Des troubles persistants ou d'apparition secondaire peuvent conduire a l'arrêt du traitement, par exemple une prise de poids excessive non contrôlable, l'apparition ou l'aggravation d'un psoriasis, un problème rénal, thyroïdien, etc.
Des vomissements graves, la diarrhée et la fièvre peuvent eux aussi déshydrater. Si vous éprouvez ces symptômes, cessez de prendre du lithium et consultez votre médecin le plus rapidement possible. Une réduction de l'apport en sel peut avoir un effet sur la concentration de lithium.
Le chef de file, la référence de cette classe de médicament reste le lithium. Avant, on ne savait pas tout à fait bien l'utiliser et quand on ne surveille pas précisément le dosage sanguin du lithium on peut avoir des complications rénales et des complications thyroïdiennes.
Effets du lithium sur la santé
Provoque des fumées irritantes et toxiques. Explosion: Risque de feux et d'explosion au contact de substances combustibles et de l'eau. Inhalation: Sensation de brulures, toux, respiration difficile. Peau: Rougeurs,brulures, douleurs.
6°) Arrêt du traitement
La disparition des symptômes dépressifs ne doit pas faire diminuer trop rapidement la posologie. Pour les tricycliques, on diminue de 25 mg tous les 15 jours. L'arrêt du traitement reste à l'appréciation du médecin selon l'évolution de la maladie. Il n'y a pas de règles.
Les scientifiques ont observé que, chez les personnes atteintes de troubles bipolaires et souffrant d'épisodes maniaques fréquents, le cortex cérébral (il s'agit de la couche la plus superficielle du cerveau) était anormalement fin.
Faiblesse ou spasmes musculaires; nausée, vomissements ou diarrhées intenses; fatigue, somnolence ou étourdissement; trouble de l'élocution, vision brouillée, maladresse ou confusion; maux de tête, tremblements, crises d'épilepsie (convulsions), évanouissements, pouls irrégulier (cela pourrait se produire si votre ...
Autre alternative au lithium : les neuroleptiques. Près de la moitié des patients atteints de troubles bipolaires en reçoivent, seuls ou en association, pour traiter des symptômes psychotiques. L'halopéridol (Haldol®, Janssen Cilaq), un neuroleptique de première génération, s'utilise lors d'épisodes maniaques aigus.
Dans le traitement des troubles maniaques, il y a une ligne fine entre les niveaux thérapeutiques et toxiques. Comme il est effacé dans l'urine, toute personne ayant une maladie rénale doive prendre du lithium avec prudence.
Technologie lithium-ion : deux inconvénients majeurs
Elles présentent en effet un risque d'embrasement, avec dégagement de gaz toxiques. Cet échauffement viendrait le plus souvent d'un court-circuit provoqué par des problèmes d'assemblage ou à des chocs.
Cette maladie ne se guérit pas encore, mais la bonne nouvelle est qu'elle peut être traitée. La plupart des personnes atteintes du trouble bipolaire vivent très bien grâce à un traitement continu. La plupart du temps, elles réussissent à maîtriser les symptômes de la maladie et peuvent mener une vie normale.
Les sels de lithium sont le traitement de référence du trouble bipolaire. Ils sont prescrits dans cette indication depuis les années 60. La prescription initiale est réalisée par un médecin spécialisé en psychiatrie.
La prise de poids serait de 10 kg sur 10 ans chez deux tiers des patients. Le lithium agirait sur le taux de la leptine15 et peut perturber le fonctionnement de la thyroïde. Il possède également un effet « insuline-like » augmentant la pénétration du glucose dans les adipocytes et il stimule l'appétit.
Les dendrites sont les prolongements ramifiés des neurones. Ce résultat renforce l'hypothèse des scientifiques, selon laquelle le lithium améliore la plasticité de la matière grise cérébrale et ainsi la communication entre les neurones dans cette région du cerveau, atteinte chez les patients bipolaires.
Les thymorégulateurs :
le lithium (Teralithe ®) l'acide valproïque (Depakote ®) par contre, la lamotrigine est parmi les thymorégulateurs le moins susceptible de faire grossir.
Le lithium est le chef de file des médicaments régulateurs de l'humeur. Il est prescrit en première intention dans la prophylaxie du trouble bipolaire. Ce thymorégulateur est utilisé pour son activité sédative dans les états d'excitation mais aussi en prévention des rechutes.
Le plus répandu est le lithium, mais il existe aussi la carbamazépine, la lamotrigine, l'olanzapine et la valpromide. Le divalproate de sodium peut être prescrit pour les troubles bipolaires mais il doit être évité chez la femme en âge de procréer.
Viandes, oeufs et poissons : poulet, hareng, jaune d'oeuf… Céréales : grains complets. Légumes verts et légumes racines : radis, épinard, betterave, laitue, chicorée, pomme de terre… Produits laitiers : yaourts, lait, fromages…
Le traitement de référence est le lithium, mais il est possible de prescrire un autre thymorégulateur (divalproate de sodium ou valpromide) ou certains antipsychotiques atypiques (olanzapine, rispéridone, aripiprazole) qui ont aussi des propriétés « antimaniaques ».
Elle recommande une activité d'endurance (marcher, courir, pédaler, nager, danser…) deux à trois fois par semaine pendant au moins 150 minutes, couplée à des exercices de résistance (pompes, gainage).
Les personnes souffrant de troubles bipolaires n'ont pas conscience de leur état et perçoivent comme normales les deux premières phases liées à cette maladie.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
Plus de la moitié des malades traités pour troubles bipolaires par le lithium (Teralithe) ou le valproate (Depakine, Depakote, Depamide) grossissent.
Dans le cas du trouble bipolaire, le soin passe donc par l'identification des situations interpersonnelles qui déséquilibrent le patient et peuvent déclencher une rechute, aussi bien durant les phases dépressives que maniaques. La thérapie interpersonnelle vise donc avant tout, à prévenir.
Lorsqu'il est caractérisé par des périodes d'hypomanie (une forme atténuée de manie) et de dépression entrecoupées de périodes asymptomatiques, sans qu'il y ait manie franche, on parle de trouble bipolaire de type II.