d'ici-bas (Platon). Chez les Chinois, l'empereur, qui est l'ordonnateur du monde, ne peut organiser l'espace et le temps cosmique que parce qu'il est le « Fils du Ciel ».
ciel : cieux et ciels
Le pluriel de ciel est cieux sauf quand ciel désigne le châssis que l'on fixe au-dessus d'un lit pour y suspendre des rideaux (des ciels de lit) ou lorsqu'il s'agit de la représentation du ciel en peinture (les ciels de Nicolas Poussin).
EXPRESSION POPULAIRE - On se trouve au septième ciel lorsqu'on est au comble du bonheur. La formule s'utilise aussi pour décrire le plus haut point du plaisir sexuel. Mais d'où vient cette expression ?
Mais quand le Soleil est près de l'horizon, la lumière traverse une plus grande couche d'air, et la totalité de la lumière bleue est déviée. La lumière qui nous atteint devient alors très rouge donnant ces teintes rosées aux couchers de Soleil.
Les nuages sont, eux, chargés d'eau présente sous forme de gouttelettes ou de cristaux de glace qui sont beaucoup plus gros que les molécules d'air : ils diffusent chacune des 7 couleurs composant la lumière du soleil. Ce mélange de tous les rayons lumineux nous apparaît avec une couleur blanche.
Synon. de héliophile (d'apr. Méd. Biol t. 1 1970).
Le mot final, issu du terme latin finis «mort», est né au XIIe siècle dans le sens de ce «qui est à la fin, qui sert de fin». On l'a donc retrouvé, par exemple, dans des expressions comme «point final», «affrontement final». Final étant ici un adjectif.
Le mot cieux, au contraire, indique non la pluralité, mais l'universalité indivise de la sphère céleste, ou, au figuré, la Providence, le pouvoir céleste. » Ce double pluriel s'explique aussi par le fait qu'au Moyen Âge, en effet, les noms terminés en -el ou en -iel faisaient leur pluriel en -eux.
Mais aujourd'hui, l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) a fixé la ligne de Kármán a une « frontière imaginaire » qui se trouve à environ 100 km d'altitude.
En effet, lorsqu'une lumière blanche, autrement dit le rayonnement solaire, percute la surface de l'eau, une partie est réfléchie (première raison de la couleur bleue de la surface des eaux) et l'autre est réfractée et pénètre dans l'eau.
L'altitude qui marque la frontière entre l'atmosphère et le début de l'espace prête à discussion. Pour les Etats-Unis, c'est 80 kilomètres; pour les autres, c'est 100.
Dans l'espace, ces cycles jour-nuit s'alternent très différemment. Sur la station spatiale internationale, située à 350-400 km en orbite autour de la Terre, les astronautes en mission font face à l'enchaînement de 16 périodes d'obscurité et de jour toutes les 24 heures.
Sirius, l'étoile la plus brillante du ciel.
C'est une simple conséquence d'une des forces de l'Univers : l'attraction gravitationnelle. Tous les corps s'attirent, et ils s'attirent plus fortement s'ils sont gros ou près les uns des autres.