L'objectif est simple: éviter que le bitume ne "transpire", c'est-à-dire que des plaques noires et collantes ne se forment sur la route, qui peuvent causer des problèmes d'adhérence et présenter un danger pour les coureurs.
Pourquoi ? Pour la sécurité des coureurs. Avec les fortes chaleurs, le bitume fond sur certaines zones, principalement des virages très serrés et des courbes en descente, là où la route est dégradée et crée des coulées glissantes. Arroser ces zones permet au bitume de refroidir.
Le but de ces "épandages" est d'éviter que les coureurs ne passent sur du goudron fondu, très glissant. Pour y parvenir, les organisateurs doivent calculer avec précision le moment où il faudra arroser les quelques portions de dizaines de mètres en question.
Avec la forte chaleur de ces derniers jours, c'est l'ancien bitume qui fond et rend la couche supérieure malléable. Le passage quasiment incessant des voitures fait le reste et de petites plaques du nouvel enrobé se décollent, laissant le goudron s'échapper.
Un enrobé peut être rouge ou noir. Si l'enrobé est noir, il est imperméable, résistant, avec une bonne adhérence et peut être rugueux dans une certaine mesure.
L'enrobé est un mélange de sable, de graviers et d'un liant bitumineux qui permet d'unir les granulats ensemble et de les stabiliser. C'est un matériau très résistant qui supporte notamment le passage fréquent de véhicules, tout comme les piétons.
1 réponse d'expert. Sachez que de tous les termes que vous employez, le seul à retenir est l'enrobé (ou béton bitumineux), en effet on ne parle pas de "bitume" ou de "goudron". Il s'agit d'un revêtement de voirie.
Le bitume et le goudron sont souvent confondus. Pourtant, alors que le bitume provient du pétrole, le goudron est quant à lui issu du charbon et de la distillation entre 800 et 1 100 °C du bois ou de la houille.
Pour diluer le goudron de Norvège, vous pouvez utiliser de l'huile de lin ou de l'essence de térébenthine. L'avantage de l'huile de lin est qu'il s'agit d'un produit naturel et non toxique.
Une fois livré au chantier à une température de 160 °C, le temps nécessaire pour atteindre 120 °C (température minimale de pose), puis 80 °C (température minimale de compactage) est fonction de la température ambiante et de l'épaisseur du revêtement.
Les températures s'échelonnent de 22 à 24 degrés sur le parcours. Le vent est faible, de secteur ouest à nord-ouest, autour de 10 km/h avec des pointes à 30 km/h.
Compactez à l'aide d'une dame à main pour les petites surfaces et d'une plaque vibrante pour les grandes surfaces. Le compactage va permettre de bien tasser l'enrobé c'est pourquoi il fallait le faire déborder dans l'étape 2. Passez un rouleau compresseur manuel sur les surfaces afin d'aplanir l'enrobé à froid.
Le goudron protégera de façon efficace les poteaux enterrés, les lambourdes de terrasse, le bardage, les palissades, les bateaux et tous les bois fortement exposés aux intempéries tout en laissant respirer le bois.
Le bitume est chauffé par un tube de chauffage en forme de W qui a un brûleur automatique. Pour les personnes qui cherchent à acheter un réservoir à bitume, il existe deux options. Vous pouvez opter pour un réservoir de chauffage de stockage de mazout chaud ou un réservoir de stockage à chaleur directe.
Le goudron n'est plus utilisé aujourd'hui, il a été remplacé par le bitume dans les enrobés et par l'émulsion de bitume dans les enduits.
Le prix du goudronnage bitume dépend en grande partie de la surface à couvrir et de l'épaisseur de la couche à étaler. Le prix du goudronnage bitume est en moyenne compris entre 20€ et 60€ le m² (pose comprise) pour une surface de 200 m².
Goudron, bitume, asphalte, macadam… dans le langage courant, ces différents termes sont bien souvent utilisés pour désigner une seule et unique chose : le revêtement de nos routes ou allées.
L'épaisseur utilisée va de 5 à 8 cm. Le prix d'un tel enrobé, préparation du sol basique comprise est alors de 35 à 45 € le m².
Le goudronnage bitume est l'un des types de goudronnage les plus robustes, son prix varie en fonction de sa mise en œuvre, de l'épaisseur, du nombre de couches nécessaires, de la superficie et de l'accessibilité au chantier.
Couleurs & aspects
Ces pigments proviennent d'oxydes métalliques et sont mélangés au bitume lors de la fabrication. Par exemple, l'enrobé rouge est composé de bitume auquel on ajoute de l'oxyde de fer.
Le gravillon est une protection de cette couche d'ESU sur laquelle on ne peut pas rouler car elle est collante. C'est le compactage puis le passage et la circulation routière qui va permettre aux gravillons de bien s'imbriquer en mosaïque et de boucher les trous, sur l'émulsion de bitume.
Dans 8l d'eau, diluer 600 g d'acide citrique, 150 g de bicarbonate de soude et 20 ml d'huile végétale (colza par exemple). Pulvériser la solution par temps sec (sans pluie pendant 2 ou 3 jours). Nettoyer au jet d'eau et brosser. Surtout n'employez pas de produits vendus comme antimousse à base de sulfate de fer.
Huiles, lasures et peintures
Comme les autres essences, le chêne et le châtaignier nécessitent donc une protection de surface. L'huile de lin, additionnée d'un peu d'essence de térébenthine, à utiliser par temps chaud (car elle pénètre mieux), est une protection classique.
Il évite le pourrissement du bois en milieu humide et le protège de façon très durable et écologique. Le goudron préserve du dessèchement du bois et l'imperméabilise ce qui empêche la formation de moisissures. Le goudron est aussi un répulsif naturel.